Présenté au Festival de Cannes 2024 le 19 mai 2024. Sorti en Suède le 18 septembre 2024. Sorti aux Pays-Bas etc. le 19 septembre 2024. Sorti aux USA, en Angleterre etc. le 20 septembre 2024. Sorti en Espagne le 11 octobre 2024. Sorti en Italie le 30 octobre 2024. Annoncé en France et en Belgique le 6 novembre 2024.
De Coralie Fargeat (également scénariste et productrice), avec Demi Moore, Margaret Qualley, Dennis Quaid, Edward Hamilton, Gore Abrams, Oscar Lesage, Hugo Diego Garcia.
Pour adultes.
(Horreur satirique prospective lovecraftienne ultra-violente woke) Elisabeth, une star de cinéma sur le déclin apprend que son cours d'aérobic télévisée après des années d’antenne va être supprimé le jour de son cinquantième anniversaire. Bouleversée, elle perd le contrôle de sa voiture en assistant à la destruction d’un panneau publicitaire avec son visage défoncé par la machine.
Elisabeth se réveille indemne mais en larmes. Alors un infirmier insiste pour examiner sa colonne vertébrale puis affirme que sa candidature sera acceptée, et lui laisse une offre mystérieuse sur un tract papier. Elle découvre qu’il s’agit de La Substance — une drogue du marché noir, dont il faut suivre à la lettre le mode d'emploi pour pouvoir rajeunir spectaculairement.
Mais pas exactement : la drogue permet seulement d'accoucher d'un double rajeunie avec laquelle elle vivra en symbiose et en co-dépendance biochimique, chacune ne pouvant vivre que sept jours durant avant d’échanger leur veille…
Incapable d’imaginer fréquenter désormais des gens de son âge et vivre dans le souvenir de ses années de gloire, Elisabeth prend livraison de la drogue et accouche par le dos d’une jeune fille sexy censée avoir héritée de sa conscience. Se présentant comme Sue, la jeune fille remporte l’audition pour présenter une version plus sexy de l’émission d’Elisabeth.
En fait de "male gaze" regard des hommes, le film aurait plutôt un regard lesbien chic...
(qui n'est pas censé être woke, parce que les lesbiennes comme une immense majorité des gens de tous les sexes, n'aiment pas se faire violer par des hommes habillés en femmes avec lesquels elles devraient forcément coucher parce qu'ils se prétendent plus femmes qu'elles) :
...la haine des hommes est patente, ce qui est woke, autant que l'obsession pour les défauts physiques de la vieillesse, ce qui est psychopathe et touche particulièrement les gens de n'importe quelle orientation obsédés par l'idée de plaire à des gens plus jeunes qu'eux et qui ne seraient pas gérontophiles, et encore...
Spoiler : :
et cette manière de cadrer le cul plutôt que les seins, ou de consommer les partenaires sexuels, typique de qui voit le sexe comme du cannibalisme, aka aussi essentiel que manger, alors que dans la réalité, plus tu couches, plus ton immunité trinque et plus tu te choppes des MST et oui, même entre femmes, alors que manger, qui n'est pas se goinfrer d'ersatz arrosé de perturbateurs endocriniens et de neurotoxines, renforce au contraire l'immunité et permet de rester en vie.
Le sexe initialement, c'est d'abord fait pour survivre à travers sa lignée et maintenir en nombre suffisant la communauté qui protège l'individu des prédateurs et des coups durs, d'où le fait que l'évolution a fait survivre les seuls individus à qui le sexe donnait des orgasmes et que l'être humain ne se reproduit pas par parthénogenèse, mais par la reproduction sexuée qui perpétue l'espèce en garantissant une variété génétique salutaire, sauf en cas d'inceste, de mariage forcé, d'esclavage sexuel et de mariage entre cousins pour frauder le fisc et garder le fric dans la famille, la ménopause découlant elle aussi de l'évolution aka la nécessité pour exister dans le futur d'avoir des ovules qui germinent formidablement pour former un bébé entier capable à son tour d'engendrer; par ailleurs c'est aussi une manière de limiter les fausses couches et les accouchements mortels, surtout passé un âge où le cœur, les vaisseaux et l'immunité déclinent, et pas que la hauteur des seins ou du cul.
... de la vieillesse naturelle, mais dans le cas, il s'agit d'une vieillesse précipitée par la chirurgie esthétique et le maquillage, les produits ayant toujours été toxiques pour la peau et servant d'abord à masquer leurs propres dégâts à la beauté naturelle et saine.
Le patron de l'héroïne est présenté comme répugnant, obsédé, myso etc. mais la scénariste-réalisatrice ne montre absolument rien de comment un tel individu arrive au pouvoir, ou comment le même modèle à vagin supposé (Kathleen Kennedy) arrive aussi au pouvoir, parle, se comporte, détruit de bonnes émissions pour les remplacer par de la m...rde.
Et la scénariste-réalisatrice se garde bien de le faire parce qu'elle dénoncerait l'élite financière, artistiques et politique qui finance ses films et autorise leur sortie sur le territoire, et les acclame dans des festivals tels que Cannes, qui rappelons-le parce que tout le monde semble avoir la mémoire ultracourte était aussi Weinstein-land il n'y pas si longtemps, ce producteur tabassant les hommes et violant les actrices comme il voulait quand il voulait avec la bénédiction du gouvernement français, vous savez, celui qui a laissé se "suicider" strictement de la même manière présumée le directeur de l'agence de mannequin qui fournissait des mineures à Epstein pour qu'elles se fassent violer devant caméra par les responsables des GAFA, institutions nationales et internationales, universités prestigieuses, juges, médias et les parmi les plus gros influenceurs de la planète, inclus au moins un ex-président.
The Substance a reçu le prix du meilleur scénario, que je veux bien croire compte tenu du niveau d'écriture habituel des sélections chaque année, mais tout de même :
* L'héroïne n'a pas d'amis, elle n'a pas de collègues, même pas un ou une assistante ou un/une coach alors qu'elle produit (toute seule!) sa série télévisée depuis apparemment plus de vingt ans. Elle n'a pas non plus de famille, ni père, ni mère ni frère --- et si a priori cela ne relève pas du regard lesbien qui n'est pas censé exclure la maternité, mais relève bien du wokisme, elle n'a aucun enfant ni aucun petit enfant même pas acheté en Ukraine comme cela se fait fréquemment depuis des années. Le film ne l'ayant pas fait naître dans une cuve, quelque part je trouve ça limite pour donner une personnalité à un personnage d'être humain à l'écran...
* Les règles surnaturelles ou prospectives ne sont pas si claires, ni même respectée : bien sûr, le baratin peut être faux, mais il est souligné que le "clone-parasite" partage la même conscience que son hôtesse. Certes les dédoublements de personnalité, ou l'automutilation s'appliqueraient effectivement tout à fait à un individu-conscience doté de deux corps, mais je ne vois quand même pas pourquoi quelqu'un qui s'est gavé toute une semaine pourrait ressentir de la frustration à se reposer une semaine durant et risquer sa double-vie, même si le mode d'emploi et la recherche youtube de l'héroïne est restée bien discrète sur les conséquences de déroger au mode d'emploi.
* Et à propos de rester une semaine dans son appartement, comment une femme pareille a priori active, et censée avoir bénéficié des souvenirs d'un corps jeune la semaine précédente pourrait-elle rester à ne rien faire une semaine durant ? Elle n'écoute même pas la radio ou de la musique, ne surfe pas sur internet, n'écrit pas son journal etc. Problème de budget ou panne d'idée d'un scénario qui force sa progression du point A au point B parce que ça n'arrange que lui ?
* Pourquoi la clonesse et l'hôtesse communiqueraient par messages ou étiquetterait les vêtements de l'une comme des "vieux trucs" ? Elles ont la même conscience, donc les mêmes souvenirs, et Alzheimer n'est pas mentionné dans le mode d'emploi, plus la clonesse semble parfaitement savoir quoi faire dès sa naissance. Comment l'aurait-elle su, comment aurait-elle su quoi que ce soit, si elle n'avait pas la même conscience, donc les mêmes souvenirs, et quelque part forcément les sensations et humeurs du corps de son hôtesse.
* avez-vous remarqué que lors de la première présentation de la version rajeunie de l'émission d'aérobic, personne ne transpire, alors que les efforts durent suffisamment longtemps pour mettre en nage tout le monde, hommes ou femmes ? Et si vous ne faites pas de sport, visionnez donc un épisode de Véronique et Davina ou un ancien concert de Beyonce après lequel son service de presse soutenait qu'elle ne transpirait pas alors que, comme tout le monde durant de tels efforts, et fort heureusement pour la survie de la chanteuse-danseuse, c'était plutôt les chutes du Niagara.
* avez-vous remarqué à quel point les segments du film où Sue fait sa bombasse semblent avoir été générés par une intelligence artificielle pour la faire passer pour un genre de bonbon acidulé avec des fesses tellement ronde qu'elles n'auraient jamais pu appartenir à Demi Moore.
* avez-vous noté que Sue ne ressemble pas du tout à Demi Moore jeune, qui était du genre garçonne, au point de jouer G.I Jane (autre fantasme sexuel ?).
* avez-vous remarqué que Demi Moore dans ce film a la même tête que Courtney Cox (Friend, Scream) aka le même chirurgien esthétique et la même manière déplorable de vieillir et se maquiller ? Notez que Demi Moore apparaissait comme une mère au foyer à l'allure bien plus naturelle et scène dans Songbird 2020, soit tourné il y a quatre années de cela. Bien sûr, cela fait partie du travail artistique pour incarner le personnage d'Elisabeth, mais ce n'est pas très gentil pour Courtney Cox.
* à aucun moment, la scénariste-réalisatrice ne semble relever que son héroïne Elisabeth demandait depuis le début quelque chose d'impossible : être payée pour un boulot où elle doit rester éternellement jeune à l'écran ? Dans le documentaire Blue Eyes, il y a une scène où Jane Eliott remet sèchement à sa place une petite blonde en lui disant qu'elle va lui rendre service : qu'elle arrête de faire sa mignonne, parce qu'en vieillissant elle cessera vite de l'être et elle ne pourra plus alors compter que sur ses compétences et non sur ses charmes.
* à aucun moment la scénariste-réalisatrice ne fait remarquer par quiconque que l'idée de faire une émission d'aérobic animée par une dame de 50 ans est forcément gagnante pour toucher un public de femmes de 50 ans, qui est celui qui rapporte le plus au monde aux annonceurs ? Comment remplacer une telle émission par un spectacle p.rno chic pourrait entraîner le moindre succès d'audience, ou décrocher un prix - et je vois mal les jeunes filles de 16 ans faire défiler d'une main leurs messages sociaux et de l'autre suivre l'émission en faisant la chorégraphie. Aux USA, elles ne regardent plus la télévision et elles ne voteront jamais aux Emmy.
Une campagne woke d'incitation à la haine des hommes par les femmes donc de la haine des femmes par les hommes a commencé avec une improbable dépêche bien entendu reproduite par 20 minutes, votre torchon en ligne de désinformation sur tous les sujets d'actualité, accompagné de ses commentaires de trolls probablement assistés par Chat GPT.
Des féministes (qui se garderont bien de révéler leur nom, prouver leur sexe biologique ou montrer leur carte et la manière dont sont financés leurs affiliations et leur activité, ou qui les emploie dans la vraie vie) prétendent qu'il est sexiste de rire en voyant le film en salle, quand on est un homme, bien sûr, ce qui supposerait que les féministes en question ont vérifié eux-mêmes ou elles-mêmes le sexe biologique des supposés spectateurs en question.
Les spectateurs qui auraient ri, si tant est qu'ils existent, et dont bien sûr, il ne sera pas mentionné la religion ou s'ils sont légalement sur le territoire ou même ont payé leur ticket, ce qui serait tout de même un miracle à notre époque où une immense majorité de salles sont vides de spectateurs payants, en particulier pour un film clairement identifié art et essai, réputé gore.
Il n'y a absolument aucun doute possible rien qu'aux affiches et aux bandes-annonces ou à la presse après présentation au Festival de Cannes, que l'héroïne dédoublée sera à la fois vieille et sexy et s'en prendra plein la gu.le.
Alors ma première question n'est pas qu'on puisse en rire, ce qui serait un bon point pour la réalisatrice-scénariste et son film dont l'intention était bien de promettre et de tenir la promesse d'une satire, et les satires réussies font rire toute personne qui aurait un minimum de sens de l'humour, mais bien quel genre de féministes irait payer ou pas pour aller voir sur grand écran une femme s'en prendre plein la gu.leet s’humilier / prostituer parce qu'elle veut encore faire de l'audience avec son cul à 50 ans ? sachant de Demi Moore l'actrice interprétant ce rôle a 61 ans.
Ce type d'article donc titre de presse, et les gens qui lancent ce genre de manipulations sont clairement des remora : ils collent au cul du moindre sujet potentiellement à la mode du moment pour détourner l'éventuel succès d'attention et se faire attribuer une prime au détournement de clics et de vues.
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Incidemment il est devenu illégal aux états-unis d'utiliser des robots ou intelligences artificielles pour faire des commentaires ou de l'actualité. Et Internet étant lisible de partout, tandis que Trump et son équipe disposent à la fois du Sénat, de l'Assemblée, de la Cour Suprême et de la présidence, les usines à trolls et leurs employeurs et receleurs pourraient bien avoir de gros soucis à se faire, même en France et en Europe.
C'est peut-être d'ailleurs la raison pour laquelle depuis cette semaine je ne trouve pratiquement plus de vidéos insultantes à propos des youtubeurs qui commentent l'actualité SF à chaque fois que je fais la recherche pour retrouver leurs dernières vidéos, vous savez avec le titre (nom du youtubeur) + "is trash" (est une ordure) et autres délicatesses que je regrette de n'avoir pas capturé plus tôt à présent.
Et dix jours après sur le même torchon de site, un article publicitaire à propos de deux femmes qui prétendent imaginer un monde où les femmes n'ont plus droit de rire, les "féministes" de l'article précédent prétendant interdire aux hommes de rire d'un film gore qu'elles prétendent féministe alors qu'il est factuellement dégradant pour les femmes et que n'importe qui rirait quand ce qu'on voit sur un écran est à ce point outré et/ou caricatural et/ou non-sensique.
Spoiler : :
20 minutes doit toucher des primes woke / DEI ou peu importe le nom du pot-de-vin du moment, mais j'ai aussi entendu dire que les "journalistes" qui travaillent pour les wokes sont le moins payé possible. D'où leur abnégation à toucher les pots-de-vins de la Chine et de Black Rock ? Cela mériterait une enquête sérieuse (le fameux délit d'injecter des informations mensongères dans un système, entre autre), et de même j'aimerais bien que le lecteur soit constamment tenu au courant de la proportion d'articles et de commentaires générés directement ou avec une aide partielle d'intelligences artificielles.
Dans un monde où les femmes n’auraient plus le droit de rire, « Les rieuses » appuie sur la force de la sororité FICTION•Les deux artistes Audrey Baldassare et Lou Zidi ont imaginé une mini-série de fiction sur le rire des femmes dans le but d’éveiller les consciences sur les questions d’actualité de liberté et d’égalité
... t si, dans un futur proche, avec l’arrivée au pouvoir de l’extrême-droite, et une victoire de la pensée masculiniste, les femmes étaient privées de leurs droits, notamment celui de rire ? Non mais, imaginez. C’est en tout cas ce qu’ont fait deux artistes, Audrey Baldassare, comédienne et stand uppeuse, et Lou Zidi, scénariste et réalisatrice, à travers une mini-série intitulée « Les Rieuses » qui devrait sortir d’ici avril 2025 sur Instagram.
J'ai du mal à les suivre : si Marine arrivait au pouvoir, elle s'interdirait de rire à elle-même ?
Vu que tous les partis sans aucune exception sont apparemment corrompus jusqu'à l'os cf. Clearstream 1, l'Appel des juges européens mené par Eva Joly toujours d'actualité, est-ce qu'il ne serait pas plus pertinent de faire des sketchs sur à quel point ce serait terrible pour les femmes (politiques, arbitres de match de foot etc.) de ne plus avoir droit à des pots-de vins et autres rétro-commissions via un compte pour virement internationaux, ou encore par crypto-monnaie ? Imaginez à quel point ce serait injuste et elles n'auraient plus envie de rire...
Spoiler : :
Les questions d'actualité de liberté et d'égalité, ce sont bien les génocides actuels à Gaza, au Liban, le génocide des Ukrainiens russophones par les Zelinski boys payés par George Soros, soutenu par la France et la communauté Européenne - le génocide yéménite par l'armée française, le génocide des français par vaccination forcée en totale violation du traité de Nuremberg, toujours en cours et le génocide imminent des français et Européen par l'holocauste atomique que Macron, Biden et tous les autres s'efforcent de provoquer avant que Trump ne deviennent président en janvier ?