Your Monster (2024) Traduction : Votre monstre = Ton monstre.
Toxique :le film se présente comme une comédie romantique où un monstre aiderait l'héroïne à s'affirmer face à un mâle toxique qui lui aurait volé "son rôle", voire "ses paroles", ce qui peut conforter le passage à l'acte d'un public déjà très intoxiqué par la propagande woke et les fausses informations officielles sur la réalité de la violence dans nos sociétés, et comment la prévenir ; il faut cependant souligner qu'une lecture beaucoup plus fine et lucide démontre le mensonge total des apparences, mais il n'est pas exigé du public d'être sain d'esprit et suffisamment instruit et lucide pour voir ce film. Évitez de le montrer bien sûr aux mineurs, ainsi qu'à toute personne en état de faiblesse, en particulier sous influence chimique ou dans une mauvaise passe. La catharsis n'existe pas, le public imite ou transpose toujours d'une manière ou d'une autre la violence des spectacles, de l'actualité et de leur entourage, en particulier des autorités.
Annoncé aux USA pour le 25 octobre 2024.
De Caroline Lindy (également scénariste), adapté de son propre court-métrage de 2019, avec Melissa Barrera, Tommy Dewey, Edmund Donovan, Kayla Foster, Meghann Fahy.
Pour adultes.
(Comédie romantique fantastique horrifique musical, toxique, presse) Laura Franco est une jeune actrice effondrée après avoir appris qu'elle avait un cancer et après avoir été plaquée par son petit ami Jacob, auteur de pièces de théâtre. Alors qu'elle doit emménager dans la maison de sa mère absente pour se remettre de l'opération chirurgicale, elle découvre qu'un "monstre" rappelant celui du conte de la Belle et la Bête vit dans son placard. Or, celui-ci, répondant au nom de 'Monstre', s'est habitué à vivre en célibataire, donc cohabiter avec Laura le dérange.
C'est très ambigu, car le film parait justifier la possessivité maladive de l'héroïne, qui estime que parce qu'elle est amoureuse, sa victime lui appartient tel un objet, y compris après leur rupture.
Dans une seconde interprétation, le film parait conforter la théorie de l'emprise, qui ôterait toute responsabilité et libre-arbitre aux femmes qui se donnent à leur patron ou prétendre être leur muse pour faire avancer leur carrière et prétendent ensuite, voire se font reconnaître par les médias et la loi un droit à non seulement détruire la vie de leur patron, assouvir leur vengeance, tout en continuant à avoir une quelconque capacité juridique alors que reconnaître l'emprise prouve que ces femmes n'ont aucune capacité : tous les actes juridiques conclus sous emprise y compris les contrats, permis ou la capacité d'ester en justice ou de toucher un salaire devraient être annulés, la femme sous emprise devrait rester sous tutelle, possiblement à vie car s'il est prouvé qu'elle était sous emprise à un point quelconque de sa vie, comment prouver qu'elle ne l'est pas encore aujourd'hui et jusqu'à la fin de sa vie ?
La troisième interprétation est rationnelle, réaliste et terrifiante, et tous les drapeaux du film la confortent :
Spoiler : :
L'héroïne est schizophrène depuis l'enfance, sa propre mère a si peur d'elle qu'elle a fuit sa propre maison pour ne pas risquer d'être attaqué comme l'ont déjà été au moins un ami d'enfance et probablement d'autres personnes. Elle a rechuté à cause du stress du cancer, et possiblement des interactions médicamenteuses de son traitement avec la chimie de son cerveau, et utilise ce monstre inventé pour justifier ces accès de violence - la destruction de la vaisselle de sa mère, ou ses accès de fureurs homicides.
C'est à la fois très fort et en même temps toxique, parce qu'en choisissant de faciliter une première lecture romantique justifiant le meurtre du mâle déclaré "toxique" et l'irresponsabilité outrée de l'héroïne, pourrait inciter les personnalités fragiles à tuer ou saboter la carrière ou salir la réputation de toute personne dont elles prétendraient être amoureuses, peu importe ce qu'en penserait l'autre ou si c'est pour faire avancer sa carrière ou sa quête d'un pouvoir peu importe qu'il soit mérité par le talent ou pas.
Or nous sommes à une époque où les médias, sur consigne des psychopathes de l'élite planétaire confortent ce genre de comportement, d'où la répétition de mots comme "emprise", "mâle toxique", ou "féminicide", sans jamais rappeler que dix fois plus d'hommes meurent violemment que des femmes, que la notion d'emprise est un piège pour les femmes et une impunité pour les vrais causes de la violence ou de l'asservissement d'un individu, que les femmes toxiques existent et sont si nombreuses aujourd'hui que les hommes se gardent de les fréquenter, ce qui facilite le génocide en cours des populations occidentales - l'objectif numéro 1 de l'idéologie woke, du faux féminisme des trolls qui ont chassés les féministes historiques, notamment en menaçant de les faire violer et en les agressant physiquement quand elles donnent leur avis en public etc.
Rappelez-vous aussi qu'il suffit en France de se prétendre fou pour pouvoir égorger n'importe qui dans la rue, tuer n'importe quel petite fille ou petit garçon, brûler vif ses voisins, écraser en les coupant en deux des cyclistes , fracasser le crâne d'un rival politique devant un policier qui ne bougera pas, etc. Chose curieuse, si quelqu'un prétend qu'il entend des voix et va tuer quelqu'un de riche, de nos élites ou l'un des pantins du monde politico-médiatique, là il sera abattu, suicidé ou lourdement condamné et personne ne parlera de folie.
En conclusion, le film est bien écrit mais laisse planer un doute toxique car encourageant les psychopathes à tuer, mutiler ou simplement se comporter comme des trolls pour s'acharner sur n'importe qui ne se laisserait pas violer mentalement et/ou physiquement.
Je pense qu'aujourd'hui, la situation est tellement grave en terme de manipulation psychopathique du public que n'importe quel film, série ou documentaire doit être clair et net sur qui est un tueur psychopathe et qui mérite de vivre, peu importe avec qui il couche entre adulte consentant ce qui est bien le cas de la victime dans ce film.
Peu importe votre sexe, n'admettez simplement pas de traiter les autres comme des objets (de désir ou autre) et n'excusez pas vos comportements psychopathes ou votre manque fondamental de respect de votre propre corps autant que de celui des autres en prétextant une quelconque emprise. Vous n'avez pas à céder à vos passions sous prétexte que ce sont des passions ou que l'autre en a aussi et que cela vous a arrangé sur le moment d'en profiter, donc d'en abuser.
Et à une époque ou même l'huile pour bébé peut contenir la drogue du viol, arrêtez définitivement de croire que le premier pas ne compte pas : une seule indulgence peut facilement coûter à vie, votre propre vie, et celles de nombreuses autres.
Un résumé très détaillé du film, mais fallacieux, qui évidemment s'en tient à la première lecture du film... https://youtu.be/PWpmWPZGPMc
Spoiler : :
l'auteur du résumé, à supposer qu'il soit humain, semble persuadé que le monstre existe vraiment.
le tout sur un montage également bizarre des images du film.
C'est très malaisant si vous avez vu le film, et franchement déconseillé si vous ne l'avez pas vu.
"Elle se remet en commandant chez Amazon..."
Énorme : elle commande des mouchoirs en papier parce qu'elle n'arrête pas de pleurer, pas pour se consoler. C'est un gag qui illustre sa dépression, pas son rétablissement progressif. C'est une erreur d'interprétation typique des intelligence artificielle cf. les interprétations du sens des chansons sur les sites générant ces interprétations par intelligence artificielle.
... à part bien sûr le côté sexiste de prétendre qu'il n'y a que les femmes qui seraient éduquées pour garder leur rage pour elles : c'est strictement la même chose pour les hommes et en fait c'est aussi vrai pour les animaux : si tout le monde laissait libre cours à sa rage justifiée comme injustifiée, le monde ressemblerait constamment au film The Sadness et bien peu survivraient, en fait probablement personne : lorsqu'on est tout seul et qu'on laisse libre cours à sa propre rage, on s'auto-mutile ou on concourt pour le prix Darwin.
Spoiler : :
L'autrice / auteresse / auteure du film est aussi très claire dans sa présentation apparemment et se félicite de n'avoir tué personne à cause de la rage qui l'envahissait plus jeune. Dans un monde aussi imparfait, avec autant de débilité et d'indélicatesse, tout le monde passe hélas par là à tous les âges de sa vie jusqu'à ce qu'il réalise qu'il est manipulé pour se causer du tort à lui-même : la rage n'est pas un sentiment sain, elle coûte énormément déjà à sa propre santé physique et mentale, avant de coûter à n'importe qui d'autre, et quand la rage commence à coûter à n'importe quoi ou n'importe qui, elle revient dans la gu.le de qui l'aura laissé s'échapper. Un bébé peut retenir cette leçon au berceau s'il est bien entouré, cf. le drame de l'enfant doué.