De Ric Roman Waugh (également producteur), sur un scénario de Mitchell LaFortune et Chris Sparling, d'après leur film de 2020 ; avec Gerard Butler (également producteur), Morena Baccarin, Roman Griffin Davis, Amber Rose Revah, Gordon Alexander, Peter Polycarpou, William Abadie, Tommie Earl Jenkins, Trond Fausa Aurvåg.
Pour adultes ?
(Post-apocalyptique, potentiellement woke toxique, presse) Cinq ans après que la comète interstellaire Clarke ait dévasté la majeure partie de la Terre, la famille Garrity doit quitter la sécurité du bunker du Groenland et se lancer dans un périlleux voyage à travers les terres désolées de l'Europe afin de trouver un nouveau foyer.
Le premier Greenland est sorti en pleine crise du Covid, et il n'y avait en fait pas le choix, surtout en Science-fiction. L'avantage des films catastrophes ou apocalyptiques, c'est qu'ils sont censés offrir du grand spectacle et c'était le cas...
Mais... à une époque où je n'étais pas encore à vérifier systématiquement que je n'étais pas entraîné à détecter la propagande génocidaire raciste, je n'avais pas remarqué à quel point le premier film était raciste anti-blanc : si la petite famille croise des timbrés ou des suicidaires ce sont forcément des blancs, et si ce sont des gentils qui les aident pour de vrai, ce sont forcément des gens de couleur ou divers au sens américain, puisque personnellement je ne partage pas la vision ultra-raciste de la propagande Hollywoodienne ces derniers temps au plus vil service des ultra-riches menés par Black Rock, Vangard et autre Forum Economique Mondial de Davos.
Donc je ne peux que recommander la plus grande prudence si vous souhaitez voir ce film, et surtout de n'exposer quiconque à un nième opus de propagande haineuse pro-mort racisée dont les ultrariches noient nos écrans depuis des dizaines d'années désormais, avec des objectifs de diviser pour régner et de schizophrénie psychopathe maximale dans la population largement atteints à ce jour.
Nous verrons cependant à quel point cette suite sera toxique, ou l'assassinat de Charlie Kirk et le sursaut apparent d'une large portion de la population et décideurs peut changer la donne et ramener, possiblement via la case prison, nos écrans vers un discours humaniste réalise et réconfortant pour de vrai tous les publics en tant qu'êtres humains qui n'ont pas besoin d'écraser, voler et génocider leur prochain pour s'assurer d'un avenir bienfaisant à leurs yeux.