Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

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Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Mar 2 Aoû 2022 17:32

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Star Wars Andor (2022)

Toxique woke : Le héros est un tueur de sang froid haïssable et très c.ns. Tous les mâles sont très c.ns, mais vraiment tr_s c.ns, des raclures et/ou des lavettes. Notez bien que Tous les films, séries et dessins animés récents de chez Disney / Star Wars / Marvel contiennent depuis 2010 une forte propagande woke dangereuse pour le public de n'importe quelle couleur ou sexualité ; tous contiennent des défauts d'écriture résultant d'un scénario inachevé et altéré sans tenir compte d'un univers, de personnages ou d'une intrigue cohérente ; tous sont portés par des critiques et des bandes annonces trompeuses, avec des séquences seulement utilisées dans la bande annonce.

Deux saisons dont une première saison de 12 épisodes (durée des épisodes non encore précisée).

Annoncé pour le 21 septembre 2022 repoussé du 31 août 2022 (trois premiers épisodes puis un par semaine).

De Tony Gilroy ; avec Diego Luna, Kyle Soller, Adria Arjona, Joplin Sibtain, James McArdle, Rupert Vansittart, Stellan Skarsgård, Fiona Shaw, Alex Ferns, Gary Beadle, Genevieve O'Reilly, Denise Gough.

Pour adultes.

(euh, prospective policière / film de guerre rétro-futuriste ?) Un homme marche la nuit sous la pluie sur un genre de pont brillamment illuminé dans un pays où personne ne connait les économies d’énergie et les parapluies. Au loin des gratte-ciels et des immeubles illuminés, apparemment une ville nommée Morlana One… NDT : Broutelalaine première du nom. Puis un sous-titre continue le monologue d’exposition écrit en toutes lettres même pas en caractères impériaux : « Zone corporative Preox-Morlana » suivi de l’acronyme parfaitement hermétique, BBY 5. NDT : « bye bye pour la cinquième fois de suite ? », sans doute un discret message au téléspectateur qui aura regardé quatre séries télévisées Star Wars / Marvel sur Disney Moins, pour lui rappeler que son cerveau ne supportera pas le choc de la cinquième ?

L’homme continue de marcher puis oblique vers une galerie couverte, descend dans une rue piétonne avec des escaliers, et des vitrines sphériques contenant je suppose des p.tes pour tous les goûts comme à Amsterdam. Disney n’est décidément plus ce qu’il était... Et l’homme continue de marcher pour entrer dans une espèce de galerie éclairée par les mêmes néons bleus qu’on voit partout, et un videur le passe au détecteur et précise que les règles sont pas d’armes, pas de crédit, et pas de délire, sans oublier que le salon en haut des escaliers est fermé ce soir.

L’homme continue alors de marcher dans un tunnel triangulaire pointe en haut pour lui rappeler de ne pas attraper la grosse tête, mais c’est peine perdue. Il entre alors dans une espèce de discothèque déserte où danse une danseuse holographique : elle télétravaille comme tout le monde à cause du COVID. Il hésite, puis se fait servir sans un mot au bar par une barmaid reptilienne — je savais bien qu’ils travaillaient chez Disney mais je pensais qu’ils occupaient des postes bien plus élevés. Est-ce que cet homme est télépathe ? est-ce qu’il porte le nom de sa consommation favorite écrit sur son front avec une encre que seule la barmaid peut lire ? Est-ce qu’il paye sans contact avec une puce RFID accrochée à sa barbe ? Pourquoi la barmaid n’est-elle pas elle aussi en télétravail ?

En tout cas la barmaid précise à l’homme qu’il paiera « à la fin » (de quoi ?). Si elle a besoin de le préciser, c’est que son client n’est pas un habitué, alors comment savait-elle ce qu’il voulait boire ? Est-ce qu’il n’y a qu’une seule boisson au menu et l’homme choisira le goût et le degré d’alcoolémie une fois qu’il se sera assis ? Il ne va pas s’asseoir, il porte directement le verre à sa bouche et boit. Ce que c’est que le manque d’imagination et de culture science-fictive tout de même.

Un bedonnant moustachu interpelle l’homme en parlant dans sa moustache : qu’il n’y pense même pas, elle (la barmaid) le renverrait chez lui en larmes. Il est vrai qu’après le coït, la mélancolie peut facilement frapper quand on oublie les câlins en vous mettant à la porte. Les relations tarifées sont toujours un crève-cœur, même si j’ignorais que Disney et Lucasfilm s’étendissent sur la question. Arrive de l’autre bout de la salle par un couloir avec rideau de perles (s’il pleut souvent, c’est qu’il y a des moustiques), une femme rappelant Kate Capshaw dans Indiana Jones et le temple maudit, mais avec une robe noire et or, et des cheveux noirs. Elle demande à l’homme dont nous ignorons toujours le nom — Disney doit présumer fortement de la popularité de ses daubes précédentes et de ses « stars » — s’il est venu seul, et si c’est la première fois qu’il vient dans leur établissement. Comme il avoue que c’est sa première fois, elle répond qu’il a choisi une nuit géniale parce que c’est plutôt calme ce soir : il aura la danseuse holographique pour lui tout seul, et les gadgets sont en libre service, espérons qu’il ait amené ses propres désinfectants et que ses nanobots anti variole du singe de Tatouine (il n’y a que deux planètes dans tout l’Empire) seront efficaces sinon dans une heure il ne sera plus qu’une immense pustule extrêmement contagieuse.

C’est alors que le moustachu interpelle la femme pour lui signaler que lui et son boytoy sont arrivés les premiers et que l’homme anonyme vient seulement d’arriver. La femme répond que Gani va les aider. Mais le moustachu ne veut pas de Gani. La femme lui répond de bien se conduire. Etrange cependant qu’un habitué de la maison qui vient juste de prendre la peine de prévenir le nouveau venu qu’il fallait bien se conduire, ait besoin que la patronne le remette en place : lui n’a pas peur d’être renvoyé chez lui en larmes ? La femme présente ses excuses à Lane Onyme, qui lui souffle qu’elle ferait bien de s’occuper d’eux, car c’est une ville de la Compagnie. La femme répond que ce sont seulement des gardes-sentinelles. Ce qui peut étonner, car ils n’en restent pas moins de la police privée. La femme ajoute qu’ils aiment se prendre pour des flics et que c’est irritant. Puis elle demande à Lan où ils en étaient. Peut-être que le nom du moustachu irritant est Al Zheimer ?

Lan rappelle que la femme venait de lui dire que la nuit était calme, et étrangement pour une ligne de dialogue aussi soporifique, le spectateur que je suis se souvient encore de ce qui vient juste de se dire à l’écran et n’avait donc pas besoin que le dialoguiste nous l’expose — à nouveau, parce que cela se voit depuis le début que la soirée est calme. Peut-être est-ce une métaphore de la réalité des audiences des chaînes du streaming, Disney et Prime les premiers ? La femme demande alors si Lane veut quelque chose de spécial pour ce soir, et Lan lui répond que l’un de ses amis lui a dit qu’il y avait une fille de Kenari qui travaillait ici. La femme s’étonne : Kenari ? Lan repasse en mode dialogue d’exposition, se prenant visiblement pour le wikistarwars du coin : « C’est un petit système stellaire du milieu de bordure ».

Minute : si Madame a une fille de Kenari, elle devrait le savoir, si et seulement la fille le lui a raconté. Si elle ne le sait pas, à quoi servirait-il de lui préciser une galacto-localisation extrêmement vague. Transposé pour un français d’aujourd’hui, cela donnerait une visite dans un bordel parisien où le client voudrait rencontrer une ville d’Evry ? Madame répondrait, Evry ? ignorant même s’il parle du village ou de la ville nouvelle, et Lan répondrait que c’est une ville de la banlieue parisienne. Madame répond qu’elle a entendu parler de Kenari, mais soupçonneuse elle interroge : ce n’est pas sa petite amie ou quelque chose du genre ? Il est vrai que cela pourrait être son petit ami qui aurait changé de sexe, on ne sait jamais, mais la possibilité n’effleure pas la taulière (pour rester poli), qui n’emploie apparemment pas les pronoms neutres. Tout se perd chez Disney, c’est assez incroyable.

Lane Onyme souffle alors, l’air entendu : « je n’ai pas de petite amie ». Ce qui logiquement devrait faire comprendre à la taulière qu’il est homosexuel mais étrangement, elle lui demande s’il est de Kenari ? et, serait-il nostalgique ? Ce qui m’étonne encore c’est qu’elle n’ait pas exigé de voir son passeport vaccinal : imprudentes, ne sommes-nous pas ? Puis elle se propose d’aller vérifier s’ils ont encore en stock ce qu’il lui demande ou bien si les filles de Kenari ont déjà toutes été recyclée en boisson pas cher non identifiée mais tout à fait rafraîchissante. Imprudent, ne sommes-nous pas, d’accepter le premier truc qu’on vous sert au bar sans en vérifier la composition à l’aide d’un spectromètre un peu intelligent ?

Lane Onyme — qui donnait à la taulière moins d’une minute chrono plus tôt de si bon conseil de discrétion vis-à-vis des gardes assis au bar — se met à fixer droit dans les yeux le moustachu, qui finit par lui demander s’il trouve quelque chose drôle… Et la musique d’ambiance glauque de nous sussurer à l’oreille : Jeu de con, con, con, con. Si, si, écoutez plus attentivement. Et oui, quatre fois con, car comme de bien entendu dans une série Disney / Marvel / Star Wars, le héros de service insiste et persiste : non, il ne trouve définitivement rien de drôle à fixer un gros moustachu droit dans les yeux au bar d’un bordel. Depuis quand un client d’un bordel fixe dans les yeux les autres clients ? plutôt que de mater la danseuse et où les hôtesses — ou les hôtes, ou le monstre dans la bulle d’à côté, ou le droïde multifonction de service, tous les goûts sont censées être dans la nature d’un univers qui invite le spectateur d’une chaîne Disney à fréquenter un bordel futuriste entre deux bandes annonces de remake woke de ses dessins animés à succès.

Bref, le boytoy du moustachu demande ce que Lane Onyme veut dire par définitivement pas drôle de les regarder, et Lane ne répond rien, ce qui est interprété par de la lâcheté. Apparemment les gardes ne sont pas là pour profiter des charmes des filles et ne craignent pas d’être renvoyés chez eux en larmes. Mais la taulière revient déjà : il y avait une fille de Kenari mais elle est partie il y a plusieurs mois déjà. Mais Lane peut avoir une charmante dame de Tahina si c’est les grands yeux noirs qui l’intéressent. Cher Disney, cette conversation est en train de déraper, si c’est cela qui ne nous intéresse pas.

Mais à nouveau Lane persiste et insiste lourdement en demandant à la tôlière si elle sait où est allé la fille de Kénari. Et là encore, je me demande combien de filles viennent de Kénari sur cette planète pour que ce gros lourd soit absolument persuadé qu’il n’y en ait qu’une et qu’elle a été ici. Car il était encore possible à un échange de phrases codés pendant une minute, mais plus maintenant. Et la taulière de repasser en mode interrogatoire oral : « Qu’est-ce que vous êtes, sérieusement : son petit ami, son mari ? »

...Si dans son métier elle croit encore que ses clients vous lui donner tous les détails de leur identité et qu’ils ne mentent jamais, c’est qu’elle a trop regardé les séries de Disney Moins. Lane répond alors à voix basse qu’il cherche sa sœur. La taulière hésite puis répond que qui qu’elle puisse être, elle n’est pas ici, elle a disparu : les gens vont et vienne. Et il devrait partir. Et comme la taulière se détourne, Lane la rattrape pour lui demander le nom de sa sœur à lui. La taulière le regarde avec de grands yeux : personne ici donne son vrai nom…

Et pourtant tout le monde donne sa véritable planète d’origine, c’est quand même bizarre, non ? Étant à court de dialogue, la tôlière s’en va apparemment pour de bon. Lane Onyme quitte donc le bordel pour repartir marcher sous la pluie — sans payer sa boisson, et sans pleurer à cause de la barmaid. Mais il est rattrapé par les deux gardes qui n’ont apparemment rien d’autre à faire que se tremper jusqu’aux os et ne tenaient vraiment pas tant que cela à être servis contrairement à ce qu’ils prétendaient à la scène précédente. Et la pluie martelait : jeu de con, con, con, con. Ils hurlent : « arrête-toi tout de suite… t’es en zone corporative Pré-Mor, tu le sais… » et Lane s’arrête pour répondre qu’il l’a lu comme tout le monde quand ça s’est affiché sur l’écran du téléspectateur, comme si quelqu’un dans cet univers fictionnel autant que réel aurait pensé à le mentionner à l’entrée de la ville avec un signe quelconque, franchement, quelle idée !

Et ça continuer de crier : « Les employés doivent présenter leur identification quand on le leur demande. » Ben alors, demande-la. Puis ils prétendent que Lan Onyme s’est garé à la mauvaise place et qu’ils vont confisquer son véhicule et de se vanter que Lan ne rit plus, puis le moustachu arme audiblement un genre de Taser, et Lane qui ne s’est toujours pas retourné lève les mains en l’air et déclare qu’il a trois crédits dans la poche de son manteau — et c’est sans doute pour cela qu’il est parti sans payer.

Le moustachu répond que c’est exactement la somme qui couvrira l’amende et les frais administratifs, et son boytoy de répondre que tout le monde a de la chance, ce soir. Mais Lane exige que les gardes viennent se servir car il ne veut pas de surprise. Le moustachu envoie son boytoy, c’est la mauvaise poche, Lane en profite pour frapper le boytoy et désarmer le moustachu, et quand les deux sont à terre, Lan exige que le moustachu relève le boytoy, qui apparemment était une petite chose fragile, mort sur le coup d’avoir chuter sur le pavé trop dur, et pour la première fois nous entendons prononcer le nom de quelqu'un, Varlo, manque de pot c'est le personnage qui est déjà mort et qui ne comptait pas.

Le moustachu supplie et propose d’expliquer ensemble que c’était un accident, et Lan l’abat d’une balle en pleine tête. Mieux encore que d’oublier systématiquement l’option assommer des phaseurs. Et c’est ainsi que Lane Onyme vient d’établir que son personnage est un tueur de sang froid. Disney croirait-il que ses (jeunes) spectateurs veulent voir des séries de tueurs psychopathes dans des bordels à thème la Star Wars à longueur de streaming ?

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La bande annonce officielle VF : https://youtu.be/LBml3HYcehg

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Re: Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Jeu 4 Aoû 2022 04:07

Comme toutes les autres séries Disney mais surtout Star Wars, je le sens très mal rien qu'à la vue de la bande annonce que je n'ai même pas eu le courage de regarder avec du son, ce qui m'épargne les dialogues d'exposition ressassant les épisodes précédents :

* du barbouillage numérique en veux-tu en voilà.
* des cadrages à l'ouest
* des acteurs sans charisme, dont votre vieille gloire bouffie de service, le nième recyclage du clone de Leia, vos mâles toxiques blancs à la pelle.

*
Spoiler : :
toujours cette logique d'univers covidiots ? parce que la planète Andor sert de QG de la résistance lors du retour du Jedi, résistance qui déménage constamment de planète en planète alors, Andor est devenu berceau de la résistance ? Dans la trilogie Star Wars selon Disney, la résistance "menée" par Leia faisait l'erreur énorme de s'entasser sur une seule planète, erreur réparée seulement en détruisant les règles du transport interstellaire établie depuis le premier film, parce que les Disney n'ont jamais craint de détruire une franchise à succès par leur incompétence scénaristique crasse.


Et toujours autant de Disney Bots colonisant les commentaires des chroniqueurs type Dark Horizons et bien sûr IMDB.

... C'est trop de bonheur pour mon futur guide de comment rédiger (et repérer) les fausses critiques sur le net. :mrgreen:
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Re: Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Sam 10 Sep 2022 20:10

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Bande annonce finale (du moins on l'espère) officielle HD : https://youtu.be/PboKpnin_Wg

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Re: Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Mar 20 Sep 2022 06:07

Une vidéo de plus, qui ne m'inspire pas plus. Le "créateur" de la série vient d'annoncer qu'il n'y aura pas de saison 2 avant 2024, soit-disant à cause du temps qu'il faut pour calculer les effets spéciaux.
Ce qu'il dit est impossible, beaucoup de séries demandant plus d'effets spéciaux sont sorties en quelques mois après l'annonce du lancement de leur production.

Ce qui se passe en réalité, c'est l'encombrement des boites d'effets spéciaux dû à la technique dite du "patchwork" *** edit le nom exact de la technique est le scrapbooking ***que les dirigeants de chez Disney et autres appliquent : cela consiste à exiger de toutes les productions actuelles dont ils ont le "final cut", le montage final, de tourner plusieurs versions contradictoires de toutes les scènes, qui demandent toutes à être ensuite rendues. Puis ce sont ces dirigeants de chez Disney ou leurs serviteurs eux-mêmes et non le producteur "exécutif", le réalisateur, le monteur ou le scénariste qui décident quels scènes sera dans quel épisode et lors de quelle diffusion, car ils peuvent changer d'avis même après la mise en ligne de l'épisode ou la sortie cinéma - ce qui explique aussi pourquoi il n'y a pas de sortie blu-ray envisagée dans l'immédiat pour les séries Marvel / Star Wars, qui de toutes manières sont massivement désapprouvées par le public réel = vente impossible, licence et frais de distribution physique insurmontables pour une entreprise comme Disney qui ne peut être que dans le rouge vif, et ne tient que grâce à Black Rock et Vangard principaux actionnaires pour disposer de ses liquidités.

Le scrapbooking a pour conséquence d'entraîner irrémédiablement une série ou un film médiocre, bourré de trous de scénarios, avec des acteurs qui ne savent plus ce qu'ils doivent jouer parce que strictement personne dans la production ne peut leur dire ce qui s'est passé avant, ce qui se passe pendant, ou ce qui arrive après à leur personnages. Cette tare est aggravée par une autre technique, le fan baiting (hameçonnage des fans) qui consiste à multiplier les provocations vis à vis des fans : mépris affiché pour le roman, la série ou le film original, l'univers original adapté, propagande woke, révisionnisme historique (type le récent Woman King), racisme et pure insulte aux spectateurs cœur de cible. L'idée du fanbaiting est de provoquer des réactions négatives sur Internet qui permet ensuite aux dirigeants de chez Disney de donner des consignes aux acteurs et producteurs de la série ou du film d'occuper les médias serviles pour se plaindre de combien les "fans" sont racistes, sexistes, trollesques etc. Bien sûr, le fanbaiting est seulement du trolling commis par Disney, Amazon, Apple etc. abusant de l'impunité que leurs procurent les autorités actuelles.

Disney et compagnie peuvent aussi compter sur les médias désormais désignés par l'adjectif anglais "shill" qui date des années 1900 et désigne des faux spectateurs chargés de prétendre que le spectacle est bon, et de s'enthousiasmer spectaculairement afin de faire croire au reste du public que s'il trouve ça nul, c'est seulement parce que le reste du public ne sait pas ce qui est bon, est raciste etc. etc. Alors qu'en réalité, l'enthousiaste est payé ou pressurisé par le producteur du spectacle, et le spectacle est archi-nul à tous les points de vue.

Ajoutez à ces jeux de manipulation le fait que les titres des bons films sont désormais systématiquement plagiés, ou que des titres typique d'un autre genre de film, par exemple la Science-fiction ou le Space opéra, sont utilisés pour vendre des films d'un niveau très inférieur ou qui n'ont rien à voir avec le genre, et que Disney refait horriblement des dessins animés, films ou séries merveilleux des années 1930 à plus récents, qui gâchent les films ou série originaux vis à vis des nouvelles générations : jamais les générations Y et Z qui zappent tout en textant n'éprouveront le moindre intérêt à découvrir la version noir et blanc ou 1930-1960 avant de tomber sur le remake atroce - et avec la stratégie de réduire l'accès à ces anciens films via la censure (interdiction aux enfants, accusations de racisme etc.) ou réduction de l'édition blu-ray dvd.



https://youtu.be/SrFGN5x4M6A

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Re: Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Jeu 22 Sep 2022 13:18

Et c'est encore une collection de clichés copiés collés par des gens qui ne savent pas ce que c'est qu'un space opera et qui semblent n'avoir jamais vu La Guerre des étoiles, les films originaux. Et bien sûr incapable de raconter une histoire sans flash-back. On dirait que c'est toujours la même personne qui écrit toutes les séries et les films Disney Star Wars Marvel et qu'elle ne retient que le pire de ce qui s'est fait, qu'elle va répéter à l'infini.

Dire que Disney se masturbe à dépenser des millions pour tourner des scénarios arborescents et faire retourner et truquer les mêmes scènes plusieurs fois avec des fins différentes, cela ne se voit vraiment pas à l'écran : c'est linéaire de chez linéaire et si pauvre en idée que vous n'attendez absolument rien non seulement de la scène en cours, mais de toutes les autres scènes.

A ce stade je ne peux que conseiller de ne plus regarder un seul produit Disney sorti après 2010 et d'annuler tous vos abonnements streaming pour vous concentrer sur votre bibliothèque et ludothèque analogique.
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Re: Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Ven 23 Sep 2022 11:04

C'est wokissime : tous les personnages mâles sont a) des assassins de sang-froid, tueurs, des loseurs b) des falots, lavettes, ou des soumis. Les femmes sont présentées comme grandes, autoritaires, c'est votre modèle de la garce woke présentées comme héroïques et brillantes alors que leurs décisions sont débiles.

La série est tellement fauchée que la Madame du bordel ne change jamais de robe alors que plusieurs jours se sont écoulés et qu'elle fait une visite au commissariat, pas la même ambiance.

Les épisodes durent maximum 25-30 minutes, tous les plans sont inutilement rallongés alors qui ne se passe rien. La première scène spatiale arrive brièvement à la 20ème minute du deuxième épisode.

Toute l'intrigue des deux épisodes reposent sur le fait que le héros fugitif et sa sœur n'arrêtent pas de répéter qu'ils viennent de Kenari alors que comme la Madame et sa mère, dans ce genre de situation non seulement vous changez de nom mais vous évitez de laisser votre ancienne adresse partout.

Les "ennemis" du héros sont en dessous de tout, ce qui tombe bien parce que le héros est en-dessous tout. Tout le monde joue un seul degré de constipation. Un tiers de l'épisode est un flash-back découpé en petites lamelles de l'enfance du héros racontant un crash sur sa planète natale où ils vivent étrangement tous blancs comme des tribus amazoniennes dans une forêt vierge, en beaucoup plus couvert parce que Disney ne montre ni fesses ni seins nus et encore moins étuis pelviens.

La presque totalité des dialogues et des scènes, très médiocre, pourraient avoir lieu dans n'importe quelle série SYFY. Il y a vraiment très peu de scènes si on recollent les découpages (trois scènes dans le premier épisode le plus long), très peu d'intrigues et elles sont très courtes (un policier est chargé de retrouver le héros assassin à partir de sa planète d'origine Kenari). Et ce sont des scènes copiées des les premiers films starwars (le héros a des dettes, la faune locale le relance ; il veut embarquer pour une destination, on veut lui faire payer un tarif exorbitant plus le pot de vin etc.).

Les deux premiers épisodes de Star Wars Andor sont d'ailleurs très inférieurs en action, acteurs charismatiques et intrigues à n'importe laquelle des déjà très génériques et daubesques séries SYFY.

Les jeux de cons déjà très présents sur les deux épisodes s'accumulent : on vous met en joue à dix ou quinze mètres, on vous dit de ne pas bouger, qu'est-ce que vous faites, vous vous élancez droit sur le militaire qui vous tient en joue parce que votre copine saigne un peu du cuir chevelu : elle est vivante et saigne juste un peu du cuir chevelu, pratiquement déjà libre, les policiers s'en vont.

On dirait une série covid vu la succession de scènes où tout le monde se tient à distance et dialogues sporadiquement. Le bordel du début est vide parce que cela permet de ne pas avoir à embaucher de figurants et d'éviter de montrer des prostitué(e)s clairement à l'écran et leurs clients.

Enfin, c'est très barbant et cela rappelle la série Entreprise qui prétendait faire du space opera en ne montrant rien de spatial et presque toujours des dialogues de "héros" en gris sur fond gris.

Star Wars est censé être une série d'aventure space opera (de fantasy, la Force n'a rien de scientifique) et avoir pour héros un tueur de sang froid et pour seule scène retenant l'attention du spectateur le double meurtre qu'il commet n'a a) rien d'original. Même quand Han Solo abat un chasseur de prime en tirant le premier, cela reste de la légitime défense : le chasseur de prime est armé, il veut le kidnapper et le remettre à un tueur de masse psychopathe chapeautant le crime organisé de la planète. Dans Andor, le héros

C'est encore une série où pour connaître le nom des personnages vous êtes obligé de faire pause et d'afficher les informations sur les acteurs ou bien la page IMDB : aucun personnage n'est présenté clairement, tous se comportent strictement selon le canon woke, ou un cliché très mince que l'acteur est censé incarné, et comme beaucoup se ressemblent, le fait qu'ils n'aient strictement qu'une seule tenue ne suffit pas à nous dire son nom.

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Re: Star Wars Andor, la série télévisée de 2022

Messagepar Greenheart » Mar 15 Nov 2022 11:21

Or donc, voilà que la série Andor que les abonnés supposés payants de Disney Moins n'ont apparemment pas voulu voir, va être immédiatement diffusée sur diverses chaînes gratuites du groupe Disney, dans l'espoir d'ajouter mathématiquement de l'audience avec la complicité des instituts de sondage : est-ce que ceux-là décompteront aussi les minutes visionnées par les spectateurs de ces chaînes plus traditionnelles ?

Je ne suis pas certain qu'en étendant la tâche d'huile, Disney sauvera sa franchise Star Wars du naufrage pur et simple, facile à prévoir quand on prétend vendre du space opera de l'âge d'or familial et que le client découvre qu'il paye pour huit épisodes de jouer la montre débile woke pour adultes.
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