"vous êtes rigide, (pour vous il n'existe pas de milieu entre) la vie et la mort" Smith à Atlas (joué par Jennifer Lopez dont le personnage petite fille élevée sans père porte un nom d'homme de la mythologie gréco-romaine) aux alentours d'une heure six de la présentation.
Tout à fait : l'amour c'est la haine, la guerre c'est la paix etc.
Et sortez de votre bulle de lucidité critique prudente pour embrasser la désinformation officielle béate et la propagande des agents payés pour la diffuser.
Et surtout, si un pays se vante de tuer tout le monde et brûle les cadavres tout en forçant les populations à se rendre dans les zones bombardées et en les affamant, ce n'est pas un génocide ni un crime de guerre odieux.
En un mot, soyez fou et tergiversez.
Netflix essaie de nous dire quelque chose dirait-on, et c'est curieusement la même chose qu'on nous répète dans tous les JT français, sur tous les écrans des GAFA et autres déchets Hollywoodiens récents. Il s'agit bien sûr d'une technique hypnotique, qui fonctionne clairement sur les esprits apeurés conditionnés à la servilité et dressés par un certain nombre d'agents de propagande ciblant particulièrement les jeunes générations.
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Netflix Atlas 2024 semble initialement résumer et poursuivre le film Simulant avec le même Simu Liu dans le même rôle avec un nom différent, sans créditer les auteurs de Simulant. Plus il ne s'agit pas du tout du même message, Simulant étant plutôt pro-vie et pro-humanité, vu sa conclusion : ce n'est pas le cas d'Atlas, qui force un modèle d'humanité et de logique prospective inepte et mortel pour le spectateur s'il s'avise de le suivre dans la réalité. Et c'est encore un film où l'héroïne au fil du dialogue envoie des fleurs à ses scénaristes supposés ("c'était cool" en parlant de la ligne de techno-baratin qu'elle vient de sortir).
Passer l'introduction et le départ de l'héroïne complètement seule dans l'espace pour une mission stupide sur la base d'une possible fausse information, le film devient prétexte à enchaîner des cinématiques de jeu vidéo et faire de la publicité pour Chat GPT rebaptisé Smith et surtout publicité pour Neuralink ou son équivalent, en promettant de ne faire qu'un avec la machine (donc de perdre son identité, donc d'être contrôlé et de ne plus pouvoir vivre avec sa propre communauté cellulaire sans dépendre d'implants, de drogues et d'une multinationale probablement criminelle contre l'Humanité).
Si l'on se cantonne au contexte du récit, ces dialogues avec Smith servent d'abord à jouer la montre et ressasser à l'agonie les mêmes très rares éléments contradictoires du "scénario". On notera au passable la même ineptie totale que de priver un pilote blessé de l'accès au contrôle de son propre véhicule s'il est blessé, déjà vu dans The Adam Project : c'est seulement pour gagner cinq à dix minutes de temps d'écran sans avoir de quoi raconter quoi que ce soit de cohérent ou pertinent.
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Le film entier est complètement inepte et incohérent à chaque scène : des millions d'êtres humains dont la mère de l'héroïne ont été massacré par les intelligences artificielles et pourtant l'héroïne dort tranquillement dans une maison entièrement contrôlée par une intelligence artificielle, suit un régime contrôlé par intelligence artificiel, boit un café préparé par des intelligences artificielles qui sont à l'évidence selon une autre scène capables de tuer un être humain en lui projetant un composant mécanique à la figure donc n'importe quelle produit d'entretien hautement toxique ou bassement cancérigène, ou d'infuser le café avec une eau rempli du bacille de la maladie du légionnaire soigneusement multiplié par une montée et descente en température de l'eau croupie.
Et elle compte embarquer pour une planète extraterrestre à bord d'un robot contrôlée par une intelligence artificielle qui s'est choisie un genre, tandis que l'humanité entière jusqu'à ses androïdes sont identifiés par un genre et non un sexe, ce qui implique forcément la stérilisation et le viol de tout être humain biologiquement sexué.
Une autre ineptie que possiblement un baratin fera passer pour vraisemblable dans le film mais invraisemblable de fait : la totalité des forces armées humaine ont leur cerveau directement connecté aux intelligences artificielles qui ont massacré la population humaine, sous prétexte d'efficacité. Et il est plusieurs fois démontré que cette connexion permet de paralyser l'être humain et de forcer des hallucinations qui remplacent la perception de la réalité qui l'entoure tout en le manipulant émotionnellement et le torturant. Mais c'est bien sur "pour votre bien". (cf. Alice Miller, c'est pour ton bien - lisez-le d'urgence si vous ne l'avez pas déjà fait).
Qui impose et qui contrôle ces intelligences artificielles n'est pas mentionné au point où j'en suis dans le film, soit plus d'une heure sur une heure cinquante
Plus tard nous apprenons que la Terre a envoyé cette plouc (l'héroïne) au pire ennemi de l'humanité AVEC LES CODES DU SYSTEME DE DEFENSE NUCLEAIRE POUVANT ANEANTIR LA TERRE ET L'HUMANITE AVEC, ce qui est l'objectif déclaré du pire ennemi en question depuis le tout début.
Et il y a une parodie référencée Barbarella à faire : "Smith il faut m'aider!!! -- je suis incapacité mais tu peux me libérer si tu peux te synchroniser à 100% avec moi."
Pourquoi l'héroïne a-t-elle besoin d'une vision tête haute, d'une carte etc. quand elle est à 100% connectée télépathiquement à son intelligence artificielle robotisée Smith ?
Réponse : seulement pour remplir votre écran d'effets spéciaux tous pleins de jolies couleurs HDRisées qui bougent très vite et font ressembler le spectateur à un lapin hypnotisé la nuit par les phares d'une voiture fonçant droit sur lui.
Netflix Atlas le film de 2024 est extrêmement woke y compris dans des détails subliminaux.
Il appartient donc à une stratégie globale d'extermination des occidentaux -- en particuliers les spectateurs et spectatrices qu'il s'efforce de séduire -- par stérilisation, addition aux traitements médicaux, mutilations sexuelles et confusion d'identité et maximisation des dommages et cancers causés par les infections sexuelles, torpillant tout budget de sécurité social à une époque où l'occident est surrendetté. La violence de cette stratégie est clairement démontrée par la censure de tout ouvrage et conférence, et les agressions répétées de leurs auteurs.
Vous le constatez dès le début du film où apparaît à l'écran une description de l'identité d'un "homme" "noir" comme de "genre masculin".
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