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Doctor Who 2005 S01E11: L'Explosion de Cardiff (2005)

MessagePosté: Jeu 7 Avr 2016 21:02
par Greenheart
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Doctor Who 2005 S01E08-09: Boom Town
Traduction du titre original : La ville qui fait boum.

Diffusé en Angleterre le 21-28 mai 2005 sur la BBC 1 UK.
Diffusé en France le 3 décembre 2005 sur FRANCE 4 FR.
Sorti en DVD anglais le 1er août 2005 (troisième partie de la saison 1, sans les bonus).
Sorti en DVD anglais le 21 novembre 2005 (intégrale saison 1, avec les bonus).
Sorti en blu-ray anglais le 4 novembre 2013 (intégrale saison 1 à 7, avec les bonus).

De Russell T. Davies ; épisode réalisé par Joe Ahearne, sur un scénario de Stephen Moffat ; avec Christopher Eccleston, Billie Piper, John Barrowman, Annette Badland.

Pour adultes et adolescents.

Six mois après la tentative d'invasion de la Terre par les extraterrestres Slitheen. Dans un bureau de la mairie de Cardiff, un ingénieur, M. Cleaver, répète que la nouvelle centrale atomique est dangereuse – la conception pourrait entraîner la mort de millions de personnes, il supplie une élue, Margaret Blaine, d’arrêter le projet ce jour même. Margaret répond qu’évidemment elle va tout arrêter : c’est Cleaver l’expert, il ne lui laisse aucun choix, la vie humaine compte plus que tout et elle n’est pas une psychopathe. Puis Margaret demande à Cleaver si elle ne se trompe pas en pensant qu’il n’a montré les résultats de son étude qu’à elle et elle seule. Cleaver le confirme, et soulagé, tourne le dos à la femme politique, pour essuyer la transpiration qui inondait son front, en confessant à quel point sa découverte l’avait bouleversé, du fait d’une destruction possible telle que jamais les îles britanniques n’en avaient connue. Et tandis qu’il considère la maquette de la centrale atomique, Cleaver ajoute que s’il n’était pas persuadé du contraire, il aurait pensé que quelqu’un voulait faire en sorte que ce projet tourne mal, comme si quelqu’un voulait rayer de la carte la ville. Pendant ce temps, Margaret Blaine a dézippé son front comme une simple fermeture éclair – car ce n’est qu’une fermeture éclair. Et comme Cleaver se retourne pour remercier Margaret de sa sagesse, il se retrouve nez à nez avec un monstre – une extraterrestre Slitheen, dont le hurlement couvre le cri d’horreur de l’ingénieur.

Un quai de la gare de Cardiff. Mickey Smith débarque du train. Plus tard, il traverse la grand-place ensoleillée de Cardiff et va frapper à la cabine de police bleu plantée au pied de la fontaine. C’est le capitaine Jack Harkness qui lui ouvre, et qui lui demande qui il peut bien être. Vexé, Mickey demande qui le capitaine Jack peut bien être ? Jack Harkness se présente et ajoute que quoi que puisse vendre Mickey, ils ne sont pas intéressés. Excédé, Mickey répond à Jack de dégager et entre dans le TARDIS. Mickey tombe dans les bras de Rose, tandis que Jack commente que personne ne lui fait des calins, ce à quoi le Docteur réplique qu’il n’a qu’à d’abord lui offrir un verre, mais Jack répond que c’est trop de travail. Le Docteur réplique alors du tac au tac qu’il en vaudrait pourtant la peine. Rose demande alors à Mickey s’il a retrouvé son passeport, et Mickey le lui remet. Rose déclare alors qu’elle peut désormais aller n’importe tout, ce qui étonne le Docteur, qui lui a déjà dit qu’elle n’avait pas besoin d’un passeport. Ce à quoi Rose répond que c’est peut-être vrai pour la Pyramide de Verre de San Kaloon, mais s’ils se retrouvaient au Brésil ? Rose en déduit donc qu’elle est désormais paré à toute éventualité. Et Mickey en déduit que Rose va rester avec le Docteur. Après une pause, Mickey demande, l’air de faire contre mauvaise fortune bon cœur, ce qu’ils font tous à Cardiff et qui est « Jumping Jack Flash ».

Mickey s’explique : cela ne le dérange pas que Rose traîne avec Grandes Oreilles, là-haut (il indique le Docteur perché sur son échelle en train de réparer)… Comme le Docteur s’indigne, Mickey répond qu’il n’a qu’à se regarder dans un miroir. Puis il reprend sa phrase : … mais traîner avec Jack, ce type, il a l’air… Jack complète « beau garçon », mais Mickey trouve plutôt ringard. Jack se renseigne alors : est-ce que ringard c’est bien ou mal en ce début du 21ème siècle ? Mickey répond sans hésiter : c’est mal. Jack demande si « mal » veut bien dire « bien », tandis que le Docteur descend de son échelle en demandant qui trouve qu’il n’est pas beau. Rose coupe court au débat, en expliquant à Mickey qu’ils se sont seulement arrêté à Cardiff pour faire le plein : il y a en effet là une fracture temporelle qui traverse la ville, invisible mais comme une faille sismique entre les différentes dimensions… Ils ont beau avoir refermé la faille, il reste une cicatrice qui génère une énergie inoffensive pour l’espèce humaine mais parfaite pour le TARDIS : ils n’ont qu’à garer leur vaisseau pile au-dessus de la cicatrice pendant quelques jours en laissant les moteurs ouverts – ils épongent les radiations et c’est comme remplir un réservoir d’essence, et hop, ils repartent, à travers le Temps – et l’Espace !

Mickey est outré de constater que le Docteur, Jack et Rose s’entendent au point de compléter les phrases des uns des autres. Ils sortent cependant du TARDIS sur la place de Cardiff, le Docteur précisant qu’ils ont encore 24 heures à tuer, et ils peuvent aller n’importe où : Cardiff est l’endroit le plus sûr de l’Univers. Et au même instant, Mme la Maire de Cardiff, Margaret Blaine fait son discours devant la maquette de la future centrale atomique construite au cœur de la cité, qui apporteront des emplois pour tous. Comme elle descend de son estrade sous les applaudissements nourris et le cliquetis des appareils photos, Margaret s’emporte : elle avait dit, pas de photographie ! Puis elle se radoucit immédiatement : ils peuvent prendre des photos du projet mais pas d’elle. Puis elle reprend sa présentation : le château de Cardiff sera démoli pour permettre l’édification du projet Blaidd Drwg (prononcer « Blêve Drougj »), droit et fier, tel un monument dédié à l’industrie galloise. Alors oui, certains peuvent trembler à l’idée de faire tourner un réacteur nucléaire en plein centre urbain, mais Margaret assure personnellement qu’aucun mal ne sera fait à ses citoyens aussi longtemps qu’elle marchera sur cette terre. Elle porte alors un toast au Futur, ajoutant de la croire sur parole : ce futur brillera.

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Extrait : https://youtu.be/GJgGFu7wLls

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