El Ministerio Del Tiempo S02E06: Tiempo de magia (2016)Diffusé en Espagne le 21 mars 2016 sur RTVE ES.
Sorti en blu-ray espagnol le 23 juin 2016 (multi-régions, espagnol sous-titré seulement).
Annoncé en France et à l'international sur NETFLIX FR (jamais diffusé)
Diffusé sur internet officiel gratuit
sur la page dédié de tve ici :
(espagnol sous-titré espagnol, vous pouvez copier coller au fur et à mesure le script sur Deepl.com pour la traduction automatique)
De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Hugo Silva, Aura Garrido, Nacho Fresneda.Par une nuit d’orage, dans le grenier des Folch, à la lumière des bougies et d’une lampe à pétrole, Amelia entend convoquer les Esprits au moyen d’une planche d’écriture mediumnique : une planchette sur roulettes avec un crayon dont la pointe touche une feuille
de papier placée dessous. Elle demande si les esprits l’écoute, s’ils sont là, qu’ils se manifestent. Dans son dos, une porte grince. Amélia demande qui c’est : c’est Enriqueta, la bonne qui vient lui apporter son lait qui refroidissait.
Posant la tasse, Enriqueta aperçoit la planche à Ouija et demande à Amélia si elle était en train
de parler avec les morts. Amélia confirme qu’elle essayait
de contacter l’au-delà. Enriqueta s’étonne : et Amélia n’a pas peur ? Amélia explique que non, elle essaie seulement
de savoir si l’un
de ses amis va bien car cela fait longtemps qu’elle n’a plus
de nouvelles.
Enriqueta demande s’il est possible que cet ami soit mort. Amélia ne le sait pas. Enriqueta demande comment s’appelle cet ami et Amélia répond : Julian. Amélia propose alors à Enriqueta d’essayer avec elle et lui demande
de s’asseoir en face d’elle et
de poser ses mains sur la planchette. Enriqueta est visiblement inquiète, mais obéit. Amélia demande alors aux esprits si Julian reviendra. La planchette se met à bouger et écrit quelque chose : « oui ».
Amélia retourne la feuille et demande ce que les esprits peuvent lui dire
de plus. La table se met à trembler, et ce n’est pas la faute d’Enriqueta. La planchette roule à nouveau. Quelque chose souffle les bougies, tandis que la planchette bouge toujours plus vite. Soudain tout s’arrête. Amélia retire la planchette – et sur la feuille
de papier, il est écrit « Houdini ». Enriqueta demande ce que c’est. Amélia répond qu’elle n’en a aucune idée.
Plus tard, Amélia retrouve à la caféteria du Ministère du temps Alonso, qui ne connait personne du nom d’Houdini mais ça lui semble italien, et Pacino, qui sait très bien qui est Houdini. Il a déjà recontré quelqu’un qui s’appelait comme ça, mais il ne pense pas que c’est l’homme qu’Amélia recherche, parce que c’était un voleur
de joyaux, un expert. Son vrai nom était Antonio Pecharroman. Et pourquoi l’appeler Houdini, demande Amélia. Alors Pacino prend un air mystérieux, baisse la voix et se penche en avant.
Au début du siècle, il y avait un magicien qui avait l’habitude
de s’attacher avec des chaînes et se mettait dans un bocal à poissons géant rempli d’eau et il s’en échappait. Alonso remarque qu’être enchaîné et sous l’eau sont deux
de ses pires cauchemars réunis. Mais Amélia veut savoir ce que Pacino sait
de plus sur ce magicien. Alonso en sait un peu plus mais veut savoir pourquoi Amélia veut qu’il en parle. Pour rien, prétend Amélia. Les deux téléphones portables d’Alonso et Pacino se mettent à biper : C’est Ernesto, le chef des opérations.
Madrid, 1924. Un homme se penche sur l’objectif d’une caméra vidéo connectée avec le Ministère du Temps. La caméra montre son visage à l’envers, puis ses pieds chaussés et le tapis, et enfin, quand il relève la tête, le visage
de l’homme dans un miroir cette fois avec les lunettes connectées. La reconnaissance faciale se déclenche, et l’écran affiche alors qu’il s’agit
de l’Agent Corujo matricule 65981 né illisible mort illisible, agent du Ministère du Temps. Il est deux heures trente et une.
Comme l’agent Corujo tourne la tête vers un homme moustachu en costume clair qui vient d’entrer dans le salon, souriant, un coffret à la main, divers artefacts vidéos brouillent un peu l’image. Le nouveau venu demande aux autres hommes en costumes trois pièces réunis dans le salon d’être attentifs,
de bien regarder le coffret qu’il tient. L’homme au gilet blanc, chemise bleu pâle et nœud papillon à damier veut prouver aux yeux
de tous que le coffret est parfaitement fermé. Le coffret passe alors
de mains en mains, tandis que l’homme au nœud papillon poursuit : aucun être humain ne peut voir ce qu’il y a à l’intérieur, ni lire la note que le coffret contient.
La reconnaissance faciale identifie alors l’homme au nœud papillon comme étant Joaquin Jose Javier Argamasilla, né en 1862 mort en illisible… Marquis
de Santa Cara, Père du suspect faisant l’objet
de l’enquête. Les deux hommes qui ont examiné le coffret le rendent au Marquis, qui poursuit : la note a été rédigée par leur illustre invité, don Ramon Maria del Valle-Inclan — un vieil homme à la longue barbe blanche, petites lunettes teintées rondes, assis dans une chaise et tenant une canne —, qui a eu la gentillesse
de l’écrire spécialement pour cette occasion.
Don Ramon confirme, il a bien écrit la note dans la pièce d’à côté. Alors le marquis, avec fierté, annonce qu’il est l’heure
de présenter à ses invités l’incroyable homme aux yeux
de rayons X : son propre fils, Joaquin Maria Argamasilla. Le domestique au fond
de la pièce ouvre alors la porte à côté
de laquelle il se tenait et entre Joaquin Argamasilla, effectivement identifié comme tel par la reconnaissance facile, qui salue l’assistance et commence un discours : c’est un honneur
de se trouver en leur présence et en celle
de son éminence. Il salue personnellement Santiago Ramon Y Cajal, premier prix Nobel
de Médecine en 1906, également présent dans l’assistance. Le marquis annonce alors qu’ils vont bander les yeux
de son fils, et la caméra en ligne se coupe.
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