The Green Hornet S01E07: Bridge of Disaster (1940)

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The Green Hornet S01E07: Bridge of Disaster (1940)

Messagepar Greenheart » Jeu 2 Mai 2024 17:47

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The Green Hornet S01E07: Bridge of Disaster (1940)
Traduction du titre : le frelon vert, le pont du désastre.

Sorti au cinéma aux USA à partir du 20 février 1940.

De Ford Beebe et Ray Taylor sur un scénario de Fran Striker, George H. Plympton, Basil Dickey, Morrison Wood, Lyonel Margolies, d’après le feuilleton radiophonique de 1936 de Fran Striker et George W. Trendle ; avec Gordon Jones, Wade Boteler, Keye Luke, Anne Nagel.

Pour adultes et adolescents

(mystère, justicier, super-héros, techno-thriller) Chapitre sept.

Britt Reid, enquêtant sur le sabotage des Bus Whippet, suspecte que Rockford, directeur de la Bande Bleue, une compagnie de bus rivale, appartient au syndicat du crime responsible. Axford, menant l’enquête de son côté, visite le siège de la Bande Bleue se retrouve piégé et fait prisonnier par le gang. Reid découvre le sort de Axford et, déguisé en tant que le Frelon Vert, réussit à libérer Axford et à forcer Rockford à confesser son crime. Mais les hommes de mains de Rockford reviennent, une bagarre éclate et le Frelon Vert est dépassé par le nombre.

Le Frelon prend la fuite et saute par la fenêtre tandis qu’on lui tire dessus. Il est relevé dans la rue par Kato tandis qu’une sirène se rapproche : la Police arrive. Le Frelon et Kato filent à la Black Beauty et démarrent dans le bourdonnement caractéristique. Le Frelon est satisfait de sa journée : quand le procureur recevra les preuves qu’il a réunies, ce sera la fin du gang des bus.

Et effectivement, le lendemain, une édition spéciale de La Sentinelle titre sur l’inculpation de Rockford et l’anéantissement d’un autre gang par le Frelon Vert. Alors que Reid lit son propre journal, son interphone buzze : Monsieur Roberts est au téléphone. Reid demande à ce qu’on le lui passe sur son propre poste et en décroche le combiné : « Salut Charles, comment allez-vous ? »

Roberts répond : « Je vais bien. Ecoutez, Britt, il faut que je vous vois de suite. » Reid répond : « On dirait que vous êtes vraiment sur une piste… » Roberts ricane : « En effet, et c’est du lourd. Si lourd que je me rends chez le procureur du District, juste après que je… »

Roberts s’interrompt brutalement et Reid l’appelle en vain. Il tapote sur le commutateur : « Opératrice, je viens d’être coupé ! » Mais l’opératrice lui répond : « Il n’y a personne au bout du fil maintenant, Monsieur. »

Reid, inquiet, remercie l’opératrice et raccroche. Il se lève, décroche son chapeau au porte-manteau et sort de son bureau, met son chapeau et croisant Leonore Case l’informe qu’il se rend au bureau de Charles Roberts.

Le siège de la Société de Transport ACME (!). Reid entre dans un bureau et demande à l’employé assis à sa table de travail à côté de la porte si Monsieur Roberts est là. Puis les deux hommes semblent se reconnaître et sourient : le jeune homme se lève et ils se serrent la main. Reid dit : « Salut Johnny ! » et demande : « Que faites-vous ici ? »

Johnny salue Reid en retour et explique qu’il vient juste de sortir de l’école et que Charlie (Roberts) lui apprend le métier de transporteur routier. « Avant peu, cette société s’appellera Roberts et Roberts Associés. » Reid répond : « Génial, John. Est-ce que Charles est là ? » Le jeune répond « Certainement, je vais le buzzer. »

John Roberts décroche son téléphone, mais après plusieurs pressions sur le bouton de l’interphone, il déclare : « ça doit être en panne… » Reid lui demande alors si quelqu’un attend déjà pour voir Charles Roberts. « Non, je vous y amène tout de suite. »

John se lève, contourne son bureau et va pour ouvrir la porte sur laquelle il est écrit « privé ». Mais il n’y parvient pas. « C’est drôle, c’est verrouillé. » John frappe, appelle sans réponse. Reid demande si John a la clé, et John confirme. Il tourne sa clé dans la serrure, les deux hommes entrent dans le bureau et Johnny voyant son père attablé annonce : « Charlie, Monsieur Reid est là. »

Mais Charles Robert ne réagit pas : il reste immobile, tourné vers leur droite, le regard fixe. John s’alarme et s’exclame : « Qu’est-ce qui ne va pas avoir lui ! » Reid remarque : « Il tient un revolver ! »

John se précipite et attrape l’épaule de Charles Roberts, qui bascule et tombe au bas de son fauteuil. John crie : « Charlie… » puis, éperdu : « Il est mort, Britt ! »

John veut alors relever son père mais Britt le retient. John proteste : « Mais Britt, il est mort !! » Britt continue de le retenir : « Non, vous ne devez toucher à rien ! » Puis d’un seul regard vers le corps. « Il a été abattu. » Et plus calmement : « Nous devons appeler la Police. »

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