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Tidelands aka Terres de marée, la série télévisée de 2018

MessagePosté: Mar 25 Déc 2018 17:38
par Greenheart
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Tidelands (2018)
Traduction du titre en français : Les marais.

Une saison de huit épisodes de 45 minutes environs.

Diffusé en France et à l'international depuis le 14 décembre 2018 sur Netflix FR.

De Stephen M. Irwin, Nathan Mayfield, Leigh McGrath, Tracey Robertson ; avec Charlotte Best, Marco Pigossi, Aaron Jakubenko, Mattias Inwood, Dalip Sondhi, Caroline Brazier, Elsa Pataky , Hunter Page-Lochard ...

Pour adultes et adolescents.

Un pêcheur trafiquant de drogues est assassiné, ses yeux arrachés, et sa langue coupée par une femme étrange au milieu de la nuit. Le lendemain, la jeune et jolie Cal McTeer rentre dans le village de pêcheurs voisins après avoir purgé une peine de prison : elle vient réclamer sa part d'héritage à son frère - chef des trafiquants de drogues - et à sa mère qui tient le bar local. Seulement on tente de l'assassiner, tandis que la police locale n'est vraiment pas regardante sur les meurtres en ville ou les disparitions en mer. Or, il y a toute une partie des habitants qui semblent former une communauté plus unie que les autres, dirigée par la blonde Laura Maney, qui se présente comme une reine, et garde emprisonnée dans une cave secrète, une vieille prophétesse...

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La bande annonce officielle HD : https://youtu.be/KM_vqg8S3sw

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Re: Tidelands aka Terres de marée, la série télévisée de 201

MessagePosté: Mar 25 Déc 2018 18:02
par Greenheart
Les séries de sirènes se suivent et se ressemblent, mais les australiens font un peu (à peine) mieux que les autres.
Le problème est, une fois encore, l'ignorance des crédos la Fantasy urbaine ou la volonté de faire de la Fantasy Urbaine la moins fantasyste possible.

Et du coup, que retrouvons-nous pendant 90% de l'épisode ? du soap et du polar, une violence et de la nudité à la limite du familial (j'ai bien dit limite, parce que ce n'est pas pour toute la famille).
Bref, à la moitié de la saison, je continue de m'ennuyer ferme sans être non plus à l'agonie (argh, Interstellar, nausée, vivement le retour de The Orville :nrv: ).

Pour conclure, pas un échec total mais du (parfois joli...) remplissage quand même.