Pour mémoire, le premier roman Hunger Games est postérieur au premier roman Uglies.
Le film semble avoir été produit pour ressembler aux premiers films Hunger Games, mais en comparaison, il semble fauché, disjoint, et inepte, et tout en prétendant raconter l'histoire d'une dystopie persuadant les jeunes de se faire lobotomiser pour ressembler à des mannequins maquillés comme des p.tes à faire constamment la fête et vivre dans des appartements luxueux d'une ville dépensant un max en éclairage parce que des parterres de fleurs exposés au soleil suffiraient à fournir toute l'énergie, même de nuit, même par temps couvert, même en hiver, sans que l'orchidée en question ait besoin d'être arrosée, ni de se reproduire alors qu'elle ignore tout prédateur et toute loi biologique ou physique. Ceux qui doivent s'occuper de vraies orchidées apprécieront.
Et bien entendu Uglies suit strictement les consignes de propagande de Black-Rock et de la Chine : l'héroïne est la garce wokette indestructible, les hommes-wokets sont tous faibles, traître et/ou psychopathes; le grand méchant est un mâle blanc, et la femme-noire est censée sauver (de fait magiquement) l'Humanité tandis que son fils noir cumule le rôle du woket faible et de sauveur incapable d'arriver à quoi que ce soit ou de repérer le mouchard que porte l'héroïne, et la jeune asiatique utilisée pour le hooyah lesbien est bien sûr trop faible pour ne pas se faire attraper et passer dans le camp ennemi. Bien sûr, l'héroïne est censée former un couple avec le woket noir, et c'est une actrice officiellement transgenre homme vers femme mais plus probablement travesti Laverne Cox
qui joue le rôle de la bonne fée censée libérer de ses imperfections garçons et filles en échange d'une lobotomie forcée, métaphore filée assez juste servant à faire passer la masse de propagande qui l'accompagne et à ajouter à la confusion du spectateur.
Bien sûr il me faudra lire le roman Uglies de 2005 pour déterminer à quel point son récit a été altéré et augmenté de la propagande DEI / Woke / LGBTQ de 2016-2024.
Et à nouveau, comme dans tous les films woke, physique de jeux vidéos, mettant en danger extrême les spectateurs qui sont dans le même temps encourager à imiter les héros avec n'importe quelle technologie bien réelle, aka les planches à roulettes et autres ULM ou hélicoptères : Uglies de ce point de vue est conçu comme ces vidéos instagram qui visent à faire tuer les jeunes occidentaux dans des "accidents" en les défiant par exemple de sauter d'une vedette lancée à grande vitesse, ou de s'asperger de liquide hautement inflammable ou encore de twerker devant tout ce que la planète peut compter de pervers capables de retrouver votre adresse personnelle par une recherche d'image google et de pirater vos comptes sociaux et suivre votre géolocalisation tout en vous épiant via vos micros et vos caméras que les GAFFA et constructeurs laissent branchés et actifs en permanence à disposition de leurs propres pervers et des pervers des agences gouvernementales et autres administrations, et qui voudra un jour vous envoyer en centre de torture et d'extermination ou vous drôner avec toute votre famille pour un tweet.
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L’héroïne croit qu’être beau suffit à être heureux tandis qu’on ne fait rien d’autre que de jouer au casino. Elle trouve injuste d’avoir trois mois à attendre avant de devenir belle et de ne rien faire d’autre que de jouer au casino. Elle exige de son copain qu’il garde une cicatrice à la main pour elle, cicatrice qui est de sa faute à elle) – est-ce que plus tard elle choisira d’autres mutilations, inclus la décapitation comme preuve d’amour ? Parce que cela se fait aussi dans la réalité. L’hologramme (donc pas la réalité) d’une femme noir prétend qu’une opération esthétique du nez libère de la discrimination en fonction de la couleur de la peau ?
Ils prétendent ne pas gaspiller les ressources mais leur ville est brillamment illuminé et tire très régulièrement des feux d’artifices, et ils font apparemment tout le temps la fête.
A la neuvième, nouvelle couche de propagande woke et de manipulation basées sur l’échange des technologie avec l’héroïne qui répète sa narration au mot près, à la manière de ces tunnels publicitaires où le même spot, le même slogan, est répété plusieurs fois de suite pour mieux laver le cerveau du spectateur et faire rentrer les messages pour la diffusion desquels ce film a été financé, produit et diffusé.
Pourquoi l’héroïne est-elle scannée avec des « sous-vêtements » qui empêchent de scanner son corps au niveau des seins et des fesses. Ce n’est pas comme si un bassin et une colonne vertébrale comptaient dans la silhouette et l’apparence d’une personne : ils comptent les enlever pour la rendre plus jolie ?
Le copain de l’héroïne subit une nouvelle opération pour maximiser ses performances physiques et intellectuelle, son torse n’est pas caché, mais il porte une espèce de serviette, et sur l’écran montrant ce qui ressemble à un scan des organes internes, la serviette n'apparaît pas, et… il n’a pas d’organes génitaux.
Par ailleurs, il est censé avoir 16 ans et être "joli" mais sous le rimmel et le fond de teint, on voit parfaitement les poches sous les yeux, les boutons et plaies causées par le feu du rasoir et l'ombre de sa barbe, ce qui commence à faire beaucoup pour quelqu'un censé être parfait d'apparence.
Cinquantième minute, physique de jeu vidéo : allez-savoir pourquoi l’héroïne et sa copine saute d’un hélicoptère au-dessus d’un incendie de forêt et/ou de brousse. Sans parachute ni planche aéroglisseur. L’hélicoptère ne semble avoir aucun problème à voler de manière stable dans les turbulences violentes que devraient provoquer un tel incendie, la copine, pas sanglée « tombe » cependant, et l’héroïne la suit. Les deux jeunes femmes retombent sur leurs pieds sans encombre et peuvent courir.
Mais pas seulement, alors qu’un incendie de cet taille rayonne, consomme tout l’oxygène et remplir l’air de gaz brûlants et toxiques, l’héroïne ne semble avoir qu’une toux minimum, peut parler sans apparemment ciller, et respirer à pleins poumons, et — l’hélicoptère descend suffisamment bas au milieu des flammes sans turbulence pour leur lancer un câble que les femmes peuvent attraper pour remonter à bord, tout en ayant des drones aux culs qui eux aussi volent sans aucun problème dans les flammes, leurs turbulences et leurs cendres ascendantes.
La production n’a aucune idée de la réalité de la situation, de la survie dans ce genre de situation, elle envoie les spectateurs à la mort si jamais ils devaient être confrontés dans une situation même de très loin apparentée : vous n’avez pas besoin d’être au contact des flammes pour être brûlés, l’air que l’on respire est forcément chauffé par un incendie et brûle tout ce que l’air touche incluant les globes oculaires et les alvéoles des poumons ou les cheveux et les poils des narines.




Un plan large de l’hélicoptère censé remonter les femmes indique qu’elles ont sautés dans les flammes comme du haut d’un immeuble de peut-être dix étages, sans rien pour ralentir leur chute, et nous ne sommes ni sur la Lune, ni sur Mars où la différence de taille des planètes réduit la gravité d’environ respectivement un tiers et deux-tiers. Par exemple un être humain peut mourir en tombant de sa propre hauteur, d’un mètre cinquante à deux mètres sur la planète Terre. Donc sur Mars vous pouvez mourir en tombant de trois fois plus haut, soit quatre mètre cinquante, et deux fois plus sur la Lune. Les femmes ont sauté à l’écran de dix fois plus haut.
Et ce n’est pas quelques quintes de toux épisodes que vous récoltez en crapahutant à travers ce genre d’incendie : vos poumons brûlés vous condamne à la tente à oxygène jusqu’à la guérison des brûlures des poumons, à supposer que vous guérissiez un jour. Plus les brûlûres internes provoquent un choc et entraînent des infections, sans compter tout ce qui peut arriver à un steak dans une poêle à frire, mais dans votre système respiratoire. Aka se noyer dans son propre sang et dans les liquides qui gonglent tout pour tenter d’évacuer tout ce qui a explosé à cause de la chaleur et à cause de la prolifération des germes la faute à l’immunité massacrée avec le reste.
Société débile. Pourquoi attendre 16 ans pour rendre les jeunes et les vieux soumis. Plus besoin ensuite de leur payer des fêtes et des feux d’artifice et des appartements aériens bling bling, juste de les faire bosser, pas même besoin qu’ils couchent, juste de prélever et d’inséminer, puis toutes dans un bunker à pondre, à la façon ukrainienne.