Los Angeles 2013, le film de 1996

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Los Angeles 2013, le film de 1996

Messagepar Greenheart » Mer 24 Avr 2024 10:57

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Escape From Los Angeles (1996)
Traduction du titre: L'évasion de Los Angeles.
Titre français : Los Angeles 2013.

Sorti aux USA le 9 août 1996.
Sorti en Angleterre le 20 septembre 1996.
Sorti en France le 13 novembre 1996.

Sorti inclus dans le coffret 4x4K John Carpenter (New York 1997 / Prince des ténèbres / Invasion Los Angeles / Fog) STUDIO CANAL FR le 2 octobre 2019.
Sorti en blu-ray américain SHOUT FACTORY US le 26 mai 2020.

Sorti en coffret br+4K américain PARAMOUNT US US le 22 février 2022 (disque 4K défectueux -- dialogues confiné au satellite droit -- au code barre blanc, le code barre jaune serait correct, remplacé par la Paramount; Code central du disque UHD Original défectueux : (1188566) WW151275UVR1; remplacement : 58142498/WW151275UVR2).

Sorti en blu-ray 4K français PARAMOUNT FR le 23 février 2022.
Sorti en blu-ray français PARAMOUNT FR le 6 juillet 2022.
Sorti en br+4K allemand PARAMOUNT DE le 13 juillet 2022.
Sorti en blu-ray+4K+DVD américain PARAMOUNT US le 12 octobre 2022 (Wallmart exclu jusqu'au 21 mai 2024) UHD correct.

De John Carpenter (également scénariste), sur un scénario de Debra Hill (également productrice) et Kurt Russell (également acteur et producteur), d'après le film de 1981 de John Carpenter et Nick Castle ; avec Kurt Russell, Stacy Keach, Steve Buscemi, Peter Fonda, Georges Corraface, Cliff Robertson, A.J. Langer, Michelle Forbes, Pam Grier, Jeff Imada, Valeria Golino, Bruce Campbell.

Pour adultes et adolescents.

(Dystopie) 1998. Vers la fin du 20ème siècle, les forces hostiles à l’intérieur des Etats-Unis se renforcèrent. La ville de Los Angeles est ravagée par le crime et l’immoralité. Pour protégéer et défendre ses citoyens, la Force de Police des Etats-Unis est formée.

Un candidat présidentiel prédit qu’un tremblement de terre millénaire détruira Los Angeles en guise de punition divine : « tel le puissant poing de Dieu, Armageddon descendra sur la cité de Los Angelès, la cité du péché, la cité de Gomorre, la cité de Sodome, et les eaux monteront, et sépareront cette cité pécheresse de notre pays. »

Un tremblement de terre atteignant 9.6 sur l’échelle de Richeter frappe à douze heures et cinquante-neuf minutes le 22 août de l’année 2000. Après la dévastation, la Constitution est amendée et le président nouvellement élu accepte un mandat présidentiel à vie. La capitale du pays est déplacée de Washington D.C. à Lynchburg en Virginie, la ville d’origine du président.

L’île de Los Angeles est déclarée comme ne faisant plus partie des Etats-Unis et devient un point de déportation pour toute personne déclarée indésirable ou inadaptée à vivre dans la nouvelle et morale Amérique.

La Force de Police des Etats-Unis, telle une armée, campe le long du rivage, rendant impossible toute évasion de Los Angeles. Depuis les collines au Sud-Est du comté d’Orange jusqu’aux côtes du Nord-Ouest de Malibu, la grande muraille coupe Los Angeles du continent.

La première loi ordonnée par le président en tant que commandant en chef permanent est la Directive 17 : une fois qu’un américain perd sa citoyenneté, il est déporté sur cette île des damnés et ne revient jamais.

2013. Le présent.

Une rangé de policiers casqués avec un bouclier à l’insigne en forme d’aigle stylisé. Dans les hauts-parleurs, un homme débite : « Attention, nous sommes en alerte tactique : que tout le monde reste à son poste de combat. Je répète, restez à vos postes de combat. »

Los Angeles, Vendredi 19 heures. Dans la nuit, deux hélicoptères portant le même insigne en forme d’aigle survole une côte, avec un supermarché en ruine dont l’enseigne encore lisible mentionne que nous sommes dans ce qui était la vallée de San Fernando.

Les hélicoptères passent au-dessus des miradors de la base de la Force de Police des Etats-Unis, et en contrebas, les policiers soldats trottent tandis qu’un groupe de civils penauds attendent derrière les grilles d’être pris en charge.

Tandis qu’un van sort d’un portail aux lourdes portes blindées, un homme à la radio annonce : « Ceci est la chaîne de la Police et les nouvelles du soir : dans un sujet de dernière minute, la Force a annoncé l’arrivée du plus fameux hors-la-loi de l’Histoire des Etats-Unis à la Base de Feu numéro 7, le centre de déportation pour l’île de Los Angeles. A présent nous sommes en direct pour ce reportage sur place »

Une blonde prend un air dramatique devant les grillages retenant les civils penauds, entourés de casques et de bottes : « Héros de la guerre, criminel, l’homme le plus recherché de la Force, convaincu de 27 crimes moraux ; arrêté il y a deux semaines pour le crime de se battre à l’arme à feu pour de l’argent à New Vegas sur le territoire américain de la Thailande. Cela faisait seize ans depuis son fameux sauvetage dans New-York et les témoignages sur les apparitions de Plissken ont été constants tout ce temps durant… »

Une policière entre dans le poste de commandement : « Commandant ? » et un homme barbu en uniforme arborant une moue supérieure fait pivoter son fauteuil pour se tourner vers elle, qui poursuit : « Nous traçons encore l’équipe de sauvetage, Monsieur. »

Le barbu demande : « Un signal stationnaire ? » La policière confirme : « Il n’a pas bougé de cette localisation. » Le barbu en déduit en attrapant un atomiseur de parfum ou de produit désinfectant ou les deux : « Cela veut dire qu’il se cache, qu’il a été capturé ou qu’il est mort. » La policière demande : « Alors, on fait avec Plissken ? » Le barbu confirme : « c’est tout ce qui nous reste. »

Le van qui venait d’arriver ouvre automatiquement ses portes arrières : à l’intérieur, un seul prisonnier, chevelu et barbu, menoté, que quatre gardes casqués alignés en deux ailes devant les grilles retenant les civils mettent immédiatement en joue. Le prisonnier se lève et fait face aux gardes

Ses cheveux sont grisonnants, il a toujours sa barbe de trois jours, son cache-œil à gauche, son tee-shirt noir et sa veste de cuir usée, mais au moins il a échangé ses jeans contre un pantalon de treilis. Les gardes ont relevés le canon de leurs armes automatiques et encadre un chef aux cheveux blancs, qui vient d’arriver et qui déclare : « Plissken, bienvenue à L.A. Allez, on bouge… »

Apercevant le prisonnier sur l’un de ses écrans vidéos, la policière à côté du chef barbu s’étonne : « C’est ça, Snake Plissken ? » Le barbu demande à la femme : « Vous vous attendiez à quoi ? — Jene sais pas, il a l’air si rétro, genre, du 20ème siècle. » Le barbu répond en mettant sa casquette : « Le bon vieux temps ; allons y ! »

Pendant ce temps, dans la cour, une colonne de femmes, d’enfants et de vieillards sont escortés l’entrée d’un autre bunker et dans les hauts-parleurs un homme déclare : « Vous entrez à présent dans le Centre de déportation : vous avez été convaincu de crime moral contre les Etats-Unis d’Amérique et condamné à l’expulsion permanente au-delà de ses frontières ; tout refus de se conformer aux instructions de la procédure entraînera l’usage de la force. »

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La bande-annonce HD GRINDHOUSE : https://youtu.be/XRJ8UV_HLjU

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Re: Los Angeles 2013, le film de 1996

Messagepar Greenheart » Mer 24 Avr 2024 11:02

Un copié-collé du film de 1981, à réserver aux fans.
Il y a des passages physiquement très improbables, démontrant qu'il s'agit seulement d'une sorte de délire.

La dystopie est relativement crédible, mais dans la réalité, ce n'est pas la droite américaine qui est en train d'accomplir ce genre de cauchemar. Ce qui permet de réaliser que la dictature n'a pas de bord politique, la politique en dictature n'étant que du baratin et comme les religions, les wokeries, et les poses écologiques , il ne s'agit que de justifier la captation de tous les pouvoirs, l'asservissement du reste de l'Humanité au profit d'une frange et ses serviteurs zélés, et la mise à sac des ressources planétaires et de tout ce qui a déjà été construit ou accompli.
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