La faillite a été causé par une dette de six millions de livres, en particulier la part qui serait essentiellement constituée par les taxes du gouvernement anglais.
L'autre part de la dette des droits et frais d'édition de blu-ray faisait partie du modèle économique et était remboursée sur les ventes de dvd, cd et blu-ray au fur et à mesure qu'elles se réalisaient.
Trouvé sur
hometheaterforum.
According to reports being published around the net currently, Network was nearly 6 million pounds in debt, with the largest creditor being HMRC (in other words, back taxes owed to the British government). The company seems to have been in a tenuous position long before Tim Beddows' death, and likely only went in a deeper hole after he passed away. It's all a sad state of affairs, really, especially for the company's loyal staff, who were likely the last to know just how bad things were, and are probably still owed back pay.
It also should be pointed out that a good portion of Network's 6 million pounds' debt is likely attributable to license fees and restoration expenses, some of which they surely would have recouped. I'm guessing the death knell for them was the 669,000 pound tax bill.
All signs point to the remaining Network stock being sold off somewhere to try and recoup some of the loss write-offs. That may take a while to sort out, however. Quite a bummer for fans of physical media. Network used to have a business model that worked for them, but it seems that as time went on, and the physical media market dwindled, things got increasingly shaky. At least, that's how it appears on the surface. Again, who knows exactly what went down behind the scenes with the various board members of the company. We'll likely never know.
Traduction deepl :
Selon les rapports publiés actuellement sur le net, Network était endetté à hauteur de près de 6 millions de livres, le principal créancier étant le HMRC (en d'autres termes, des arriérés d'impôts dus au gouvernement britannique). La société semble avoir été dans une position précaire bien avant la mort de Tim Beddows, et s'est probablement enfoncée encore plus dans le trou après son décès. Tout cela est bien triste, surtout pour le personnel fidèle de l'entreprise, qui a sans doute été le dernier à savoir à quel point les choses allaient mal et à qui l'on doit probablement encore des arriérés de salaire.
Il convient également de souligner qu'une bonne partie de la dette de 6 millions de livres de Network est probablement imputable aux droits de licence et aux frais de restauration, dont une partie aurait certainement été récupérée. Je suppose que la facture fiscale de 669 000 livres a sonné le glas de la société.
Tout porte à croire que le stock restant de Network sera vendu quelque part pour tenter de récupérer une partie des pertes enregistrées. Mais cela risque de prendre un certain temps. C'est une véritable déception pour les amateurs de supports physiques. Network avait un modèle d'entreprise qui fonctionnait bien, mais il semble qu'au fil du temps, le marché des supports physiques s'est affaibli et que la situation est devenue de plus en plus précaire. C'est du moins ce qu'il semble à première vue. Encore une fois, qui sait exactement ce qui s'est passé dans les coulisses avec les différents membres du conseil d'administration de la société. Nous ne le saurons probablement jamais.De fait, la faillite de cet éditeur augurerait celles de tous les éditeurs de supports physiques papier comme disques, à cause de la pression des dictatures au service des plus riches qui veulent augmenter leur marge et tout posséder en n'autorisant au citoyen que le streaming ou le digital qu'ils voudront bien les laisser voir en l'état de censure et d'altération qu'ils voudront leur imposer.
Le fait qu'une entreprise fasse faillite à cause des taxes et impôts tandis que le gouvernement pousse à l'inflation tout en exonérant de taxes et d'impôts les plus riches et les transactions internationales les plus massives est une preuve définitive qu'un gouvernement travaille pour les plus riches (étrangers et multinationaux) et non pour les citoyens,
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