Creature Commandos S01E06: Pryatel Skelet (2025)

[Greenheart]

D.C. Creature Commandos S01E06: Pryatel Skelet (2024)
Traduction : commandos de créatures, le squelette de Pryatel.
Titre français :

Diffusé à partir du 2 janvier 2025 sur MAX US.

De James Gunn, d'après la bande dessinée parue dans Weird War Tales #93 (Novembre 1980) de J. M. DeMatteis (scénario) et Pat Broderick (dessin), avec les voix de Steve Agee, Maria Bakalova, Anya Chalotra, Zoë Chao, Frank Grillo, Sean Gunn, David Harbour, Alan Tudyk, Indira Varma, Viola Davis.

Pour adultes.

(super-héros monstres, guerre, woke, toxique, ultra-violent, propagandaire, artificiel,Une ville moderne anonyme par une nuit glauque. Un homme blond à blouse blanche -- sûrement un dentiste -- saute par les portes arrières d'une fourgonnette. Puis la fourgonnette s'arrête et les brutes, tous les deux à bouc et moustaches noirs, l'un en costume cravate et l'autre à veste noir sur tee-shirt blanc, chaîne en or --- sans doute des rappeurs -- ramasse la blouse blanche pour la relever et la ramener à bord de la fourgonnette.

Dans la fourgonnette obscure, est improbablement assis un homme qui coupe le bout de son cigare avec les dents et répète : "Alex, Alex, Alex..." pour ajouter : "Tu n'iras nulle part." L'homme aux cheveux blancs est obèse et souriant, et demande à blouse blanche que les deux brutes tiennent à genoux devant lui : "Arriveras-tu à te le rentrer dans le crâne ?"

Humour ChatGPT : personne n'est censé savoir à ce point du récit que blouse blanche est le squelette radioactif qui n'arrête pas de répéter ce qu'un spectateur qui a des yeux pouvait très bien constater par lui-même, et divulgâcher n'est pas jouer avec les attentes du spectateur.

Flash-Forward = bond en avant, le crâne radioactif du Docteur Phosphorus, qui est censé se cacher dans la pénombre alors que le personnage est incapable de cacher son rayonnement et que nous venons de voir son crâne illuminé, donc projetant logiquement lueur, reflet et ombre du crâne d'autant plus faciles à repérer pour la garde qu'il fait nuit noire dans la scène.

Oui, mais vous me direz, le plan suivant montre que Phosphorus s'est caché dans une espèce de benne... dont il soulève le couvercle dans le dos des deux gardes qui passent, toujours dans la nuit noire, donc il aurait dû projeter devant eux une vive lueur jaune verdâtre, sur le sol et les murs environnant, ainsi que l'ombre des gardes devant ces gardes, le tout en mouvement rapide.

Par ailleurs Phosphorus a été présenté dans le premier épisode comme fortement radioactif, il est donc fortement détectable avec un simple poste de radio, sinon un compteur Geiger ou n'importe quel dispositif sensible à l'électro-magnétisme et aux rayonnements de tous types. Par exemple, une pellicule argentique protégée de la lumière noircirait sur son passage, mais gageons que tout système informatique, tout appareil utilisant l'électricité aka un flux d'électrons, serait sensible, par exemple l'écran d'un téléphone portable serait parasité, les ampoules et diodes électriques un peu sensibles vacilleraient etc. Par ailleurs Phosphorus n'est pas seulement radioactif, mais il fluctue constamment en intensité ; tout ce qu'il touche, chaque pas, les particules dans l'air sont irradiées et font sillage détectables. Il doit même être très facile à repérer par satellite et drone ou du haut d'une tour ou à cause des fluctuations du Wifi.

Les deux gardes sont censés s'être éloignés, mais nous ne les avons pas vu s'éloigner ou tourner dans une rue, et ils n'en ont pas eu le temps matériel : c'est donc sans transition que Phosphorus sort de sa benne à ordure, ce qui aurait déjà dû faire un boucan d'enfer -- évident pour quiconque aura déjà sorti les poubelles pour le ramassage ou jeté quelque chose dedans, mais l'auteur du scénario est visiblement dépourvu de cette expérience on ne peut plus humaine.

Ensuite Phosphorus s'époussette pour se débarrasser de papier gras restés collés à sa veste, puis en sifflotant martèle à chaque pas le bitume, ce qui compte tenu de la configuration des lieux, aurait dû faire écho très, très loin à travers la rue sur plusieurs blocs. Sifflé par nuit noire en particulier doit porter à des kilomètres, et de toute manière, le silence qui règne dans cette ville est littéralement irréel : il y a toujours en ville des bruits de fond ou des petits bruits divers tels les climatisations, les frôlements des papiers gras et le souffle de l'air qui se déplace simplement parce que la température d'un côté d'un bâtiment n'est pas la même de l'autre, et toutes les rues font forcément courant d'air, quand bien même il n'y aurait pas rafale ni d'assaut (NDT Jeu de mot, et celui-là, ce n'est pas Chat GPT qui serait arriver à vous le faire).

Qui plus est, Phosphorus luit d'une flamme verdâtre assez haute dans la ville, surplombé d'un nombre tout même conséquent de baies vitrées illuminées à travers lesquelles absolument personne ne regarde en contre-bas. Et nous sommes dans une ville dépourvue de toute caméra de surveillance.

Pendant ce temps, la Promise et la femme-poisson se sont réfugiées dans un bordel parce que la série n'était pas assez glauque sans l'apologie du trafic d'êtres humains. Les gardes arrivent parce qu'ils les ont vus entrer dans le bordel, et entrent. Et ne fouillent pas le bordel et n'arrêtent personnes, croyant des p.tes sur parole --- vous savez, des gens que l'on paye pour faire des trucs bien pire que mentir avec leur bouche, prouvant encore une fois le sens aigu des réalités de ce monde des modèles larges langagiers et l'absence totale de conscience professionnel des stagiaires et prêtes-noms de chez Warner Bros.



***

[Greenheart]

Plus toxique, tu meurs.

Toujours l'objectif de rendre sympathique, attachant, excusable un monstre qui massacre gratuitement n'importe qui, achevant les blessés à coup de talons radioactifs dans le visage gémissant de douleur, assassin sadique de femmes et d'enfants etc. Et non, être victime ou massacrer, en particulier des enfants, ne change rien à ce que vous devenez en le faisant, et peu importe les crimes des cadavres que vous mutilez ou bouffez par prétendu exultation vengeur.

Qu'il est attendrissant à stériliser cette petite fille dans l'avant-dernière scène (ou ce petit garçon dans le souvenir de Phosphorus, peu importe, une production woke aime semer les confusions de sexes à défaut de genres), tandis qu'il joue à la faire voler dans le jardin devant ses parents, ses mains hautement radioactives sur ses hanches, juste à proximité des ovaires : dans le meilleur des cas, s'il s'agit d'une petite fille ses enfants auront quatre jambes et possiblement deux têtes, mais le plus probablement est qu'elle mourra atrocement d'un turbo-cancer, les enfants étant beaucoup plus vulnérables radiations que les adultes et les personnes âgés, question de métabolisme et potentiel de réplication cellulaire.

*

Et de la même manière, toujours l'objectif de faire passer le mâle blanc occidental plus ou moins chrétien comme une pire ordure bien sûr sans histoire ni excuse bonne à massacrer par plaisir voyeuriste sadique parce que, racisme, panurgisme et servilité dédiée au génocide caucasien.

Posez-vous la question de pourquoi aucun individu racisé coloré ou typé juif ne fréquenterait le bordel en question ? Si vous croyez que les pays de l'est même les plus isolés ne facilitent pas le tourisme sexuel, vous vous fourrez le doigt là où les rayons du soleil vont chaque fois qu'il se lève (NDT : oui, c'est une énigme !!! dont la réponse est...

Spoiler : :

l'oeil

).

Dans la réalité, nous sommes très loin du compte : aucune communauté, aucune ethnie, aucune couleur de peau, de cheveux n'est épargnée par la corruption, dans les sociétés où les corps sont des marchandises comme les autres, que les autorités laissent vendre et facilitent le démarchage des clients potentiels.

*

La promise, archetype de la wokette : invulnérable, indestructible, impossible à arrêter, alors que c'est un cadavre ambulant projeté à travers deux murs par une décharge de pure énergie qui, vous pouvez le parier, aurait tué n'importe quel alpha-male. Aucune couture ou suture ne supporte à ce point les chocs et autres extensions. Mais bien sûr, la Promise est incapable d'arrêter ou de se relever si c'est une autre wokette qui l'attaque type Circée : c'est magique, c'est surtout woke et cela n'a aucun rapport avec raconter une histoire qui se tient dans un univers qui se tient, c'est seulement de la propagande génocidaire provacatrice aux haines raciales et sexistes, du pur diviser pour régner pour stériliser.

*

... et toujours ces plans insensés où des soldats plus ou moins expérimentés approchent de leur objectif en marchant bien groupés, bien alignés, complètement à découverts, visibles du plus loin possible, juste pour tenir dans le cadre de la caméra. Cela ne peut bien se terminer que quand le scénariste et le reste de la production mentent aka trichent aka fraudent le spectateur.

Étrangement, lorsque le commando suicidaire à l'ouverture du film de 2021 fait la même chose sur la plage, il arrive exactement ce qu'il doit arriver dans la réalité, ce qui une fois de plus pose question sur qui a réellement écrit et produit cette série animée. Et si James Gunn est en train de nous faire le même coup que Seth McFarlane nous a fait avec la troisième saison de The Orville, un youtubeur et ses sources anonymes seront-ils assez braves pour identifier ses "handlers", aka les personnes chargés de tirer les ficelles de la marionnette qui fait semblant de tenir les commandes de la série ?

Spoiler : :

Pour The Orville, c'était assez facile puisque la marionnettiste s'était elle-même mise en vedette dans la saison, couchait officiellement avec McFarlane son employeur et était en démonstration permanente de la wokette ultime ou si vous préférez de "vous voyez, je peux faire caca dans son lit et gagner tous mes procès en restant une star, parce que mes employeurs le tiennent." Plus quand vous travailliez mesdames pour une agence américaine chargées de manipuler l'opinion publique et détruire le crédit des meilleurs auteurs et franchises qui montent, évitez de vous ressembler toutes par votre aspect physique, votre parcours professionnels, vos répliques dans la vraie vie comme dans les fausses, parce qu'à un moment, même le plouc de trifouillis les oies peut vous voir arriver de très loin.

*

Je suis curieux :

Comment Batman aurait au juste pu arrêter Phosphorus ? Simplement en exhibant sa silhouette obèse sur les baies vitrées d'un plafond ?
Et une fois arrêté, comment Waller aurait pu au juste insérer un dispositif générant la douleur pour tenir en laisse virtuelle Phosphorus ?
Et pourquoi Phosphorus domestiqué n'aurait-il pas été utilisé pour produire de l'énergie civile à moindre coût ?

L'absence de transition, typique des récits générés par intelligence artificielle et des incompétents siphonnant du budget, arrange bien des studios et streamers fraudeurs en ce moment. Ce sont des vrais récits que les spectateurs humains payent pour voir, pas des apparences lointaines qui ne satisferont que des critiques vendus ou dont les textes sont eux-mêmes générés par intelligence artificielle. Et à ce sujet...

La critique d'Unification France, que je préfère vous laisser le soin de qualifier.

Spoiler : :

Je cite le texte de la critique parce les sites internet vont et viennent et celui d'Unification peut disparaître du jour au lendemain, et quelqu'un aura alors beau jeu de prétendre que mes arguments concernant ce genre de critique ne tiendraient pas. Je souligne.

Le sixième épisode de Creature Commandos est très bon et permet de se pencher sur le passé de Doctor Phosphorus.

NDT : Depuis quand une critique commence par affirmer une qualité sans argumenter quoi que soit qui prouve cette qualité ? Et pourtant l'autrice prétendu procède de la sorte à chaque critique il me semble. Plus l'épisode ne permet pas de se pencher sur le passé de Phosphorus, c'est la formule répétitive de la série depuis le second épisode qui nous inflige des flash-backs jouent la montre, tandis que la mission elle-même est ridiculement mince et complètement incohérente, bien avant la "stratégie" du commando pour la "remplir".

Le scénario de James Gunn montre que les rescapés de l’équipe doivent se disperser pour échapper à leurs poursuivants, alors que chacun d’entre eux vont se retrouver dans des situations auxquelles ils n’avaient pas pensé.

NDT : Vraiment bizarre comme formulation à rallonge typique de Chat GPT qui essaie de tenir un objectif de nombre de mots pour répondre à un prompt de génération d'un article : d'abord l'épisode ne montre pas que le commando doit, il montre le commando dispersé pour échapper à ses poursuivants. Un être humain aurait naturellement écrit : "Le commando se disperse pour échapper à ses poursuivants..." Et ce n'est pas "chacun d'entre eux" mais d'un côté Phosphorus, de l'autre la Promise et la femme-poisson. Flag n'y est pas, la belette pas vu non plus.

L’épisode de Sam Liu est très plaisant à suivre. D’autant que l’on en découvre plus sur les personnalités des différents protagonistes. Tout en comprenant comment le Doctor Phosphorus a vu le jour et ce qui l’a rendu si cynique et sans pitié.

NDT : là encore, c'est vraiment bizarre comme avis pas critique du tout. D'abord, en quoi est-ce "très plaisant à suivre" de voir Phosphorus massacrer des petits enfants ou la Promise découper du mâle blanc ou de visiter un bordel de femmes et d'entendre proposer à la Promise qu'elle devrait faire des passe nécrophiles, et à la femme poisson qu'elle devrait se gaver des penchants bestiaux des clients d'un bordel de l'Est ? Et comment elles seraient rémunérées pour mettre leurs efforts non dans la violence mais le plaisir ?

Dans les vrais bordels de femmes de l'Ouest prétendues indépendantes, la somme payée par le client était répartie dès l'arrivée entre la tire-lire de Madame chargée de veillée à la sécurité des filles en refusant l'entrée au premier venu et en employant des gardes armés, et la tire-lire de la p.te, qui était à partir de là sûre et certaine de récupérer son dû. Et si elle se retrouvait enceinte et/ou avec une maladie vénérienne d'époque visible, c'était fini pour elle, aucune sécurité sociale, fallait trouver un métier qui rapporterait moins, type blanchisseuse ou couturière. Par ailleurs les spécialités des unes et des autres étaient toujours détaillées avec les tarifs correspondant, comme au supermarché aujourd'hui, à la manière des bordels parisiens dont les menus sont toujours en ligne, mais curieusement la production qui n'est pas avare en gore, d'un coup devient super-timide et effarouchée.

Mais je ne doute pas qu'une telle production puisse parier sur le slash et les comptes onlyfans également générés par intelligence artificielle qui ne manqueront pas de venir compléter un tableau si élogieux de la condition féminine et de la femme d'autant plus forte qu'elle a été découpée en morceau et recousue en fonction de ce qui est censé le plus intéresser le chaland.

L’animation est d’une belle facture et les couleurs choisies siéent toujours parfaitement à cette aventure violente dans laquelle de nouveaux morts viennent s’ajouter à la longue liste qui parsème les épisodes précédents.

Pour dresser une longue liste des morts, encore faudrait-il avoir les noms de la viande découpée, brûlée, écrabouillée' etc. Je ne qualifierait pas de "belle" la "facture de l'animation", et encore moins les couleurs "choisies" ; une longue liste ne parsème pas un épisode, ce sont les morts. Les morts ne s'ajoutent pas d'eux-mêmes à la liste. Un épisode n'est pas l'aventure qu'il raconte, et l'épisode ne raconte qu'une partie de plusieurs aventures.

Là encore, ce sont des circonvolutions curieuses sans fautes d'orthographes mais au remorquage logiquement défectueux. Pourquoi ne pas avoir dit "L'animation est bien faite, les couleurs bien choisies au de la violence de l'épisode qui ajoute encore de nombreuses morts à ceux déjà montrés dans les épisodes précédents."

Le doublage original est excellent et apporte beaucoup de personnalité aux protagonistes. La rencontre finale entre certains d’entre eux, dans le dernier épisode, risque d’ailleurs d’être particulièrement tendue, voire explosive.

NDT : à quoi entend-ton que le doublage original est évident, ou apporte beaucoup de personnalité aux protagonistes ? Quelle est la personnalité de quel protagoniste doublé de quelle voix ? En quoi la rencontre au dernier épisode sera finale (la série est renouvelée) et en quoi pourrait-elle être plus tendue et/ou explosive que les rencontres précédentes l'ont déjà été ? Surtout que je suppose que l'autrice parle d'une nième retrouvaille entre Eric Frankenstein et la Promise et ces deux personnages n'ont cessé de s'affronter graphiquement depuis le deuxième épisode.

On approche maintenant de la fin de cette saison et il est difficile de savoir ce qu’il va vraiment arriver, tant James Gunn s’est amusé à brouiller les cartes. Ainsi, entre les gentils et les méchants, il n’est pas toujours facile de faire une différence. D’autant que certains ont recours à la violence d’une manière presque naturelle sans se poser trop de questions et s’interroger sur le sens de la vie.

NDT Je me demande bien comment Isabelle Arnaud a pu deviner que nous approchons de la fin de cette saison... Ah oui, j'y suis : il y a sept épisodes annoncés, et c'était le sixième. Achement utile cette phrase dans la critique. Je ne sais quelle est la part du scénario de Creature Commando écrite par James Gunn, pas plus que je ne sais quelle part de cette critique a réellement été écrite par Isabelle Arnaud ou si Isabelle Arnaud existe. James Gunn apparemment existe, mais jamais il n'a écrit aussi mal à ma connaissance, et aussi artificiellement.

Il devrait toujours être difficile de savoir ce qui va arriver "vraiment", d'autant qu'il s'agit d'une fiction, qui par définition n'est pas "vraie", et encore moins quand il s'agit d'un récit fantastique. Et si Gunn avait à ce point rendu sa série imprévisible en "brouillant" les cartes, comment se fait-il que j'ai pu deviner dès le second épisode qu'il y aurait un flash-back sur les origines de chaque monstre à chaque nouvel épisode ? Ah oui, parce que son scénario est répétitif, ce qui est le contraire de "imprévisible".

La conclusion du paragraphe est très inquiétante : l'autrice ne serait pas capable de faire la différence entre les gentils et les méchants de l'épisode, malgré les morts, et suppose que ce serait aussi le cas du lecteur, qui à ses yeux devrait être dépourvu de tout principe moral, ou de toute conscience empathique ou de tout sens des réalités sociales ou biologiques aka un psychopathe ou une intelligence artificielle à large modèle langagier et les trolls qui les sollicitent pour empoisonner le monde et remplacer l'Humanité par une pure pollution au seul service de l'avidité des seuls vrais monstres de l'Histoire de l'Humanité la plus réelle.

Est-ce que vraiment tuer des enfants et des innocents ne suffit pas à faire la différence entre si on est bon ou si on est méchant ?

Parce tout de même, dans le Suicide Squad 2021 de Gunn, et confirmé par le commentaire, Gunn lui-même soulignait à quel point Harley Quinn avait fait des progrès en matière d'éthique, identifiant un psychopathe au fait qu'il tuait des enfants sans remords. Mais apparemment pas Isabelle Arnaud ?

Je veux dire, il n'y a aucun mal à apprécier ou raconter un récit centré sur le parcours d'un très méchant, tueur psychopathe, dictateur sanguinaire comme presque tous les chefs d'état d'aujourd'hui ou ignoble pervers corrompu abonné à Air Lolita d'Epstein, ou dirigeant un réseau de prostitution de mineurs pour faire chanter les grands de ce monde comme apparemment l'un des membres éminents de la famille Rockfeller si l'on en croit le témoignage d'une de ses victimes --- mais c'est seulement si vous êtes encore capable de discerner le bien du mal, de distinguer les gentils des méchants, de ne pas prétendre que leurs victimes sont moins importantes que le plaisir voyeuriste que vous pouvez retirer à suivre leurs agonies et autres dépeçage.

Dans Suicide Squad et sa suite en série télévisée, Peacemaker, James Gunn ne semble avoir aucune difficulté à distinguer les méchants des gentils, y compris monstrueux : ceux sont ceux qui, une fois qu'ils se sont tirés la tête de leur c.l, visent à épargner les vies humaines (et animales, et monstrueuses) et risquent leurs propres têtes pour se faire, et cherchent ensuite les solutions pour ne pas répéter les erreurs qu'ils ont commises pour se retrouver dans un pétrin pareil et les mains pleines de sang. Cependant, personne ne peut prétendre se faire pardonner ses erreurs ou redevenir un gentil, s'il persiste et/ou profite de ses crimes comme il l'a déjà fait encore et encore.

Enfin, ce ne sont que des personnages de fiction et dans le cas présent, ils peuvent très bien n'être que des fantasmes psychopathes et Creature Commandos n'être au mieux qu'une série d'exploitation et au pire un petit rouage de plus dans une entreprise visant à traiter les spectateurs comme des fous pour mieux les contrôler, et par exemple faciliter leur utilisation en tant que chair à canon,assassin ou terrorise (plausible) dans la réalité.

La sympathique musique vient régulièrement rythmer des tribulations pleines de rebondissements. Tandis qu’un certain humour noir se glisse fréquemment au cœur des diverses situations proposées.

NDT : En quoi la musique est-elle "sympathique" ? Quelle thème sur quel scène ? Isabelle Arnaud ferait-elle référence à la chanson mariachi punk qui rappelle les musiques festives folkloriques mexicaines utilisées par les cartels pour sonoriser leurs vidéos postées en ligne d'exécution et de dépècement que n'importe qui faisant une recherche internet sur les faits divers du moment au Mexique retrouve invariablement ?

Un humour noir fait rire par définition, je serai curieux de savoir à quel gag certain l'autrice a fréquemment ri pour chaque situation "diverse" proposée.

Est-ce que l'on peut qualifier de critique un texte qui évoque de manière extrêmement général un épisode ou un film sur lequel on est censé donné son avis, peu importe que l'avis soit celui d'un expert ou que l'avis soit candide ?

Les amateurs de James Gunn seront ravis de voir le travail qu’il a fait sur le commando spécial que l’on s’amuse beaucoup à suivre et dont on découvre avec joie le fonctionnement disruptif de cette équipe hétéroclite.

Qu'est-ce qu'un amateur de James Gunn ? Quelqu'un qui aime son travail (ou sa personne) ? Ou quelqu'un a déjà vu l'un de ses films, l'une de ses séries ?

Si par amateur lsabelle Arnaud parle d'un fan, en quoi un fan serait ravi de voir le "travail" (quel travail ?) fait sur "le commando spécial", en fait le Creature Commando, ou le Commando M (Monstre), de mémoire, et parlons-nous de la série tout élément ou des personnages ? Gunn n'est pas le dessinateur, il n'est pas l'animateur, il n'a pas écrit la musique, il produit donc en théorie choisi en connaissance cause, il signe le scénario sauf que son scénario est clairement estampillé Chat GPT, et il est woke de chez woke, donc propagandaire, donc il ne s'agit pas de choix narratifs ou de personnages créés sans contrainte extérieure, tout le contraire de fait.

Je suis "fan" de James Gunn en le sens que j'ai aimé un certain nombre de ses films et sa série Peacekeeper, mais je suis très loin d'être ravi de son "travail", comment l'auteur ou l'autrice d'une critique pourrait de toute manière présumer que le premier lambda anonyme parce qu'il aura aimé un film pourrait être "ravi" ou éprouver la moindre "joie" à découvrir un torchon woke ultra-violent. Je veux dire, qui au juste pouvant ressembler même de loin physiquement au gros tas de cadavres pourrait se trouver "ravis" de voir des wokettes et des wokets continuer le massacre insensé au fil d'un scénario inepte à tous les points de vue, avec des intrigues filiformes contradictoires et des dialogues disjoints copiés collés.

Et si j'avais voulu imiter Isabelle Arnaud mais dans un style dépréciatif, n'aurai-je pas dit quelque chose comme :

Les amateurs de James Gunn seront déçus de voir le travail qu’il a fait sur le commando spécial que l’on s'attriste beaucoup à suivre et dont on découvre avec amertume le fonctionnement disruptif de cette équipe hétéroclite.

Ou bien j'aurais pu aussi écrire :

Les détracteurs de James Gunn seront ravis de voir le travail qu’il a fait sur le commando spécial que l’on peine beaucoup à suivre et dont on découvre avec déconfiture le fonctionnement disruptif de cette équipe hétéroclite.

Il suffit juste de prendre des phrases vagues et d'échanger les qualificatifs génériques, sans jamais préciser à quoi ils font exactement référence en terme de récits, de scènes, de ligne de dialogue.

Et cela vaut pour tout : si les couleurs illustrent la violence, quelle couleur illustre quelle violence ? Parce que le mot "couleur" ou le mot "violence" ne veulent rien dire, et même si vous précisez en remplaçant les mots qui ne veulent rien dire par des mots qui pourraient vouloir dire quelques choses, les phrases génériques d'Isabelle Arnaud tiennent encore moins debout. Démonstration :

L’animation est d’une belle facture et les couleurs choisies siéent toujours parfaitement à cette aventure violente...

L'animation 2D numérique du studio parisien Bobbypills est d'une facture fluide et les bleus, les verts, les rouges siéent toujours parfaitement aux scènes de massacres gore d'innocents et de coupables.

Et quand bien même j'ai pris la peine d'aller vérifier quel était la sorte d'animation employée pour ce dessin animé, et quel studio s'en était chargé, et d'aller chercher un qualificatif relativement approprié à sa "facture", le choix une couleur ou même une harmonie de couleur particulier ne correspondra jamais parfaitement à une "aventure" d'un grand nombre de scènes ou à une ou plusieurs scènes en particulier : parce que la couleur ne dépend pas de la scène mais d'autres éléments, aussi bien physiques, qu'émotionnels, et qu'il n'y a pas de choix plus parfait que d'autre en matière d'artistique.

Prenons le sang frais, qui peut être rouge sombre veineux (bleuté) ou rouge artériel (vif, écarlate, car oxygéné) - si dans la scène il s'agit du sang d'un zombie, il est noir ou possiblement de toute autre couleur ; et si le sang rouge est éclairé d'une lumière colorée, la couleur de la lumière s'additionne à celle du sang ; par ailleurs si le point de vue est subjectif et à travers une lunette de vision de nuit, le sang sera plus ou moins noir ou vert, ou si ce sont des lunettes infrarouge, cela dépend d'à quel vitesse il se sera refroidi à l'air libre ; et s'il y a de lumière et qu'il y a flaque, le sang reflète les alentours comme un miroir à moins qu'il ait coagulé etc.

Le sixième épisode de Creature Commandos est très bon et offre l’opportunité de découvrir le passé de l’un des personnages principaux, tout en montrant un certain nombre d’autres dans des situations imprévues. Avec son histoire toujours aussi passionnante, ses protagonistes décalés et sa réalisation ne lésinant pas sur l’hémoglobine, on passe toujours un bon moment en compagnie de ces monstres qui n’ont pas froid aux yeux.

Je crois que dans sa récente vidéo où il détaillait les sophismes qui servent à détecter les intelligences artificielles autant que les êtres humains qui cherchent à vous manipuler, Defakator avait évoqué le "non sequitur", à moins que cela soit la page wikipédia des sophisme que j'étais allé consulté pour vérifier le sens présumé des noms des sophismes : "non sequitur" en latin, qui ne s'ensuit pas, désigne une manière de manipuler les gens en leur disant une chose, puis en concluant autre chose, alors que le début du discours aurait mené à autre chose.

En gros, c'est parler de manière décousue, faire des salades de mots, utiliser la langue de bois, baratiner, ou si vous préférez, parler comme Chat GPT, qui ne fait qu'illusion que si vous reconstruisez dans votre tête une version du texte qui fait réellement sens à vos yeux, mais qui n'est pas la version que Chat GPT ou le baratineur a réellement écrit ou dit.

Et Isabelle Arnaud de conclure que l'épisode est :

Méchant et sans concession.

"Méchant" appliqué à un épisode de série télévisée, ou à sa "facture" etc. signifie "mauvais".
Nous sommes supposé comprendre que les "protagonistes" font des choses "méchantes" dans l'épisode, à savoir massacrer des innocents par exemple.

"Sans concession" à qui ou à quoi ? Mon impression est que James Gunn a au contraire concédé à la violence gratuite sans oublier les ersatz de scènes de sexe censés faire croire qu'il s'agit d'un contenu adulte digne de ce nom, tout en se vendant complètement à ses patrons woke à savoir les actionnaires majoritaires de contrôle de Warner Bros que sont Vangard et Black Rock, qui sont avec la Chine les payeurs des pots de vin Diversité Equité Inclusion attribués à tous les producteurs et scénaristes, sans oublier certains acteurs principaux d'une production poussant la propagande génocidaire raciste sexiste et transiste typique de ces productions extrêmement nuisibles aux spectateurs, peu importe que ces spectateurs soient furieux de se voir traités, insultés, harcelés sexuellement et menacés par les productions woke et leurs petits personnels et leurs trolls, ou que le spectateur se laisse convaincre qu'il est aussi mauvasses ou aussi bonnasses qu'ils le disent, dans tous les cas, le retour à la réalité sera ignoble, et potentiellement mortel à très court terme.

L'autrice supposée a déjà signé plus d'une centaine critiques du même bois.

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