Les séries de sirènes se suivent et se ressemblent, mais les australiens font un peu (à peine) mieux que les autres.
Le problème est, une fois encore, l'ignorance des crédos la Fantasy urbaine ou la volonté de faire de la Fantasy Urbaine la moins fantasyste possible.
Et du coup, que retrouvons-nous pendant 90% de l'épisode ? du soap et du polar, une violence et de la nudité à la limite du familial (j'ai bien dit limite, parce que ce n'est pas pour toute la famille).
Bref, à la moitié de la saison, je continue de m'ennuyer ferme sans être non plus à l'agonie (argh, Interstellar, nausée, vivement le retour de The Orville
).
Pour conclure, pas un échec total mais du (parfois joli...) remplissage quand même.