Imaginez-vous qu'en France avant la dernière élection présidentielle, un réalisateur-scénariste français subventionné comme il se doit ait sorti un film entièrement consacré à l'assassinat d'un clone d'Emmanuel Macron s'il devenait président, avec une bande de journalistes "divers" présents pour photographier son cadavre brandit comme un trophée dans un salon de l'Elysée.
Eh bien c'est ce que Alex Garland a fait avec Civil War, et ses journalistes "de guerre" complètement irréalistes en comparaison de ceux qu'Obama et Biden ont assassinés et/ou torturés pour de vrai, son racisme anti-blanc et surtout roux.
Et cela après avoir enchaîné une série de films ou série prétendus SF ou Fantastique toujours plus woke et pro-mort bien entendu encensés par la "critique" des médias dominants, type Men, Dev, et l’inénarrable Ex Machina où un créateur de sex-bot entend prouver le libre arbitre de sa tueuse psychopathe à intelligence artificielle par un test consistant à l'inciter fortement à assassiner son créateur et si possible les autres occupants d'une maison piégée pour faire mourir de faim les invités humains (donc les seuls témoins du test) une fois le dit créateur assassiné.
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C'est à peine mieux pour Danny Boyle, qui tend à transformer en slasher glauque tout ce qu'il touche, même s'il aura tenté avec Slumdog Millionnaire votre cinéma d'exploitation grand public (pierre) palmable et oscarisable, et rebeloter en s'essayant au révisionnisme historique où le héros également non blanc profite de l'effacement de l'Histoire des Beatles pour leur voler leurs chansons et devenir célèbre à leur place. En somme un "grand" remplacement, mais chaque fois que vous effacez des personnages historiques ou héroïques à peau pâle, il semblerait que vous touchiez votre pot de vin DEI / Woke viré directement sur vos comptes en banque par Black Rock, Vangard et le Parti Communiste Chinois, entre autres grands agents de la future (?) dictature planétaire.
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Je n'ai guère sinon aucun espoir pour une suite qui, cerise sur le gâteau pourri, fait table rase de la conclusion du premier film non contredite par le second, selon laquelle les infectés n'avaient aucune chance de survivre dans les quelques mois qui suivraient, ce qui éteindrait l'infection faute de porteurs. Mais comment faire un troisième (quatrième, une série pourrie clairement écrite par ChatGPT etc. etc.) s'il fallait tenir compte des récits que l'on adapte ? en ce moment plus que jamais, y compris s'il s'agit de ses propres scénarios ?
Cynisme et f..tage de gu absolu = film d'exploitation = ne payez pas pour ça, le temps perdu à gagner votre bel et bon argent est réel et vous aura coûté beaucoup plus cher en minute, heure, jour, année de vie qu'à ces gugusses.
Et n'oubliez pas que si on devient ce que l'on mange, votre cerveau devient ce que vous regardez et ce que vous écoutez, et en ce moment, ce n'est pas beau du tout, et ça ressemble toujours plus au fameux virus (de la super) Rage du premier film.
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