Mother/Android, le film de 2021

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Mother/Android, le film de 2021

Messagepar Greenheart » Dim 28 Avr 2024 14:21

Image

Mother/Android 2021
Traduction : mère / androïde.

Toxique.

Diffusé aux USA à partir du 17 décembre 2021 sur HULU US.
Diffusé à l'international et en France à partir du 7 janvier 2022 sur NETFLIX INT/FR.

De Mattson Tomlin (également scénariste et producteur) ; avec Chloë Grace Moretz, Algee Smith, Raúl Castillo, Linnea Gardner, Kiara Pichardo, Oscar Wahlberg, Christian Mallen, Jared Reinfeldt, Liam McNeill, Stephen Thorne.

Pour adultes.

(prospective, robots, AI apocalypse, woke toxique) L’obscurité. Une jeune femme blonde s’y reprend à trois fois pour allumer un feu de cheminée avec un briquet. Puis, regardant une photo polaroïd, se demande comment on peut laisser quelqu’un derrière soi, le quitter pour de vrai, le laisser tellement en arrière que cela vous semble comme si vous ne l’aviez jamais rencontré ? Elle caresse le visage sur la photo puis semble pousser un gros soupir.

Dans les toilettes, l’air aussi constipée qu’auprès du feu, elle aligne trois tests covid positifs… non, trois tests de grossesse, en fait. L’homme de la photo, un jeune homme noir nommé Sam qui a l’air aussi constipé qu’elle mais qui n’est pas plus assis sur le trône qu’elle (il semble que le carrelage de leur salle de bain soit très confortable, à moins qu’il ne s’agisse d’une subtile mise en scène pour cadrer leur accablement), suggère à la jeune femme de faire un quatrième test. La jeune femme pousse (à nouveau pour le spectateur) un gros soupir.

Sam lui demande alors ce qu’elle compte faire. Elle soupire à nouveau : elle veut juste rester là, assise sur le carrelage de sa salle de bain. Sam répond qu’il veut juste qu’elle sache qu’il la soutiendra, peu importe ce dont elle a besoin. Elle répond « Ok », et Sam s’indigne : ne va-t-elle pas dire quelque chose à la fin ? La jeune femme semble être outrée et déclare qu’elle sait que Sam essaie d’être gentil et qu’il s’inquiète pour elle mais elle veut juste qu’il s’arrête. Nous supposons alors que l’héroïne est super-raciste et en veut vraiment à son compagnon de l’avoir engrossée alors qu’elle ne cherchait qu’à réaliser un fantasme sexuel avec lui.

Sam propose alors à « G » de l’épouser, ce qui est super-romantique assis à côté de la cuvette des WC et que nous ignorons toujours s’il lui a au moins offert un repas et une sortie cinéma (pas évident en ces temps de pandémie) avant de la mettre enceinte, et nous supposons que la blonde devait également être allergique au préservatif féminin et son compagnon ignorer comment on met un préservatif. Ou alors conformément aux consignes des autorités, supposait que leurs masques faciaux les protégeraient.

« G » semble décidément à court de vocabulaire, à moins que ce ne soit ses dialoguistes qui soient à court de clichés. Toujours est-il que Sam insiste lourdement : il est sérieux, faisons-le, et puis quoi, il l’aime. Une voiture klaxonne sous leur fenêtre, et là je suppose que « G » en fait est déjà mariée à un suprémaciste blanc, ou bien le bébé est de Bill Clinton et a été procréé sur l’île d’Epstein pendant qu’Hilary démolissait ses téléphones portables à coups de marteaux pour ne pas les remettre au Sénat américain.

Quelqu’un descend de la voiture et « G » se lève en disant qu’ils sont là (les androïdes tueurs d’humains ?). Elle enlève une de ses chaussettes et y glisse les trois tests covids positifs, mais elle oublie son smartphone sur le rebord de l’évier, ce qui prouve que ce film est de la pure fiction et n’a rien de scientifique. Elle sort en laissant la porte des toilettes ouverte, et Sam se lève et retrouve « G » et M. et Mme Olsen, les parents de « G ». Celle-ci insiste pour que personne ne conduise ce soir, elle a d’ailleurs commandé un taxi. Passionnant.

Mme Olsen demande à sa fille si elle va bien parce qu’elle la trouve un peu jaune, et ne s’étonnent pas que « G » n’ai qu’une seule chaussette à son pied. M. Olsen demande quels parents seront à la fête, et « G » répond aucun, ils sont à l’université. Comme Sam et « G » sortent de la maison, le domestique un peu raide — dont les yeux brillent soudain d’un éclat bleu. Nommé Eli, il souhaite à Sam un joyeux Halloween, et Sam corrige, c’est Noël aujourd’hui.

A la fête, ils sont servis par Daniel, un autre androïde à la peau blanche et au prénom juif. Le jeune maître de maison demande du rhum avec le cocktail, le jeune homme répond par un code qui lui permet d’annuler la directive parental qui interdit à l’androïde de servir du rhum. Dans la salle de bain, « G » avoue à une autre blonde qu’elle a super-peur, surtout parce que Sam essaie d’être gentil. Et comme sa potesse blonde lui demande ce qu’elle va faire, « G » répond qu’elle pense qu’elle va prononcer le mot avortement, interdit à la télévision américaine donc sur HULU qui diffuse ce qui ressemble de plus en plus à un téléfilm de m.rde.

Elle est interrompu par un énorme biip grésillant, qui lui fait si mal aux oreilles qu’elle laisse échapper son smartphone, dont l’écran diffuse à présent un film en crypté sur Canal Plus. Le biip continue de grésiller. Les lumières vacillent, les deux blondes entendent un choc sourd et un jeune homme en train de crier d’arrêter tandis qu’une jeune femme hurle. Elles descendent rejoindre la fête au rez-de-chaussée où Daniel l’androïde juif est en train d’étrangler une autre femme. Le jeune maître de maison traverse la pièce en criant « non, non, non, non, arrête ! » et tiens donc, cette fois il n’utilise pas son super-code pour annuler la consigne de tuer tout le monde ? Curieux.

L’androïde utilise alors le jeune maître de maison pour ouvrir une fenêtre à guillotine sans la soulever. Sam crie alors à « G » de courir, et comme elle obéit, l’androïde apparait devant elle, alors Sam lui dit de courir dans l’autre sens, et l’androïde apparait à côté d’elle et Sam se jette sur Daniel et l’étrangle. « G » se jette sur l’androïde qui la dégage d’un coup de pied.

Arrive un autre invité — ils étaient où tous les autres ? — qui à coup de canne de golf fracasse la tête de Daniel, qui apparemment a son cerveau au même endroit qu’un bête humain, ce qui n’était pas gagné. « G » déclare alors que les androïdes ne sont pas censés tuer — un peu comme les drones tueurs, les couteaux, les mitrailleuses lourdes et les tanks ou la bombe atomique fabriquée à partir d’une énergie verte selon les gouvernements français alors ?

Et pour confirmer les dire de « G », on entend des cris dehors et encore une femme qui demande d’arrêter. Il est vrai que demander à un terroriste ou un tueur en série de s’arrêter de tuer tout le monde à Noël a toujours fonctionner, il faut donc continuer, peu importe le nombre de victimes qui vous auront précédé.

Les randonnées sont très à la mode en ce moment dans les films et séries de Science-fiction américains. C’est seulement bizarre que les touristes veuillent éviter la route quand il y en a une qui mène directement au camp à disposition des androïdes et de leurs drones.

Dans la rue, ça tire de partout et les quatre survivants restent plantés là au milieu. La potesse blonde tombe alors après une balle reçue en pleine tête (pas assez bien roulée au goût de la production pour rester en vie plus que le premier quart d’heure ?), mais les trois autres continuent de rester debout immobiles bien alignés au milieu de la rue avec une expression étonnée, tandis que le quartier brûle. Qu’est-ce qui empêchait le tireur de les descendre dans la foulée ? Le scénario ?

Plus tard, Sam et « G » sont au lit sous une tente illuminée (c’est plus discret) en pleine forêt noire la nuit et apparemment le rendez-vous au planning familial a dû être déprogrammé, puis qu’elle a le ventre rond. Ils entendent un craquement, sans doute un ours, mais ce n’est pas grave, « G » demande à Sam de rentrer et de ranger son pistolet automatique. « G » se réveille, il fait jour, Sam ouvre la fermeture éclair de la tente et lui demande comment elle va : elle a mal aux pieds, aux seins et elle a fait un mauvais rêve. Sam rigole et lui demande d’être sérieuse, il faut qu’ils se remettent en marche (pour où ?). Le plan doit être d’accoucher en pleine nature.

Alors qu’ils sont censés éviter les routes, il tombent sur une voiture et un cadavre d’androïde brûlé attaché à un poteau. Conseil de « G », bouger lentement. On leur ordonne alors par mégaphone de s’arrêter, lever les mains, déposer leur sac à dos. Ils s’exécutent. On leur demande s’ils ont des armes : « G » répond qu’ils ont une machette et un revolver et qu’elle est enceinte de neuf mois. Ils avancent ensuite entre deux grillages et des militaires passent au détecteur de métal, on teste leur sang et on fouille leurs sac à dos. Ils peuvent donc enfin entrer dans le camp de réfugiés, le genre de lieu super-plus facile à repérer par satellite ou en observant les réfugiés converger, ou simplement en captant le bruit des ballons qui rebondissent sur le sol.

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La bande-annonce officielle HD HULU : https://youtu.be/JRl214mDZ-g

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Re: Mother / Android, le film de 2021

Messagepar Greenheart » Dim 28 Avr 2024 14:25

Encore un film covid woke avec des flashs forwards et backs typique des productions qui ne savent pas raconter une histoire dans l’ordre chronologique — et dont l’action s’arrête à chaque fois que cela risque de devenir intéressant. Sans oublier des disputes qui ne servent qu’à jouer la montre, et des dialogues d’exposition qui servent à ne pas montrer ce qui était promis au spectateur et qu’il aurait voulu voir : le jeune couple tenter d’atteindre New-York, la bataille de New-York.

Le couple de héros, mixte comme dans toutes les productions woke, sort de nulle part : on ne voit rien de leur rencontre, rien de pourquoi ils se sont rencontrés, pourquoi ils sont tombés amoureux, pourquoi ils ont couché ensemble — elle avait trop bu ? elle avait pris du GHB en pensant que ça coûterait moins cher et qu’elle pourrait conduire sans risquer le contrôle d’alcoolémie ? — Après tout, comme le dialogue le prétend, ils sont censés être à l’université, vous savez là où les fêtes privées ne compte strictement que quatre invités à domicile et seulement avec l’autorisation des parents), rien de leur société où les androïdes blancs aux prénoms juifs les serviraient servilement, rien de qui les fabriquent, les programment, rien de comment ce jeune couple a réussi à survivre et trouver le camp de réfugiés.

Et bien entendu les disputes du gentils couples sont barbantes et artificielles et les jeux de c.ns servent à pousser les héros dans la direction souhaitées par la production — celles qui évitera d’avoir à filmer autre chose que les deux acteurs principaux seuls sous une tente ou dans une maison abandonnée — production occupée à remplir du vide avec du vide et se mettre dans la poche le peu de budget indispensable pour raconter une histoire digne de ce nom.

Et à ce naufrage s’ajoute bien entendu la déferlante de critiques officielles parfaitement fausses essayant de faire passer Mother / Android pour un nouveau Les Fils de l’Homme 2006, qui lui est un vrai film, avec des vrais acteurs, un réalisateur brillant, un scénario et un récit de Science-fiction formidable. Le seul point commun est qu’il y a une femme enceinte dans les deux films. Incidemment, il est strictement impossible que le camp de réfugiés tenu militaire n’ait pas été détecté il y a très longtemps : ils font simplement tout ce qu’il faut pour. Leurs tirs s’entendent à des kilomètres à la ronde, ils allument de grands feux visibles là aussi à des kilomètres à la ronde et surtout visibles de nuit dans le ciel sur les nuages comme n’importe quel éclairage public.

Spoiler : :
Les auteurs de Mother / Androids n’ont pas lu Rossum Universal Robots, la pièce de Karel Capek, l’inventeur du mot Robot (moi je l’ai lue) : le dénommé Arthur — qui se révèlera le seul androïde qui curieusement n’a pas les yeux qui brillent et un prénom chrétien, trop facile pour les scénaristes qui peuvent lui faire dire n’importe quoi et s’en tirer par autant de pirouettes qu’ils veulent : il mentait, il n’en sait rien etc. et voilà un « et en même temps » de plus — prétend que dans la pièce le créateur des robots voulait prouver que Dieu n’existait pas et prétend qu’il s’agit des mêmes robots que les androïdes qui dans Mother / Android exterminent les humains. Echec total : dans la pièce, le créateur crée des humains simplifiés et prétend que ces nouveaux esclaves ne se révolteront pas. Ils se révoltent et deux d’entre eux deviennent les nouveaux Adam et Eve, aussi humains que les humains l’étaient.

Cinq minute plus tard, le même Arthur prétend que les humains sont « programmés par leurs hormones » et que les humains ne se sacrifient jamais pour une mission, et que l’amour rend égoïste et tuera les humains. Incidemment ce sont les propos d’un psychopathe et clairement leur auteur n’a jamais programmé quoi que ce soit. Plus le mot « amour » recouvre un très grand nombre de sentiments, dont une majorité ne sont pas aussi stupide que l’amour charnel ou l’amour passionnel obsessionnel, ou l’amour de la bonne chair (jeu de mots) du cannibale.

Et le dénommé Arthur ne cesse de porter des lunettes avec le verre droit complètement fêlé alors qu’il aurait dû ôter le verre qui l’empêche de voir et peut facilement crever son œil si jamais les éclats tombent, tout en conseillant à l’héroïne de se comporter davantage en androïde psychopathe, avant de se mettre à chialer sur le gros ventre et de répéter qu’ils sont tous morts. Super cohérent et surtout utile et pratique comme conseil et attitude. Puis il propose à l’héroïne d’accoucher en tenue de camouflage anti-vision d’androïdes, qui n’empêchera pas de la détecter au son et à l’odeur (donc la respiration et les battements de cœur, la transpiration, les hormones, le moindre pet et la gougoutte d’urine, si je ne m’abuse).

Plus tard, Arthur prétend que les androïdes retiennent des êtres humains et les torturent pour attirer avec leurs cris d’autres humains. Pourquoi ne sont-ils pas tout bêtement capables de crier à leur place, ou de diffuser des enregistrements tirés de films d’horreur ? Strictement aucune raison de garder un seul humain capturé en vie, mais je suppose que c’est la seule idée que le scénariste a trouvé pour rallonger le film en tenant compte des mesures COVID. Trop drôle, l’héroïne qui hurle tout le long du trajet au départ de la prison tenue par les androïdes et pas un seul androïde ni drone pour les poursuivre comme c’était pourtant arrivé plus tôt dans le film, tout en suivant la seule route en pleine forêt pour quitter les lieux.

Jamais à aucun point du film la production aura daigné nous montrer qui a construit ces androïdes, pourquoi ils se sont mis à tuer tous les êtres humains. Ah si, il semblerait qu’ils aient confondu Noël et Halloween, sans doute en regardant une fois de trop L’étrange Noël de Mr. Jack ? Ou peut-être ont-ils trop regardé sur Disney Moins toutes ces séries Star Wars à la gloire de mercenaires assassins ? En clair aucune construction d’univers, juste des clichés de plus copiés collés des Terminators ou de n’importe quelle série Z qui aura suivi ou précédé, que du message pro-mort, et du wokisme puant qui se tire magistralement plusieurs balles dans les jambes avec le pire couple mixte jamais vu sur vos écrans dont la blondasse à l’endurance surhumaine qui laisse son amant noir qu’elle n’a même pas voulu épouser se faire mutiler, le largue cul-de-jatte après avoir revendu le bébé à la Corée du Nord pour le droit de se les geler sur un quai.

Nous en arrivons au coup de théâtre inepte : pour entrer dans Boston, personne ne vérifie si vous êtes un androïde du moment que vous êtes accompagné par une femme enceinte. Mais bien sûr : si un bête camp de réfugié passe au détecteur de métaux, fait des tests sanguins et je ne sais quelle autre précautions, et une ville entière tenue par des militaires, nada, entrez avec qui vous voulez.

Allez savoir comment et pourquoi, c’est l’héroïne qui vient d’accoucher par césarienne qui galope partout jusqu’à la manette du dispositif censé repousser temporairement les androïdes par effet électromagnétique pulsant, et elle fait même un grand écart entre le grillage censé retenir la horde d’androïde et la manette, car c’est bien connu qu’un ventre fraîchement découpé et recousu permet tous les exploits de force et d’étirement.

Mais tout cela pourquoi me direz-vous ? pour abandonner le bébé au premier koréen (du Nord ?) venu qui voudra expérimenter médicalement le prochain prétendu vaccin covid. Quel courage, quelle grandeur d’âme ! La prochaine fois, apprends à démonter les antennes wifi qui permettent androïdes de chez Méta de communiquer et les gourdes dans ton genre d’accélérer la fin du monde à force de tweeter et d’instagrammer et on comprend mieux pourquoi la prétendue koréenne ne veut pas d’une blondasse de plus qui n’aura jamais cessé d’être parfaitement maquillée toute la durée de l’histoire.


Maintenant, j’ai le regrettable devoir de constater que Chloë Grace Moretz, une actrice autrefois prometteuse, vient avec Mother / Android de dépasser son quota de daubes, après nous avoir gratifier successivement de Carrie La vengeance, la Cinquième Vague et de l’ignoble Shadow In The Cloud. A l’instar de Ben Kingsley ou Sam Neill, soit elle ne s’intéresse qu’au fric, soit elle fait avec, peu importe le scénario, soit elle n’a aucune culture ni aucune vision au contraire d’un certain nombre d’acteurs et d’actrices clés de la Science-fiction et du Fantastique, dont le seul nom permet de retrouver tous les bons films et toutes les bonnes séries, par exemple Sigourney Weaver, Viggo Mortensen, Anne Francis.

En conclusion, sur le même thème de départ que The Michells vs The Machines, Mother / Androïd est un naufrage soporifique et un gaspillage total de votre temps. Je gage que la production était trop occupée à copier-coller et wokifier pour réaliser que le coup de donner à tous les androïdes clairement visibles des prénoms juifs et une peau blanche, tout en les utilisant carbonisés pour décorer l’entrée d’un camp était antisémite et odieusement rappelant des rafles et incinérations de la seconde guerre mondiale.
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