S'est planté au box-office.
En PVOD (streaming payant) dès le 15 juillet 2025.
Source via
Darkhorizons.
Qui au passage nous fait de l'éclairage au gaz aka révise la réalité en répétant conscieusement un gros mensonge de Jason Blum lui-même :
The sequel changed genres from horror to sci-fi action for the second chapter, a shift audiences weren’t interested in it seems.
Traduction naturelle :
la suite a changé de genre de l'horreur à l'action science-fiction pour son second chapitre, un changement qui n’intéressait par le public semble-t-il.Or, le genre de film n'a pas changé entre M3GAN 1 et M3GAN 2:0 : il s'agit toujours d'horreur à robot psychopathe, donc d'horreur de science-fiction dans les deux cas, M3GAN n'étant pas en vente telle quelle dans la réalité ni à l'époque du premier film, ni à l'époque du second. Ce qui est qualifié d'action, ce sont les robots en train de tuer et de se battre, et c'était déjà le cas de M3GAN 1.
Probablement une suggestion de Chat GPT pour prétendre expliquer l'échec cuisant au box office et rejeter la faute sur le public (aka tout le monde sauf eux et leurs banquiers et autres grands copains génocidaires du moment), et non sur la production ou le fait qu'ils ont tenter avec la suite d'enfoncer encore plus la propagande woke dans le cul des spectateurs payants.
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Jason Blum des Blumhouse studio fait son mea culpa, mais reconnaissez plutôt une stratégie de tous les studios répétées depuis la wokisation de toutes les "franchises" ou IP (propriétés intellectuelles) à succès, type Terminator etc. :
“We all thought Megan was like Superman. We could do anything to her. We could change genres. We could put her in the summer. We could make her look different. We could turn her from a bad guy into a good guy. And we classically over-thought how powerful people’s engagement was with her.”
Traduction naturelle : Nous avons tous pensé que Megan était comme Superman. Nous pouvions lui faire tout ce que nous voulions. Nous pouvions changer de genre (NDT : de film, mais le lapsus ou l'équivoque du choix des mots est assez révélateur...).
Nous pouvions la sortir en été, nous pouvions lui donner un nouveau look. Nous pouvions la changer de méchante à gentille. Et nous avons classiquement sous-estimé à quel point les gens (NDT le public)
s'était investi en elle (NDT version premier film).
Bien sûr, c'est du baratin :
* si "les gens" s'étaient investis à un point de tenir au look d'un robot psychopathe tueur plus qu'au scénario ou à la richesse du propos du film, ils auraient payé pour voir une m.rde en salle type Barbie ou Minecraft.
* Superman ne passe pas son temps à massacrer des hommes et des femmes blancs au moindre prétexte, mais tout peut encore arriver car tous les studios Hollywoodiens n'ont pas fait faillites et les salles de cinéma / multiplex américain n'ont pas encore toutes fermé, chose qui selon les gens qui tiennent ces salles est censé arriver avant cinq ans. Merci Blum et la world compagnie Black Rock et merci au Parti Communiste Chinois.
* Tous les films sortent n'importe quand en ce moment, c'est la loi du streaming aka direct en location vidéo, mais la seule chose qui compte pour ces studios et autres distributeurs, c'est d'empêcher la sortie de tout film concurrent (ou simplement de qualité) non seulement dans la semaine de sortie de leurs bouses, mais dans les deux à trois semaines qui suivent, pour que les gens qui ont encore l'habitude d'aller au cinéma n'est absolument pas le choix de pouvoir voir un meilleur film d'un genre équivalent.
* La totalité des studios ont fait de leurs méchants des gentils. Quand la même manip scénaristique est devenue systématique, en particulier avec les enfants pour public cible comme avec Disney, c'est une opération de manipulation de masse, et dans ce cas, elle a pour but de maximiser le pouvoir de nuire des méchants dans la vraie vie, et justifier leur impunité judiciaire, en particulier quand ces méchants de la vraie vie se vante de leurs crimes (contre l'Humanité) et/ou vantent les crimes de qui les fait chanter avec leurs exploits sexuels avec des jeunes françaises mineures.
* Jason Bloom et son studio Bloomhouse, comme A23 et tous les studios majeurs Hollywoodien n'ont jamais cessé de toucher des primes Diversité Equité Inclusion
Donc Bloom savait parfaitement ce qu'il faisait en fabriquant Megan, probablement avec une lourde assistance de Chat GPT, l'original de M3gan et désormais dans les jouets Hasbro et autres poupées pour petites filles avec adresse de site p.rno sur l'emballage que le fabriquant engageait à cliquer dès que possible pour les gamines.
Ce qui se passe, c'est que les gens qui payaient pour se retrouver escroquer par la propagande ne veulent plus payer, et c'est sans doute d'abord parce que comme en France, les autorités ricaines ont maximisé l'inflation concrète, et aucun faux commentaires robotisé ne changera au fait que le ticket de cinéma (et le pop corn) coûte le plus cher possible, sans jamais que ce qui est effectivement projeté ne tienne ses promesses de divertissement honnête produit par des vrais acteurs et une équipe qui fait ses devoirs aka mérite son salaire.
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