Buzz l'éclair, le film animé de 2022

Infos et retours sur les films sortis ou à venir au cinéma.

Comment avez-vous trouvé ce film animé ?

Pas vu.
0
Aucun vote
Nul !
0
Aucun vote
Bof...
0
Aucun vote
Correct.
0
Aucun vote
Bon.
0
Aucun vote
Excellent.
0
Aucun vote
Génial !
0
Aucun vote
 
Nombre total de votes : 0

Buzz l'éclair, le film animé de 2022

Messagepar Greenheart » Ven 23 Fév 2024 17:27

Image

Lightyear (2022)

Traduction du titre original : Année-lumière.
Titre « français » : Buzz l’éclair.

Sorti en France le 8 juin 2022,
Sorti aux USA et en Angleterre le 10 juin 2022.
Sorti en blu-ray 4K allemand le 26 août 2022,
Sorti en blu-ray 4K anglais le 29 août 2022,
Sorti en blu-ray 4K français pour le 31 octobre 2022.

De Angus MacLane (également scénariste), sur un scénario de Jason Headley et Matthew Aldrich, avec Chris Evans, Keke Palmer, Peter Sohn, Taika Waititi, Dale Soules, James Brolin, Uzo Aduba.

Pour adultes.

(planet opera prospective woke toxique) En 1995, un garçon nommé Andy reçu un jouet Buzz L’éclair pour son anniversaire. Il venait de son film favori. Ceci est le film en question.

L’Espace non cartographié, à 4,2 million d’années-lumière de distance de la Terre. Une fusée fonce, de son point de vue à travers un tunnel zébré d’étoiles. Ceci est le vaisseau d’exploration SC-01 du Commandement Stellaire. 1200 membres d’équipage.

Sur la passerelle de pilotage déserte baignée de la lumière des étoiles filantes, un écran vidéo s’illumine d’un graphique jaune représentant une sphère avec un point d’interrogation superposé, immédiatement remplacé par le portrait d’un astronaute bien gras.

Dans une soute remplie de sarcophages illuminés de bleu avec de la buée flottant au ras du sol, une dalle de lumière s’illumine au-dessus de l’un des sarcophages sur lequel le nom de Lightyear (Année-lumière) est écrit. Derrière la vitre embuée et dégoulinante comme dans un sauna, on distingue à peine le visage gras de l’écran vidéo précédent. Divers diodes clignotent, puis le couvercle s’ouvre, et l’astronaute en sort, apparemment sans hésitation ni aucune faiblesse.

Sans même être passé pisser dans les toilettes, déjà revêtu d’un bleu de travail, il entre sur la passerelle de pilotage et va droit à l’écran vidéo allumé, appuie sur un gros bouton vert. La fusée s’arrête pile dans l’espace intersidéral : des senseurs ont détecté des formes de vie potentielle sur une planète non cartographiée, alors ils font un détour pour enquêter : les Rangeurs de l’Espace (il parle de lui au pluriel ?) feront un premier rapport puis décideront si cela vaut la peine de sortir une équipe scientifique de leur hypersommeil, et tandis que des automates prélèveront des échantillons de sols (le commandement Stellaire a l’intention de transformer le continent forestier en mine à ciel ouvert…), Lightyear se familiarisera (absolument tout seul, ce qui nous fait en Survie un Zéro Pointé) avec les étrangetés de cette planète..

Direct, la fusée descend dans l’atmosphère, sans que Lightyear ait prévenu personne ni même fait l’effort de cartographier la planète inconnu ou encore d’y envoyer des sondes, car il est bien connu que ce que vos senseurs détectent à distance est toujours conforme à la réalité tangible — quelqu’un n’a jamais regardé Star Trek, Cosmos 1999 et n’a jamais lu de Science-fiction ou même entendu parlé de la notion de camouflage militaire ou de simulacre. Et quelqu’un n’a jamais vu Alien 1978 tout en en ayant pompé la séquence d’ouverture.

Sans regarder où il met les pieds, Lightyear fait son rapport à son avant-bras, heureusement toujours vêtu de sa combinaison environnemental, puis du haut d’un promontoire, fait confiance à ses seuls yeux pour, euh, évaluer les troncs bulbeux aux reflets et feuillages pourpres (la couleur de la bisexualité selon Disney, cf. Loki). Lightyear n’a pas un champ de vision très large, il ne voit que vaguement devant lui, ni en haut, ni en bas, ni complètement à droite ou à gauche — mais cela semble lui suffir. Il saute du (petit) promontoire), puis reprend son rapport à son avant-bras : il trouve le terrain un peu instable, et pour souligner sa remarque, il saute deux fois lourdement sur place, sans doute pour vérifier si la terre ne s’ouvre pas sous lui pour l’engloutir ou s’il n’est pas en train d’arpenter des sables mouvements ou un bain d’acide dont la surface imiterait un sol ferme, ou encore un terrain qui exploserait en cas de choc car constitué de substances chimiques instables, ou dégageant un gaz hautement inflammable comme des vapeurs d’essence tandis que le sol serait garni de silex ou de débris produisant des étincelles lorsqu’ils sont précipités l’un contre l’autre. Ce qui nous fait en Géologie un Zéro pointé.

Selon son bracelet, l’air serait respirable. Je soulignerais rien qu’au son que la vie grouille autour de Lightyear, ce qui impliquerait que l’environnement est hautement contaminé, la surface du sol d’une forêt étant habituellement constituée d’excréments d’animaux et de végétaux en décomposition, donc de pourriture, champignon etc. Ce qui nous fait en Biologie un Zéro pointé.

Selon Lightyear, il n’y aurait aucun signe de vie intelligente nulle part. Gag, l’une de ses collègues qui l’a rattrapé sans le prévenir qu’elle sortait de la fusée, lui demande à qui Lightyear parle : c’est bien entendu une femme noire qui essaie de faire croire qu’elle est plus intelligente que tout le monde, alors qu’elle aurait facilement pu être confondue avec un prédateur et se faire descendre avant d’avoir pu crier « coucou Ducon ». Imaginez seulement la même débarquant sur une planète déjà colonisée par les monstres du premier film Alien. Et bien entendu, Lightyear fait le petit enfant et prétend qu’il ne parle à personne.

Tenir un journal de bord et faire des rapports sont deux obligations des explorateurs de tous les temps, juste histoire que quelqu’un puisse être un peu plus avancé quand on retrouvera leurs combinaisons vides et dégorgeant d’entrailles et de sang. Toujours est-il que la jeune femme noire qui sait tout mieux les (hommes) blancs insiste : « tu sais bien que personne n’écoute ce genre de rapport ». Quoi, ils n’ont pas dans le futur une intelligence artificielle pour tout traduire à l’écrit et poster sur le réseau social de l’équipage. Et de toute manière, si c’est un journal intime, tout le monde s’en fiche que personne d’autre que son propriétaire ne l’écoute.

Naïvement, Lightyear explique que tenir un journal l’aide à se concentrer et rester précis (ce qui est vrai, et ça évite de gros soucis quand on se retrouve à perdre la mémoire suite à une mauvaise chute, une agression virale, un empoisonnement quand on fait la fête, une attaque psionique ou un lavage de cerveau si facile à pratiquer ou une panne de neurone qui arrive vite quand on se retrouve en léthargie pendant une longue période. Mais au lieu de l’écouter, la collègue fait mine de l’ignorer tout en multipliant les remarques blessantes, et oui, c’est du harcèlement et dans la réalité, elle serait la première à être éjectée dans l’espace intersidérale pendant son hyper-sommeil suite à une panne malencontreuse car même l’intelligence artificielle de bord ne supporterait pas pareil traitement, et nous savons depuis 2001 l’Odyssée de l’Espace à quel point ces équipements peuvent être susceptibles.

Bref, Lightyear semble incapable de grimper sans l’aide de la frêle astronaute noire un tout petit versant forestier, et ils continuent d’avancer sans jamais regarder où ils mettent les pieds ni ce qui peut se trouver sur le côté, ou en l’air, ou s’ils ne sont pas suivis. Je ne sais pas ce qu’ils appellent une vie intelligente, mais si elle essayait de leur faire signe, ils ne le verraient pas, pas plus qu’ils ne verraient arriver sur la Terre un ours ou un grand mamba noir.

Tout en continuant à parler de choses absolument sans aucun intérêt, ils allument leurs machettes laser et commence à tailler les lianes des arbres sans aucun état d’âme alors que sur Pandora, ils se seraient déjà fait massacrer pour un tel crime, les lianes et les arbres étant justement la forme d’intelligence supérieure planétaire.

Et en parlant du loup, de grosses lianes-tentacules griffues sortent du sol derrière eux pour attraper leur vaisseau spatial par ses trains d’atterrissage. Bien sûr, personne ne monte l’alarme, il n’y a pas d’alerte sismique ou même de tangage à bord, vous pouvez lâcher les graboïdes, aucun ranger de l’Espace ne survivra étant donné que leur intelligence et leur imagination sont largement inférieur à celles des habitants de Perfection.

Consigne numéro un de Lightyear au Ranger grand débutant : qu’il respecte la combinaison de Lightyear. Pas lui, pas ses collègues, la combinaison environnementale. et de ne pas parler sans autorisation – c’est pour le gag suivant : pendant ce temps, la collègue noire harceleuse est en train de filmer Lightyear sans son autorisation.

Très bien, Lightyear n’a qu’à faire la même chose quand elle prend sa douche. Et comme Lightyear réalise laborieusement qu’elle se moque encore une fois d’elle (qu’il fasse la même chose pour voir), gag ! le ranger débutant se fait attraper par les tentacules, mais n’essaie absolument pas de se dégager lui-même : il veut d’abord prévenir Lightyear — pas la collègue noire qui l’a fait venir — et qui par-dessus le marché les filme et qui devrait déjà être au courant, mais elle qui n’avertit personne, ou doit être complètement bigleuse.

Bref, en voulant échapper aux tentacules, Lighyear crashe le vaisseau (et un vaisseau crashé de plus) et bien sûr personne d’autre que lui ne pouvait piloter, même pas la donneuse de leçon noire qui sait tout mieux que personne sauf prévenir les gens quand ils se font attaquer. Et bien sûr, c’est encore elle qui explique à Lightyear comment on répare un vaisseau spatial, parce qu’il sait construire de zéro un moteur hyperspatial, mais ne sait pas le réparer ; et toujours aucun système de détection des tentacules souterraines avant qu’elles attaquent. Et jamais entendu parlé d’un défoliant, pourtant une spécialité américaine achetée à Monsanto qui tue encore aujourd’hui adultes et petits enfants au Vietnam.

Et de me demander qui sont les gros c.nnards qui ont promis une aventure de Buzz L’éclair dans l’espace intersidéral en commençant par un crash qui l’immobilisera pour le restant du film sur une seule planète, avant de l’immobiliser à bord d’un vaisseau spatial expérimental où il n’interagira qu’avec un chat robot et une lesbienne noire donneuse de leçon, qui pour cumuler suffisamment de minorité devrait aussi avoir un handicap et être islamiste.

Et comme Buzz se retrouve seul à bord de son vaisseau expérimental, le voilà harcelé par le chat robot donneur de leçon chargé de l’aider à « transitionner émotionnellement » et qui ne fait que le distraire de sa mission en lui proposant des jeux, débattre de ses cauchemars et bien sûr discuter de sa mission de chat robot, qui est tellement plus importante que la mission de Lightyear etc.

ImageImageImageImageImageImage

***



La bande-annonce officielle HD PIXAR: https://youtu.be/BwZs3H_UN3k

*



La bande-annonce officielle HD DISNEY FR: https://youtu.be/q41VoF95fmI

***
...d'un G qui veut dire Greenheart !
Greenheart
Administrateur du site
 
Messages: 10956
Inscription: Sam 15 Nov 2014 19:56

Retourner vers Cinema

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 34 invités