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Aliens abducted My Parents, le film de 2024

MessagePosté: Mar 23 Juil 2024 08:08
par Greenheart
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Aliens Abducted My Parents... (2024)
Titre complet : Aliens Abducted My Parents and Now I Feel Kinda Left Out.
Traduction : Des extraterrestres ont enlevé mes parents et maintenant je me sens abandonné.

Sorti aux USA le 18 août 2023.

De Jake Van Wagoner (également producteur), sur un scénario de Austin Osanai Everett (également producteur), avec Emma Tremblay, Jacob Buster, Will Forte, Elizabeth Mitchell et Matt Biedel.

Pour adultes et adolescents.

(fausse science-fiction, (pseudo) romance (authentiquement) woke raciste toxique) : Une comète dépasse la Lune, un satellite… La nuit, sur le toit d’une maison, un père initie son gamin binoclard à l’astronomie. Il lui demande : « Quelque chose ? » et le gamin répond, déçu : « Non… ». Le père déclare : « Hum… Je ne vois pas pourquoi ça ne fonctionne pas encore ; okay, lis-moi ça… »

Le gamin sort une lampe torche de son anorak et la braque sur un mode d’emploi : « … Est-ce qu’on a calibré la lentille arrière ? » Son père répond en vérifiant sur le télescope à trépieds : « Oui ! »

« L’apparel photo 35 minimètres est bien fixée ? — Définitivement ! — Le protège objectif est ôté ? — Oui, bien sûr qu’on a ôté le protège-objectif ! Que crois-tu que nous sommes ? Mais je crois savoir ce qui ne va pas : peut-être qui’il nous faut seulement un petit peu de friction du coude de Kipler. »

Le gamin en doute : « Qu’est-ce qu’une friction de coude de Kipler ? » Et le père de répondre : « Observe donc, fils : mon père m’a appris cela et mauntenant c’est à moi de te l’apprendre ; alors tu prends ton coude, et tu le frottes sur le problème, tu vois ? »

Et le père de frotter circulairement son coude sur le dessus de l’avant du télescope. « Tu fais attention à mon coude ? Tu y fais attention ? — Ouaip ! — Tout le pouvoir est dans le coude ; puis tu claque des doigts, et ça devrait le faire. Regarde à nouveau… »

La lune gibbeuse apparaît dans l’objectif. « … ça marche ! » s’exclame le gamin. « C’est la friction du coude de Kipler. — … Mais aucun signe de la comète cependant. »
Le père fait quelques pas : « Un peu de patience, d’accord ? La comète de Jesper a voyagé près de dix ans pour arriver ici. Elle arrivera. » Puis il ajoute : « Hé, écoute, petit : il y a en fait quelque chose dont je voulais te parler ; voilà, ta mère et moi… »

Mais l’attention du gamin est attiré par la lumière des phares d’une voiture arrivant en contrebas devant la maison et il s’étonne : « C’est la voiture de qui, celle-là ? » Et son père répond : « Oh, attends-moi ici, je reviens de suite, d’accord ? »

Le gamin proteste : « Mais la comète !!! » Le père répond : « Trente seconde, lance le compte-à-rebours ! » Le gamin fait une grimace, mais obtempère : « Trente, vingt-neuf, vingt-huit, vingt-sept … »
Une rumeur descend du ciel et à la droite de la lune, un trait lumineux avance pour passer sous le croissant. Le gamin s’écrie : « Papa, elle est là ! » Et il tente de prendre une photo, mais un bruit de métal venant d’en bas l’alarme et il abandonne le télescope : « Papa ! »

Le gamin passe par la fenêtre de sa chambre en désordre, hésite. Les lumières vacillent, puis s’éteignent. Le gamin se dépêche de sortir sa lampe-torche et de l’allumer. Alors il entend crier son père depuis le rez-de chaussée : « Calvin !!! »

Le gamin sort de la chambre, descend l’escalier et arrivée au rez-de-chaussée appelle : « Maman ? »
C’est alors qu’une grande clarté illumine la pièce depuis le dehors de la maison, et son père appelle à nouveau : « Calvin ! »

Le gamin sort dans la nuit, braque sa lampe torche autour de lui, et comme il tourne le dos au champ, une grande lumière apparaît de nouveau dans le champ. Comme il se retourne, un vent fort se met à souffler, soulevant la poussière autour de lui, tandis qu’il lève les yeux au fur et à mesure que quelque chose semble décoller du sol ; et de crier encore une fois : « Papa ! »

De jour, une famille (à la peau blanche) roule sur la route tandis que la mère, le père et leur garçon connaissent par cœur les paroles d’une chanson rap qu’ils débitent. La fille, sous son propre casque, ne semble pas sensible à l’énergie du rappeur.

Profitant d’une pause dans la chanson et que la famille répète « okay » le titre de la chanson répété sans arrêt dans les paroles, la fille déclare : « Okay, j’ai besoin d’une pause lavabo. » Mais les autres continuent de répéter « Okay », alors la fille insiste : « Est-ce qu’on peut s’arrêter ? J’ai besoin des toilettes. — Okay… Okay… »

En désespoir de cause, elle hurle : « Faut que je pisse !!! » et enfin tout le monde se tait et elle répète plus calmement « Pause lavabo. »

Sa mère proteste : « Encore ? On s’est déjà arrêté il y a moins de trente minutes ! — Okay ben j’ai besoin d’y retourner. » Alors son petit frère se tourne vers elle en souriant : « Peut-être que t’as une infection urinaire ? Tu sais, ça te fait uriner deux ou trois fois plus que d’habitude… » Sa grande sœur lui répond : « Evan, je n’ai pas d’infection urinaire… »

Son père au volant propose : « On est seulement à vingt minutes de notre nouvelle maison, tu peux attendre ? — Non, je ne le peux pas. » Et Evan d’insister : « … ça ressemble vraiment à une infection urinaire. » Sa sœur fait alors mine de lui arracher les yeux, alors il consulte sa carte routière : « On dirait qu’il y a une supérettte dans trois kilomètres ; peut-être qu’on pourrait tous s’y offrir un truc à grignoter pendant que Itsy fait sa vidange. »

La grande sœur s’empare de la carte papier et s’indigne : « Comment tu peux savoir comment on se sert de ce truc ? Et cette carte est sûrement dépassée de toute façon… »
A l’avant, sa mère s’exclame : « Je la vois !!! Bravo mon petit ! »

Sarcastique, le petit frère répond à sa sœur : « … ça s’appelle savoir s’orienter, soeurette ; ça vaudra p’têt’ la peine de te renseigner là-dessus, maintenant que la grande ville, c’est fini pour toi, à jamais… »

La grande sœur répond à voix basse : « La ferme ! » et fait cette fois mine d’étrangler son petit frère et qu’à l’avant leurs parents sourient, complices. Pour reprendre les paroles de leur rap : « Okay… okay ! » et que la grande sœur s’écrie : « Y’a pas d’autres chansons !?! »

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La bande-annonce HD officielle : https://youtu.be/RDusRFsp5ko

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Re: Aliens abducted My Parents, le film de 2024

MessagePosté: Mar 23 Juil 2024 08:46
par Greenheart
Je précise que c'est la première production récente que je fais l'effort de critiquer, ayant constaté qu'aucune production récente, y compris de supposés gros budgets encensés par les "critiques" et autres vidéastes -- ne valent la peine de perdre votre temps ou le mien :

Spoiler : :
La planète des singes le dessin animé où des singes wokes prétendent protéger des espèces en volant les œufs de leurs petits ? Je ne suis pas là pour regarder des dessins animés à la place d'une saga post-apocalyptique déjà réussie et complète dans les années 1960-70 : Poubelle.

Mad Max 5 sans Mad Max où une communauté woke prétend survivre à l'Apocalypse sans se préoccuper de monter des gardes ou la moindre défense en sachant que les motos ça pue, ça fait du bruit de très loin et qu'on décapite n'importe quel motard avec un bête câble de métal (toujours disponible à cet époque) tendu, ou qu'une fosse avec des pointes se camoufle facilement en travers d'une route ou de n'importe quelle piste praticable ? Ils f...taient quoi depuis tout le temps, comparer la taille et la viscosité de leurs élevages de concombres radioactifs ? Poubelle.

Et tout le reste sont du même rata.


C'est également vrai pour Aliens abducted My parents, dont l'affiche essaie de se faire passer pour une comédie sympa de Science-fiction quand il s'agit d'une wokerie médiocrissime de plus faisant tout pour ne pas raconter ce qu'elle nous aura promis, et quand elle le raconte enfin, c'est un lamentable plagiat fauché tenant à une seule pitoyable scène, dont les auteurs ignorent visiblement la totalité de ce qui a déjà été diffusé sur le grand et le petit écran, La Quatrième dimension inclue (série pourtant systématiquement plagiée en matière d'horreur fantastique ou SF).

Dès les premières minutes, j'ai eu l'impression que la production jouait la montre, accumulant des scènes de remplissage, des clichés, pour ne pas raconter l'histoire qu'ils promettaient par l'affiche et leur titre. Mais ils font pire : non seulement ils ne racontent pas l'enlèvement, ni la rencontre extraterrestre à part une espèce de carambolage d'une scène entre Rencontre du Troisième Type avec le débarquement des télétubbies de l'Espace et Le Vol du Navigateur.

Nous apprenons à un point de cette grande diversion que la mère du héros l'a vraiment abandonné ce soir-là. Mais que dire du père, qui revient comme une fleur pour l'enlever à son tour : il a planté son gamin pour aller faire un tour dans la galaxie, de l'auto-stop avec la première bande de touristes difformes portant des masques de bébés potentiellement cannibales ? Il a abandonné son fils au premier service social p.doph. le venu comme la mère, le même soir que sa mère, juste parce que... euh, la famille était trop pour elle et possiblement pour lui ?

Le héros est à l'école mais il est complètement livré à lui-même ?
La famille de l'héroïne laisse sa fille traîner n'importe où et partir n'importe où avec n'importe qui, en particulier un ado réputé instable ?

Aucune trace de la police, aucun adulte (blanc) raisonnable, la famille (blanche) avec deux enfants mineurs qui chante du rap quand on sait qu'aux USA (comme en France) les paroles sont presque toujours p.rn. et apologue des crimes, de la prostitutions, de la drogue et des meurtres, l'année où les autorités américaines se décide enfin à arrêter des années en retard un rappeur notoire soupçonné d'en avoir abattu plusieurs pour s'emparer de sa maison de disque, qui battait sa petite amie comme plâtre devant les caméras de l'hôtel et personne n'a rien fait plusieurs années durant, rappeur qui organisait strictement suivant le modèle d'Epstein des fêtes où toutes les stars se faisaient filmer en posture compromettante si possible avec des mineur(e)s ?

Aucun personnage n'est caractérisé, c'est-à-dire n'a une vie ou une culture digne de ce nom. Star Trek (nous supposons la série originale) est citée mais ignoré du héros, et l'héroïne comme tous les autres personnages semblent tout ignorer du domaine ou des enquêtes plus sérieuses sur les enlèvements extraterrestres. Or, si vous pensez avoir été témoin d'une rencontre du troisième (pauvre) type, vous auriez certainement fait un max de recherche, et nous sommes après X-Files où ce type d'intrigue est devenu une "trope", aka un cliché surexploité.

Ce n'est donc pas un vrai film de Science-fiction, ni même une vraie romance - tout est fait pour asexualiser les héros qui, à l'époque actuel des pots-de-vins de Black Rock et de la Chine, interdisent à deux personnages blancs a priori hétéros de s'embrasser ou se câliner ou d'envisager de vivre ensemble, alors qu'ils sont précisément à l'âge où, travaillés par les hormones, et éblouis par le premier partenaire immunitairement compatible, des adolescents qui en plus sont laissés constamment seuls à faire ce que bon leur semble, auraient forcément expérimenté, déliré ou au moins essayé d'en parler.

Même combat que dans le remake de Twister, où le couple vedette dans le film original s'embrassait à la fin, et le plan a été censuré, prétendument sur avis insistant d'un certain Steven Spielberg (le réaliseur producteur qui épouse ses actrices et black-liste les jeunes réalisateurs producteurs dont il est réputé s'être attribué les mérites).

Je me doute bien que ce genre de production nourrit des professionnels qui n'ont pas d'autres choix que de produire de la m.rde et chasser de nos écrans toute production de qualité.

Comme ont dû le répéter le personnel des camps de concentration de toutes les époques, c'est un métier comme un autre
Spoiler : :
et peu importe les incinérateurs et fosses communes, ou quelques cartouches de gaz de composition voisine des bombes lacrymogènes que font pleuvoir nos paramilitaires sur les citoyens manifestants paisiblement, tandis que l'intérieur ne fait absolument rien pour stopper des colonnes de black blocks, quand le même ministère a déjà prouvé sa détermination à nasser les foules (tout en laissant entrer et ressortir les black blocks) et arrêter abusivement des manifestants exerçant leurs droits constitutionnels avant d'avoir pris leur train ou d'être arrivés sur les points de ralliement.


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