Le livre papier est la seule de nos archives capable de dépasser la durée d'une vie humaine, et qui fonctionne sans électricité, sans connexion, et ne peut être altérer à distance ou physiquement sans que cela se voit.
C'est donc le seul qui mérite de dépenser votre bel et bon argent qui vous coûte des moments de votre vie qui jamais ne reviendront, excepté bien sûr les dépenses pour s'abriter, se vêtir sans chichi, se nourrir et se soigner sans excès et de manière réellement efficace.
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Cette constatation se répète une fois de plus à l'heure où, probablement inspirée par la panne générale en Espagne et Portugal, et toutes ces menaces arrogantes de l'OTAN et autres agences américaines contrôlées par Israël, la Russie teste apparemment le degré de dépendance du pays (aka de la civilisation) à Internet - en constatant ce qui arrive quand on coupe l'internet sur une zone du pays, de manière tournante.
Pas la peine de tester en France, ce degré de dépendance est de 100% dans les villes.
Si cela vous est arrivé : en cas de coupure d'électricité (de téléphone, d'internet) le sms téléphonique vous renvoie à la consultation par internet d'un site censé encore être en ligne, quand bien même le centre de données et le centre de distribution internet ne fonctionne plus. Cela pourrait être pire (et le sera facilement) si les antennes de relais téléphoniques ne fonctionnent plus. Et apparemment What's App, qui aura été le seul moyen pour les citoyens de joindre la radio locale captée par mon récepteur radio à manivelle.
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Si comme moi vous avez pu tester les pannes d'électricité récentes, il ne vous reste rien à la maison que :
* les livres et bd, du papier et des stylos pour bosser.
* le téléphone portable tant qu'il y a de la batterie, mais pas les messageries ni les réseaux sociaux (les centres de données ne fonctionnent pas)
* le liquide et encore, le système bancaire ne fonctionne pas, les magasins et stations services ferment, la crypto-monnaie part en fumée.
* les bus et automobiles à essence tant qu'il y a le plein, idem pour l'électrique tant que les batteries fonctionnent.
* les boites de conserves à longue DLC et le frais ou congelé conservé pendant une dizaine d'heures, cuit au réchaud à gaz.
etc.
Mais ce post n'est pas un cours de survivalisme, mais sur ce constat terrible si vous aimez la culture en général :
* Aucun disque ne tourne (à part un vinyl et avec un lecteur à manivelle sans amplification), aucun écran ne fonctionne.
* Aucune sauvegarde n'est accessible.
* Vous n'avez de la musique que si vous jouez vous-même d'un instrument et vous la chantez vous-même, et vous devez avoir les paroles imprimées ou les connaître par cœur.
* les jeux de plateaux, de cartes etc. et jeux de rôles non connectés fonctionne parce qu'ils sont imprimés sur papier et se jouer avec des dés et de quoi noter.
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Le livre papier ne dépend pas d'une obsolescence programmées par les GAFA ou leurs maîtres.
Car vous avez dû noter, si vous existez depuis plus deux à dix années, que nos world company adorent retirer l'échelle quand vous êtes à peindre le pinceau : vos logiciels ne fonctionnent plus du jour au lendemain parce qu'à chaque fois que vous le lancer, le serveur de Microsoft ou d'un autre doit attester qu'ils ne sont pas piraté, et oups, la société a fermé le serveur pour booster les ventes de son logiciel précédent, qui tombera en panne encore plus tôt.
Même votre lecteur VLC prétendra que le fichier vidéo parfaitement lisible fabriqué par vos logiciels payés il y a plus de dix ans ne l'est plus à cause d'un index "endommagé", qui ne l'est absolument pas, puisqu'il est toujours lisible par un logiciel de la même époque : c'est juste un sabotage, un codec supprimé pour empêcher les gens de voir leurs archives etc.
De même si Microsoft et les autres s'efforcent de bloquer la sauvegarde de vidéo youtube, ce n'est pas pour protéger les droits des auteurs des vidéos en question, droits qu'ils ne cessent de violer, vidéos qu'ils ne cessent d'altérer ou censurer - mais pour empêcher les internautes de prouver que ces vidéos existent ou ont existé en l'état à telle date et heure, car il ne faudrait pas que le citoyen lambda se souvienne de ce qui est réellement arrivé il y a plus d'une semaine, voire d'une heure à l'autre, cf. comment nos journaux télévisés changent leurs versions et révisent constamment l'Histoire.
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Souvenez-vous maintenant de cette campagne de propagande selon laquelle un livre polluerait plus que tout parce que, je cite de mémoire, on doit couper des arbres pour le fabriquer. (ce qui est faux incidemment, de tout temps, le papier a pu se fabriquer avec autre chose que des arbres - n'importe quelle sorte de plante il me semble, du tissu, des écorces tombées d'arbres, voire même la peau d'animaux abattus pour se nourrir) et il est plus que probable qu'aujourd'hui il doit exister ou peut s'inventer des procédés slow-tech ou low-tech (aka préhistoriques ou antiques ou médiévaux) pour fabriquer du livre durable avec du sable par exemple.
Mais par contre ne seraient pas ultra-polluants une flottilles de tanker livrant quotidiennement à l'Arabie Saoudite à prix "d'amis" l'équivalent de la consommation d'une année d'eau potable en France, chaque tanker polluant à chaque voyage plus que l'équivalent de la totalité de la circulation automobile en France pendant un an ?
... des batteries pour automobiles, maisons ou usines ultra-polluantes à la fabrication, à l'incendie ou au prétendu recyclage, dont la fabrication consomme outre le reste et les terres rares, des millions de litre d'eau (potable) possiblement définitivement perdus pour la planète année après année ?
... un centre de donnée qui consomme plus d'électricité et d'eau et de terre rares que toutes les industries de consommation courante, pour maintenir le streaming, les réponses plausibles mais infiniment c.nnes des bêtises artificielles propagandaires, et la crypto-monnaie qui sert à détourner l'argent public, maximiser le crime organisée, trafiquer des armes et des petits enfants ?
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Ou de la manière dont les gouvernements précédents et actuels, ainsi que les FNAC font flamber le prix à l'achat du livre papier et le prix de sa livraison, quand bien même celui-ci aurait été imprimé il y a plus de vingt ans...
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