Toxique propagandaire : le comportement des prétendus spécialistes à l'écran vis à vis de requins est ineptes. Les défenderesses des requins (toutes des femmes aux cheveux colorés d'allure plus ou moins intellectuelles limite ) sont présentés comme prêtes à laisser tuer tout le monde en coupant la balise du requin mangeur d'hommes comme de femmes et d'enfants. Anne Hidalgo maire de Paris est caricaturée dans ce film, mais aucun autre membre de la classe politique tels le président Macron ni aucune chaîne d'information officielle, ni aucun patron des médias.
(monstres, woke, artificiel, toxique propagandaire) Les espèces qui survivent ne sont ni les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais plutôt celles qui s’adaptent le mieux aux changements. Basé sur Charles Darwin.
NDT : La citation est fausse et contraire à ce qu’affirme Charles Darwin dans son traité L'Origine des Espèces, publiée en 1859 : une espèce survit parce qu’elle a déjà les caractéristiques physiques lui permettant de survivre aux changements et non parce qu’elle s’est adaptée.
Une boule à neige contenant une réplique miniature de la Tour Eiffel flotte entre les eaux sombres sous la surface d’une eau jonchée d’autres objets flottant à la surface, tandis que le fond d’un navire avance au-dessus.
A la surface, l’Explore Yacht (!?!) avance, son échelle pour descendre et remonter sur le pont déjà ou encore en place. Le yacht traverse une zone où la surface des eaux est abondamment jonchée de débris, tandis que deux plongeurs torses nus rangent apparemment leur équipement, et qu’une troisième membre d’équipage en chemise à fleurs fouille dans une caissette en plastique fluo.
Puis une femme (Sofia Assalas) enregistre sa présentation vidéo, l’air convaincue : « Nous sommes ici sur le septième continent, un vortex de déchets d’une superficie de trois millions de kilomètres carrés — soit quatre à six fois la France : environ un million d’oiseaux et cent mille mamifères marins meurent chaque année de l’ingestion de plastique… »
La femme s’interrompt avec un geste de lassitude : « Oh non, c’est nul ! » Le caméraman proteste : « Non mais vas-y ! »
La femme explique : « Non mais dès que je donne des chiffres, c’est nul ! » Le caméraman soutient : « mais non c’est pas nul ; tu vas pas couper : vas-y, reprend ! » La femme soupire. Le caméraman lui sourit et lui caresse le menton : « Vas-y ! Je t’aime ! » La femme sourit à son tour et minaude : « Arrête ! — Allez, on y va ! — Ok, vas-y — action ! »
La femme reprend son laïus : « Depuis plus de trois ans, avec mon équipe nous balisons différentes espèces de requins afin d’étudier leur évolution biologique… »
La voix d’une autre femme l’interrompt : « Sofia ! » et une jeune fille aux cheveux roses cavale lourdement pour stopper face au couple, talonné par un plongeur baraqué barbu torse nu : « ça y est, on a un signal… On y va ? » Le caméraman se tourne vers la femme (Sofia) : « Allez go ! »
Tous migrent vers l’arrière du pont supérieur, c’est-à-dire les escaliers menant au point inférieur, tandis que Sofia lance : « Cap sud-est, stabilisez à six mètres et vous l’attendez ! » et son compagnon : « Allez go, go, go, go, go les gars : plongée dans cinq minutes ! »
Le caméraman dépose son appareil vidéo dans un casier plastique fluo orange à côté du micro-ondes ( !) du coin cuisine en plein air ( !!!) sur le pont inférieur, tombe la chemise. L’autre plongeur, le baraqué barbu déjà torse nu répond : « Je vais charger les darts pour la biopsie, y’a juste les caméras… » et un autre homme lui répond : « C’est bon, elles sont fixées — mais les pétez pas cette fois ! »
Un autre plongeur se plaint : « Putain, elle pouvait pas nous faire plonger dans un endroit plus dégueux ? »
Dans le poste de pilotage du yacht, deux femmes se précipitent, dont Sofia, qui étrangement a trouvé le moyen de se rhabiller instantanément alors qu’elle tombait sa chemise comme les autres la minute d’avant. Sofia chausse un casque-micro et consulte l’écran LCD couleur monté sur le tableau de bord, affichant une carte à très grande échelle avec leur position et leur course… entre l’Australie et l’Amérique du Sud.
Sur le coté de la carte, sont affichés : Lilith (apparemment le petit nom de la requine, NDT : déesse mésopotamienne liée au vent et à la tempête, devenue démon infernal dans la mythologie judéo-chrétienne) ; âge 3 ans, 546 jours (NDT : une année standard fait 360 jours, 3x360 jours font 1080 jours, soit deux fois plus que trois ans) ; Espèce Mako ; vitesse 20 km/h, température 24 degrés, lieu taguée : Nord de l’Océan Pacifique ; dernier ping, 25 avril 2021, 2 heures 11 et 22 seconde de l’après-midi.
En bonus en bas à droite de l’écran, une photo de la requine qui sourit de toutes ses dents remontant à la surface pour sans doute happer un plongeur ou une autre quelconque juteuse proie.
Nous sommes donc le 25 avril 2021 à deux heures 11 au milieu du Pacifique Sud. Sofia fronce les sourcils et demande à sa collègue la distance : « Cinq cent mètres. »
La jeune fille aux cheveux roses — qui en quelques seconde a chaussé une casquette et son casque micro — a lu la distance écrite en gros sur l’autre écran plat affichant un balayage radar et une température de 21 degrés, soit trois de plus que le premier écran au même instant. La fille aux cheveux roses sourit elle aussi de toutes ses dents en précisant : « Elle s’approche ! »
Sofia partage visiblement l’enthousiasme de sa collègue : elles vont bientôt avoir une vidéo de leurs plongeurs en train de se faire bouffer en direct. Je note qu’aucune de ces wokettes n’avaient l’intention de plonger avec les hommes.
Film woke écrit suffisamment bizarrement et ignorante des réalités physiques, biologiques et sociales pour que je suspecte un usage immodéré de Chat GPT / Intelligence artificielle / perroquet heuristique, des scénaristes prétendus.
Ces gens sont censés être spécialistes des requins et violent strictement la totalité des règles en matière de plongée.
Spoiler : :
Plus tard dans le "nid" de la requine, tous ces experts gueulent à qui mieux mieux, non pas pour éloigner la requine, ce qui serait plus logique : les requins n'aiment pas les bruits violents, il aurait d'ailleurs suffit d'une sirène voire de pétards ou feux d'artifices pour la faire déguerpir. Et bien sûr, la police préfère discutailler plutôt que d'évacuer tout le monde à coup de gaz et de matraque. Le gaz lacrymogène aurait aussi fonctionné d'ailleurs : les requins n'aiment pas l'arsenic que les lacrymos épandent sur les manifestants.
Jeux olympiques ou pas, la police parisienne parait étonnamment cool vis à vis de plongeurs non identifié venant possiblement de déposer leurs charges explosives afin de par exemple, noyer le métro parisien, ou faire sauter des ponts et autres bidules qu'on trouve facilement près ou dans la Seine.
Pourquoi la plongeuse wokette aux cheveux bleus (après la wokette aux cheveux roses) cache d'abord qu'elle cherche un requin ayant bouffé un conducteur automobile ?
Personne ne cache les cadavres mutilés aux touristes quand on les remonte sur les bords de Seine ?
L'hélice d'un bateau ne fait pas les mêmes marques de dents qu'une attaque de requin, et le cadavre est très frais, pas du tout gonflé ni rongé par d'autres bestioles.
"Vous allez vous faire bouffer par ce requin qu'a déjà bouffé le bonhomme que vous venez de me montrer ?"
Réponse de la wokette à la wokette : "Moi je veux juste savoir si ce requin existe."
Le type qui prétend qu'on a plagié son scénario devrait avoir honte d'avoir écrit lui-même un tel torchon, et si les scripts étaient réellement proche à ce point, il pourrait très bien avoir écrit son script à lui avec la même sorte d'intelligence artificielle.
L'équipe des policiers plongeurs semble uniquement originaires d'Afrique noire et du Maghreb. Leur rapport éminemment factuel et scientifique : "On a senti une présence, un truc énorme..."
Spoiler : :
Plus tard, je remarque pour la première fois un dénommé Nils parce qu'il fait sombre que sa pâleur tranche dans l'obscurité de la scène, mais il est seulement là pour se faire bouffer après n'avoir rien fait d'utile, tandis que le woket "parce que je suis un lâche" Adil qui est allé plonger devant la gueule de La requine (les requins ne sont pas sourds) s'en sort comme une fleur.
"Vous avez coupé la balise et mis en danger nos vies : vous ne suivez au commissariat." Réponse de la wokette : "Ne me touchez pas." Et les policiers obtempèrent, car une wokette a toujours raison.
Et comme je l'avais deviné, la requine mangeuse d'homme n'a pas touché à la policière wokette noire-africaine qui voulait lui faire une bise pour vérifier si elle existait pour de vrai.
Incidemment, les radars c'est pas fait pour les cochons ? ni les Wokettes ?
"Qu'est-ce qui a plus de valeur que la Vie ?" déclare la wokette Mika aux cheveux verts du collectif "Save Our Seas" : "Lilith s'est perdu dans la Seine, il faut la sauver, la sauver c'est hurler... à la face du monde que ce monde nous appartient, on va retrouver ce requin et lui rendre sa liberté."
Une petite seconde : Lilith est vivante, donc ce que Mika est en train de dire, ce n'est pas que la vie d'un requin a autant de valeur qu'une vie humaine, mais qu'elle a plus de valeur que n'importe qu'elle vie humaine et n'importe quelle quantité. Et donc a priori, que la vie des wokettes, et des gens qui les aideront.
Parodie d'Anne Hidalgo dans la posture et avec le ton de la voix : "Croyez-le ou non, je compatis..." Mais cette Anne Hidalgo est teinte en blondasse, pour la faire passer pour une Karen. Je me demande bien qui a payé le budget de ce film et pour qui font campagne la production.
Et ma question suivante serait : pourquoi la production n'a pas parodié également Macron, qui habite Paris et qui intervient en permanence dans les médias, avec ou sans ses sous-fifres ?
Et où sont CNews, BFM, France Télévision et toute la clique qui lessivent également la permanence l'actualité au point que personne n'arrive plus à distinguer un gag de Grosland et n'importe quel sujet d'information (ou d'un faux mation) habituellement diffusé sur toutes les chaînes au mot près à la télévision française ?
J'en déduis que Sous la Seine est, en plus de tous les autres vices, un film de propagande macronesque aka au service des ultra-riches, plutôt ceux déguisés en gens de droite plutôt que ceux déguisés en gens de gauche.
Spoiler : :
Lorsque un chapelet d'obus explose sous l'eau, tout animal et toute personne dans l'eau ou sous l'eau remonte le ventre en l'air : l'onde de choc de l'explosion se propage et détruit les organes fragiles tels le cerveau, les ouïe etc. Cf. la pêche à la grenade. Surtout que l'explosion est beaucoup plus massive qu'elle ne devrait l'être. La requine et sa progéniture auraient dû en être les première victimes, car on ne s'adapte pas à une onde de choc.
Par ailleurs, d'où vient toute l'eau à la fin du film : je veux bien que les bombes envoient de l'eau dans toutes les directions, mais fassent monter le niveau de la mer ou le niveau de la Seine EN AVAL, c'est impossible.
Plainte pour "parasitisme" (nouvelle forme de plagiat) rejetée : le plaignant n'a pas porté plainte contre la bonne personne judiciaire (Netflix France au lieu de Pays-Bas). Une seconde procédure est en cours contre la production de Sous la seine.
Les arguments du plagiat parasitisme, pour ce qui en est rapporté, consiste essentiellement à dire que Silure (le script prétendu plagié) est un script woke, et que Sous la Seine a aussi un script woke, donc ils ont leurs clichés woke en commun : une wokette héroïne appuyée par une écolote wokette héroïne luttant contre une grosse bébête dans la Seine avec forcément les mêmes lieux utilisés pour les mêmes scènes à Paris.
Les articles ne disent pas si la scène d'ouverture serait strictement la même pour Silure et pour Sous la Seine, ou si le tsunami final et ses mines mitraillées sont aussi à la fois dans Silure et Sous la Seine. Je doute très fort que l'idée soit ne ne pas spoiler sous la Seine, je pencherais plutôt pour une hypothèse où les journalistes copains du plaignant veulent faire croire au lecteur donc aux juges qu'il y a bien plagiat, en cachant tout ce qui prouve le contraire.
Pour qu'il y ait plagiat, il faut du point de vue de la technique d'écriture que une ou plusieurs intrigues principales soient copiées d'un bout à l'autre (début, milieu, fin) sans transposition. Par exemple Star Trek Beyond plagie complètement les deux albums de Valérian L'Empire des Mille Planètes et Les Oiseaux du Maîtres, en rempaçant les héros de Mézières et Christin par les héros du film (Star Trek Original unchronisé et une wokette extraterrestre).
A part ça, j'aurais honte de prétendre que mon script est identique à celui de Sous la Seine, parce que c'est une grosse m.rde, en particulier tous les éléments cités comme plagiés qui ne peuvent faire qu'un mauvais film. Une hypothèse plus flatteuse aurait été que le script Silure était bien meilleur, mais je n'en vois aucune preuve, plus rien n'empêchait alors d'écrire et de sortir le roman bien avant que Sous la Seine soit tourné, et que le script de Silure soit soumis, et là, plus aucun problème pour plaider et probablement gagner les procès, à condition bien sûr de ne pas se tromper d'accuser bien entendu.
Et je n'ai jamais entendu parlé des autres scripts du plaignant, ce qui n'est pas un bon signe non plus, s'il écrit si bien et si originalement que cela. Mais là encore, on ne sait jamais. Bizarrement, je doute que ses films soient sur Netflix en ce moment... ...à vérifier un jour peut-être.