Hagen, Im Tal der Nibelungen (2024) Traduction : Hagen, dans la vallée des Nibenlungs (= du Peuple du Brouillard).
Ce film n'est pas l'adaptation fidèle de la légende de Siegfried et le dragon ou des sagas ayant inspiré l'Or du Rhin et le Seigneur des Anneaux. Ce film est prétendu une adaptation d'un roman de Philipp Stennert, le co-réalisateur, alors que le roman n'est pas encore paru, donc le film ne peut être son adaptation. Attention, ce film est ou sera également remonté en série télévisée alors qu'il joue déjà la montre au format film.
Sorti en Allemagne le 17 octobre 2024. Sorti en 4K+ blu-ray allemand
De Cyrill Boss, Philipp Stennert (également scénaristes), sur un scénario de Doron Wisotzky, d'après le roman de Philipp Stennert, d'après la Chanson des Nibelungen 1205, compilation de la Völsunga saga et les Eddas scandinaves ; avec Jannis Niewöhner, Jördis Triebel, Gijs Naber, Rosalinde Mynster, Jörg Hartmann, Maria Erwolter, Dominic Marcus Singer, Béla Gabor Lenz, Alessandro Schuster, Lilja van der Zwaag, Pétur Óskar, Johanna Kolberg, Tomas Tomas, Dinah Geiger.
edit : Wikipédia en allemand indique que Hagen le film serait basé sur le roman de 1986 Hagen von Tronje de Wolfgang Hohlbein. Il s'agit seulement d'un plagiat de la légende, avec des altération mineures visant à faire passer le personnage du traître suprême pour la victime, mais toute l'intrigue et tous les événements de la légende sont strictement répétés.
Pour personne.
(Fantasy épique révisionniste woke toxique artificiel) Ils chantent la chanson de deux guerriers, aussi différent que l'ombre et la lumière. Une chanson d'amitié et de trahison. C'est la chanson de Siegfried, le Tueur de Dragon, qui au cours d'une chasse, s'arrêta au bord d'une source d'eau fraîche ; et c'est la chanson de Hagen Von Tronje, le maître d'armes des Burgondes, qui conçut un piège pour le héros, et le poignarda traîtreusement. Mais la vérité est différente. Je le sais, parce que j'ai aimé l'un d'entre eux.
Mais vous me l'avez pris, et pour cela vous allez tous payer.
Comme à leur habitude, les allemands produisent régulièrement des films de fantasy, avec des acteurs et décors dignes de ce nom.
Le scénariste est le créateur de plusieurs séries fantastiques à succès streamée récemment, son roman ne semble être annoncé qu'en livre audio Audible pour l'instant, avec le nom des autres scénaristes du film, donc il s'agit possiblement d'une novellisation et non d'un roman inédit, qui de toute manière ne crédite pas ses sources, puisque l'histoire est clairement la même que la légende de Siegfried et le Dragon (et la Walkyrie etc.), tirée des Eddas etc. qui ont été déjà adapté dans l'Or du Rhin de la tétralogie de Wagner, dans le premier des deux films Die Nibelungen de Frizt Lang (récemment édité en blu-ray français) qui est l'une des principales inspirations de Peter Jackson pour le siège du second film de la première trilogie du Seigneur des Anneaux, Tolkien ayant été inspiré par les textes originaux et le conte d'Andrew Lang pour écrire Le Hobbit et le Seigneur des Anneaux, et avait possiblement vu le film de Fritz Lang. Il y a eu depuis d'autres adaptations du même récit légendaire scandinave, et Hagen semble la plus récente.
Plusieurs faux pas cependant :
* le nain Albricht joué par une actrice fait craindre une wokisation du récit original, qui comprend déjà des rôles féminins forts dont il ne serait pas une bonne idée de grossir le trait tout en dépréciant les rôles masculins qui sont, comme les féminins déjà chargés de leurs défauts héroïques, à la manière antique : si on leur retire leurs vertus, la caricature résultante en sera parfaitement indigeste et détestable.
* la bande-annonce semble inclure un dragon raté, le monstre justement à ne pas rater dans cette légende. En vol, on le distingue à peine, mais une fois tué en arrière plan, on dirait du carton-pâte peint comme ça peut pour une production d'école primaire, moins impressionnant que la marionnette de Fritz Lang (en noir et blanc). Comme si la production avait laissé un accessoire ou une animation rudimentaire censée être repeinte numériquement en post-production et finalement jamais repeinte à la sortie de la bande-annonce, voire du film, faute de budget ou par très mauvais goût d'un producteur en contrôle ?
* Et les sources ne sont cités nulle part alors que la promotion se vente d'une "redite" ou nouvelle version de la légende ("retelling") : trop peur que les spectateurs aillent lire les versions antérieures voire les traductions des légendes originales, et constatent (une fois de plus) l'étendue de la trahison ?
... Attendre et voir, donc, avec sans grands espoirs.
Colorimétrie virée à mort au bleu, considérez le film en deux couleurs, rose et bleu, comme certains films des années 1920-1930 dont le procédé chimique consistait à photographier deux fois même scène en noir et blanc à travers un filtre coloré différent.
* C'est très mauvais pour l'immersion. * C'est de l'incompétence totoshopée et du mégotage : le prix à payer pour voir le film ne sera pas réduit d'autant qu'il manque de nuances à l'écran.
... Mon Dieu comme c'est mal cadré, l'image mal composé et combien il n'y a rien de valeur apparente à l'écran : tout semble recyclé de productions précédentes dans le meilleur des cas, beaucoup de pénombres pour cacher la misère, beaucoup de plans serrés pour cacher qu'il n'y a rien à voir autour. Les décors sont ineptes : ils semblent tous crever de froid à cause du climat, et pas un tapis, pas une tenture, aucune brassée de jonc pour isoler les appartement, aucune flamme dans des cheminées et la production semble s'imaginer que s'il fait jour, les couloirs et escaliers sans fenêtre n'ont pas besoin d'être éclairés. Quand vous observez de pluis prêt les costumes, vous constatez qu'ils sont d'inspiration voire de fabrication moderne.
Par exemple le héros porte un pull à col roulé comme dans les catalogues de la Redoute, ou si vous préférez sur les pages de vente en ligne de je ne sais quel revendeur en masse chinois ou américain. Le pull a l'air mal tissé ou usé pour faire genre "je joue dans un film historique et je danse avec les mites", mais plus tard dans le film, le même porte un genre de veste à col parfaitement tissé à la machine.
Et à l'époque, aucune couturière ou même noble (qui avait forcément un valet) n'ignorait qu'on ne laisse pas le bord de vos vêtements s'effranger parce que sinon tout le vêtement se défera rapidement et vous vous retrouverez vite à poil : pour empêcher cela, une broderie suffit pour surcoter les bords et empêcher les franges d'usure.
Plus, ils n'ont que deux décors ou quoi ? (le château et la forêt ? Encore une fois, beaucoup plus de décors dans un seul épisode du Ministère du Temps, dans n'importe quelle des quatre saisons.)
* J'ai tenu cinq minutes, puis je me suis forcé à y revenir malgré la colère pure qui monte, ce qui est chez moi un signe extrêmement clair de daube propagandaire et de faux cinéma : mines constipés, combats médiocre, photographie et réalisation sans aucun effort ni talent, comparer avec les épisodes du Ministère du Temps actuellement diffusés sur SyFy FR.
Et à la 22ème minute j'ai toujours l'impression de regarder une très mauvaise bande-annonce étendue sur deux heures. IL y a des gens qui ont écrit des opéras et tourner en film l'équivalent du Seigneur des Anneaux avec la même légende (et Peter Jackson les a plagiés dans la foulée pour sa trilogie, en particulier la séquence du Gouffre de Helm ; certes, vu les dates, Tolkien lui-même a pu s'inspirer de la seconde époque film de Fritz Lang : incidemmement les trucages numériques n'existaient pas sous Fritz Lang, mais avec la crise financière en Allemagne, vous pouviez reconstituer alors la bataille à l'échelle 1:1 avec des vrais figurants et incendier pour de vrai la forteresse).
* La honte d'être incapable d'exalter le charisme des acteurs aux génériques : comparez avec la trilogie temporelle des joyaux, c'est le même acteur qui joue le Diamant dans cette trilogie, et qui joue Sigfrieg dans cette bouse. La scène d'amour est comique au troisième degré : les acteurs sont dans le noir profond, respirent dans le silence (une fois que la chanteuse pop a prononcé peut-être deux phrases musicalement indescriptibles et aux paroles inarticulées), puis ils se lèvent parce qu'ils entendent de vague galopements et cris alors que tout le camp est en flamme et que n'importe quel cheval arrivant au trot aurait été entendu à des kilomètres. Par ailleurs comment la production (et les héros) peuvent-ils ignorer que le silence n'existe pas dans la nature, pas plus que dans une maison et encore moins un château.
Spoiler : :
Plus dans la réalité, si vous jouez à saute-mouton avec votre bougresse, vous entendez forcément plotch plotch (ou alors les cris de douleurs de la pauvrette non lubrifiée -- le plus probable vu l'absence de préliminaires dignes de ce nom) et les percussions sans oublier les protestations outrée de n'importe quelle sorte de literie, peu importe que quoi vous tronchez.
J'imagine que la production ignore aussi la tradition de l'époque de ne jamais laisser un invité de marque s'endormir sans un massage plus ou moins complet, tâche dont la bougresse aurait dû d'abord s'acquitter avant de passer aux galipettes proprement dites, et bien avant de chercher à s'endormir elle-même ou l'autre bougre... On ne peut plus écrit par Chat GPT et les mêmes sales c..nards illettrés qui infestent les productions actuelles, qui n'ont jamais fait leurs devoirs et sont payés quand même.
* Aucun thème musical, seulement des effets sonores encore et encore comme dans les films d'horreur streamés et désormais pratiquement tout : probablement la coche de génération automatisée de fond sonore proposée dans les logiciels de montage, ou un bête pistonné qui vend de la musique composé en colorant des petites cases sur un synthétiseur virtuel, et en copiant-collant.
Une chanson pop générique à la voix féminine ultra-trafiquée aux paroles indistinctes, complètement anachronique, censée illustrer une scène où le héros atone tombe amoureux de la pétasse quelconque du coin. Aucun n'aura exprimé de sentiments dynamiques durant la première heure du film, et sans doute de tout le film. Aucune micro-expression relevée à l'écran : les acteurs vissent leur boulon, la direction d'acteur est sans doute trop occupé à se faire sucer par la figuration ou la production ne sait pas ce que c'est que le cinéma (ou le théâtre, ou le conte ou n'importe quel art censé inspirer des émotions au spectateur).
* Possiblement écrit avec une intelligence artificielle : pas de transition, méconnaissance de la réalité, des sources, de l'Histoire. Les dialogues ne sont pas d'époque (Chat GPT en serait incapable, alors vous pensez, ceux qui capitalisent sur ses plagiats industriels).
* Des flashs forward divulgâcheurs encore et encore, utilisés comme les zombies dans Walking Dead après la saison 1 : pour faire diversion de l'absence d'action et de dialogues de qualité.
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Trahison totale des sources pourtant nombreuses : quelqu'un a dû toucher des pots de vins DEI tout en se croyant plus intelligent que les autres en voyant son compte en banque grossir. Dans le même temps, ce quelqu'un s'est complètement discrédité artistiquement, et aura alimenté un sentiment anti-allemand qui monte, qui monte, qui monte.
Spoiler : :
Mais je vous rassure tout de suite, le sentiment anti (élites) européennes et anti-ultra-riches de toute la planète monte encore plus vite, et de plus en plus de gens semblent se décider à tirer comme des lapins les petites mains (pdg) de ces grosses compagnies. Combien de temps reste-t-on à une élite sans larbin pour vous servir, en tout cas avant que le petit personnel que vous employez comme tueur à gages et porteur de valises se décide à vous liquider et prendre votre place : il connait déjà vos comptes en banque off-shore et le montant de vos rétro-commission, c'est un bon début, non ?
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L'argument de "Je sais la vérité parce que j'étais amoureuse" prouve que le récit de la narratrice est forcément mensonger : quand on est amoureux, on ne peut pas être objectif, c'est simplement chimique : le cerveau est azimuté, la mauvaise foi est totale.
Spoiler : :
Et encore faudrait-il que l'amour soit noblement entendu, parce que ce mot "amour" désigne dans la réalité d'abord la possessivité jalouse et le désir salace qui fait que l'objet de votre passion n'est qu'un morceau de viande que vous rêvez de troncher et de faire faire n'importe quoi qui prouvera à quel point vous êtes meilleur ou meilleure que tous les autres, et en contrôle de votre vie -- alors que la réalité est absolument contraire.
Et prochainement pour le public moderne, une vie de Jésus où celui-ci persécutait les pôvres juifs et les pôvres romains, qui ont bien eu raison de le mettre en croix, tout comme ses complices, les deux voleurs.
Ah, je peux vous écrire à la tonne des comme ça : prenez n'importe quel récit où il y a un héros (de préférence blanc parce que si jamais vous accusiez un esclavagiste notoire de l'époque,
Spoiler : :
ça pourrait faire de l'ombre aux ultrariches qui en descendent directement et qui ont pu conserver la fortune au sein dégagée par le trafic d'être humain à travers les siècles par l'inceste systématique.
Hagen est un exemple cumulé de traitement profondément malhonnête de la culture, civilisation et des identités des peuples.
Siegfried et le Dragon est une légende. L'inverser en présentant ses assassins comme des victimes, la première pétasse venue comme la seule héroïne détentrice de la vérité invincible etc. est du révisionniste car les textes sources ne sont pas respectés. Et si la production prétend à de la réalité historique, ce qui est le cas ici, elle sera bien incapable d'apporter la moindre preuve de ses calomnies et propagandes.
C'est aussi un exemple de prétendue création par la destruction d'oeuvre originales, qui ont elles été crées par d'authentiques auteurs, aka des bardes dont les récits les plus acclamés ont été compilés. C'est le même principe que lorsque vous aller raconter que le petit poucet était un psychopathe cannibale qui a assassiné ses parents alors que l'ogre tentait de l'en empêcher, que Winnie l'Ourson est un monstre psychopathe ne rêvant que de torturer le gamin dont il était le doudou, que la belle au bois dormant a été violée par son prince charmant d'un baiser, etc. etc.
Spoiler : :
Sont aussi des exemples de création par la destruction les comédies Fantômas et OSS 117 quand on sait que les films originaux adaptés des romans que les films James Bond ont d'abord cherché à en copier le succès, ou que Fantômas est une série de romans policiers horrifiques que personne n'a jamais adapté fidèlement : les productions des parodies bien lourdes ramassent le fric, discrédite l'oeuvre original et les meilleures adaptation, et notre société de médias laveurs de cerveaux et de shadow-baning empêchant l'accès aux meilleurs sources par la population fait le reste du travail d'amnésie collective et d'enfoncer la tête du public et des plus jeunes sous le sable de la médiocrité.
Stratégie qui permet ensuite de médire en bloc par exemple de la société française, et de faire applaudir à l'égorgement répété de sa jeunesse, parce que de toute façons, la France, le français n'a pas de culture --- donc pas d'Histoire, donc aucune valeur et aucune légitimité à exister (Emmanuel Macron, qui sait de quoi il parle, vu qu'il a été président deux fois, marié à sa professeur de français qui lui aura sauté dessus à 14 ans parce qu'il était si jeune et elle si virile.)
Bien sûr, la production de Hagen et tant d'autres ne pensaient qu'au fric : une grande partie du "petit monde" de la culture et du cinéma est dominée par des gens plus ou moins riches qui couchent avec leurs acteurs, actrices et tout employé sans quoi ils ne toucheront pas leur salaire et ne feront jamais carrière, donc vous ne verrez jamais leur tronche sur le petit ou le grand écran ou en tête d'affiche. C'est la fameuse promotion canapé auquel la population française serait si attachée, au même titre que tromper sa femme ou son mari en se choppant une maladie sexuellement transmissible mortelle au bureau. Promotion Canapé qui selon les témoignages de certains très jeunes acteurs qui en ont dû lui cédé, est aussi appelée "droit de cuissage".
Certes, il faut distinguer l'oeuvre de l'auteur, l'acteur ou l'actrice de son personnage, euh... terrain glissant. Cependant si un film ou une série ou un jeu est bien fait, dans le sens qu'il vaut le temps et l'argent investis par les spectateurs auquel on avait promis de l'aventure, du mystère, de la fantasy, du merveilleux etc. il peut y avoir du sale et des drames en coulisses comme dans toutes les entreprises humaines qui rassemble un grand nombre d'êtres humains imparfaits souvent prisonniers d'une dictature maximisant les situations de blocage donc le harcèlement et la misère humaine.
... Mais si le film ou la série est pourri, ou générique, là vous pouvez être absolument certain que cela cache pire que l'ignoble. Et pire que l'ignoble, c'est une rengaine multi-millénaire du monde du spectacle que le cinéma, la télévision etc. tendent à ne jamais fidèlement raconter, un peu comme l'Histoire à partir des témoignages directs de l'époque : presque tous les films historiques sont de grossiers mensonges par des productions qui rhabillent des gens modernes avec les atours historiques et saupoudrent aujourd'hui numériquement de grands événements pour prétendre que vous achetez du grandiose, alors qu'en réalité, ce sont seulement les coucheries les plus récentes de qui produit et scénarise le film.
En conclusion : C'est une grosse m.rde ... et un coffret UHD+blu-ray de moins à acheter.
Game Of Thrones made in Germany : Hagen a à peu près tout ce qu'une épopée héroïque doit offrir : Des dragons, des armes, du sexe, des réjouissances et un héros légendaire qui, en tant que messie, doit apporter un tournant dans la guerre la plus brutale du Moyen-Âge. Une fois de plus, je n'avais aucune attente, j'ai eu le plaisir de ma vie et j'ai regardé un film digne de figurer dans mon Top10 2024, dont la réalisation rappelle beaucoup un mélange de Tolkien et de Benioff. Si la série est à moitié aussi bonne que ce film, j'envisage de m'offrir Sky à l'avenir. En bref, c'est un chef-d'œuvre, même s'il y a de petites erreurs dans la mythologie. Mais si l'on passe outre et que l'on prête plus d'attention à la réalisation, au style, à l'artisanat et surtout au jeu d'acteur, il s'agit de l'un des meilleurs films allemands jamais réalisés - et j'espère que l'on donnera à nouveau une chance à l'Allemagne aux Oscars. Car ce film le mérite vraiment : prenez quelques amis, offrez-vous un pop-corn et allez le voir. Ce film en vaut vraiment la peine !
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J'ai fait défilé le film à vitesse rapide, le dragon est si bref que je ne l'ai pas entraperçu. Pas de sexe à part dans le noir sans rien de sexuel à l'écran. Il faut dire que le chroniqueur n'y connait rien (Chat GPT ?) et se contente de citer quelques noms ou titres racoleurs : Games of Thrones, Tolkien, etc. en oubliant qui a inspiré quoi au départ : Tolkien s'est basé sur les sagas qui ont été "adaptée" par le roman adapté (?) dans Hagen.
« Hagen - Dans la vallée des Nibelungen » réinterprète la légende bien connue de Siegfried, Hagen et Kriemhild tout en préservant sa force évocatrice intemporelle. Le film met en avant les conflits intérieurs entre devoir, loyauté et désirs personnels et reste captivant malgré une fin connue et une intrigue un peu trop courte, tout en réservant en outre une grande surprise pour le final.
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Le film est barbant au possible, désaturé et avec des scènes majoritairement obscures donc il n'évoque rien, en particulier rien via sa musique informe et indistincte. On ne peut pas mettre en avant des "conflits intérieurs". Il s'agit forcément de conflits extérieurs, et ces conflits "platoniques" sont surtout moins cher et moins fatigants à être "mis en avant". Il n'y a pas de grande surprise pour le final et c'est trop peu de dire que l'intrigue est trop courte (le comble de ce genre de critique).
L'article suivant peut être lu comme alarmant sur la réalité du film. Je souligne le vocabulaire systématiquement utilisé dans le discours de la propagande woke payé à coups de pots de vins DEI qui a ruiné l'industrie du cinéma, de la télévision, de la bande-dessinée et du jeu vidéo ces dernières années, alors que la Chine (qui payait les pots de vins avec l'argent des contribuables européens et américains) est en train de racheter tous les droits et tous les brevets liés à cette industrie.
Des héros subversifs ? Avec Hagen - Dans la vallée des Nibelungen, la mise en scène avait manifestement pour objectif de démystifier l'héroïsme de la légende des Nibelungen. Cela réussit bien par endroits : le déchirement intérieur et le tourment muet de Hagen sont représentés de manière crédible, tout comme le contraste entre son caractère stoïque et celui de Siegfried, plutôt impulsif. Siegfried, au lieu d'être héroïque, donne souvent l'impression d'être un gaillard impétueux et un Casanova, ce qui le rend certes humain, mais le pousse aussi fortement à jouer le rôle d'antagoniste. Le spectateur vit ainsi Siegfried comme un « antihéros » à travers le regard critique de Hagen.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
... être impulsif et Casanova est typique des héros épiques depuis plusieurs millénaires. Les auteurs du film et de l'article insinue qu'être hétéro fait de vous un être méprisable (antihéros). Par ailleurs c'est ignorer que le personnage a été lavé du cerveau par la famille du "stoïque" Hagen, qui dans les faits tue Siegfrieg pour lui voler son or et son épouse légitime. Plus, par définition, Hagen ne peut être qualifié de "stoïque" vu comment il jalouse et tue, y compris dans le film. Et cela par la définition même du mot "stoïque".