Le Ministère du Temps S01E08: La légende du Temps (2015)

Les séries commencées de 2011 à 2020.

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Le Ministère du Temps S01E08: La légende du Temps (2015)

Messagepar Greenheart » Lun 5 Juin 2017 19:55

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El Ministerio Del Tiempo S01E08: La leyenda del tiempo (2015)
Titre original : La légende du Temps.

Diffusé en Espagne le 13 avril 2015 sur RTVE ES.
Sorti en blu-ray espagnol le 29 avril 2015 (multi-régions, espagnol seulement).
Annoncé en France et à l'international sur NETFLIX FR.

De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Rodolfo Sancho, Aura Garrido, Nacho Fresneda.

Barcelone 1940. Un cimetière par une belle journée d’automne. Amélia s’agenouille devant une pierre tombale. Madrid 2012. Maité, la compagne de Julian fait son jogging et passe devant Julian, la barbe poivre et sel, sans le remarquer. Séville 1570. L’épouse d’Alonso fait la lessive au bord de la rivière, guettée par son mari Alonso, censé avoir été exécuté.

En 2012, Maité tourne dans la rue où Julian l’attendait assis sur son banc, mais comme il la suivait du regard, un homme en costume trois pièces et nœud papillon, qui se trouve assis à côté de lui alors qu’il n’y était pas, lui fait remarquer que cette jeune femme est bien jolie. Julian rétorque qu’il d’autres bancs libres alors pourquoi l’individu aurait choisi le sien. L’homme répond en souriant énigmatiquement : « pour que vous ne soyez pas seul. C’est évident. »

Maité ralentit sa course pour s’arrêter au passage piéton gardé par un feu. Elle court sur place. L’homme au nœud papillon demande à Julian s’il connait la jeune femme. Julian dément. L’homme insiste : pourtant, vu comment Julian la regardait… Julian a alors un doute et dévisage l’homme : « Est-ce qu’on s’est déjà rencontré avant ? ». L’homme sourit toujours, un peu triste, et répond : « je ne le crois pas. » Puis d’ajouter : « à ma connaissance. »

Puis il se présente : il s’appelle Federico, et il lui tend sa main. Julian la serre et dit son nom. En face, le petit bonhomme passe au vert. Maïté se remet à courir pour traverser. En face, un garçon qui jouait au foot perd son ballon et traverse à son tour. Un crissement violent de pneu — et Julian se réveille à bout de souffle dans son appartement : il est 8 heure 13, nous somme le vendredi 2.

A Séville en 1570, l’épouse — la veuve d’Alonso se redresse et pose sa main sur son ventre. Elle est enceinte de son mari décédé. Le téléphone portable d’Alonso qui l’observait depuis les taillis, se met à biper. Il se relève et parle, mais son épouse a entendu un bruit et regarde dans sa direction. Le visage de la jeune femme est tuméfié du côté gauche, à la hauteur du menton. Elle revient à sa lessive.

Barcelone 1940. Amelia semble en état de choc. L’inscription sur la pierre tombale est à son nom : Amélia Folch, née en 1857, morte en 1885 : ton père, ton mari et ta fille se rappelleront toujours de toi. Dans son sac à main, son téléphone à elle s’est mis à biper. Amélia se relève et s’en va.

Amélia, Alonso et Julian ont été convoqués dans le bureau de leur chef Salvadore Martì : leur prochaine destination est l’année 1924, dans une résidence d’étudiants de Madrid, toujours ouvertes à ce jour. Tandis que Julian baille, Ernesto Jimenez le chef des opérations énumère les prix Nobels qui ont séjourné là-bas, sans oublier les invités prestigieux comme Marie Curie ou Albert Einstein. Irène arrive avec les documents nécessaires à la mission en s’excusant de son retard.

Le chef reprend la parole : en 1924, les étudiants de la résidence interprèteront une pièce de théâtre, la profanation de Don Juan. Le projecteur de diapositive affiche une photo d’époque et Amélia remarque qu’elle connait cette pièce. Irène précise : il parait qu’un certain Antonio Lancha a reçu une affiche que Salador Dalì a peint pour la pièce. C’est alors que Julian se réveille : en bas à droite de l’affiche de 1924, Dalì a peint une tablette Apple. Leur chef Martì confirme : Dalì était visionnaire, mais pas à ce point : ils doivent partir immédiatement.

Du coup, Alonso se lève de son fauteuil : alors qu’est-ce qu’ils attendent ? Leur chef rétorque : que lui ait fini de parler ! Martì présente alors les photos de trois des acteurs de la pièce : Salvador Dalì, Luis Buñuel et Fédérico Lorca. Julian tique : il vient de reconnaître l’homme au nœud papillon de son rêve de la nuit dernière. Le chef du Ministère du Temps conclue : Avec Picasso, Dalì, Buñuel et Lorca sont les architectes d’un nouveau siècle d’or artistique en Espagne et comme ils le savent tous, leur mission est d’empêcher que quelqu’un vienne réécrire le passé de l’Espagne et protéger leur patrimoine historique.

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https://www.rtve.es/play/videos/el-mini ... o/5534919/

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