Doctor Who : The Star Beast, l'épisode spécial de 2023

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Doctor Who : The Star Beast, l'épisode spécial de 2023

Messagepar Greenheart » Ven 17 Nov 2023 06:41

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Doctor Who: The Star Beast (2023)

Toxique : cet épisode inclue au moins une apologie du génocide par l'héroïne et confond autorité et harcèlement grave ou mortel, harcèlement que cet épisode en conséquence enseigne.

Ne regardez pas cet épisode spécial ou les suivants si vous avez aimé les premières saisons de 2005, surtout si vous aviez décroché après le départ de Tennant ou de Matt Smith : comme Indiana Jones 5 vous gâchera le plaisir de revoir n’importe quel film Indiana Jones antérieur, ou les Star Wars selon Disney vous gâcheront le plaisir de revoir la trilogie originale, ces épisodes très « spéciaux » en effet pourraient vous révulser trè au-delà de leur durée de présentation.

Noter que cet épisode spécial et les deux suivants sont censés introduire la première saison de 2024 d'un nouveau reboot de la série Doctor Who.

Annoncé en Angleterre le 25 novembre 2023 sur BBC 1 UK.

De Rachel Talalay, sur un scénario de Russell T Davies, Pat Mills et Dave Gibbons, d'après la série télévisée Doctor Who 1963 de Sydney Newman, rebootée en 2005 par Russell T. Davis; avec David Tennant, Catherine Tate, Neil Patrick Harris.

(presse, science fantasy, wokissime toxique) Le Docteur croise Donna Noble, qui le reconnait, alors qu'elle était censée avoir tout oublié de lui (et qu'il était censé s'être réincarné...).

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Teaser officiel BBC : https://youtu.be/WDi_OQxVqMY

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La bande-annonce officielle des trois épisodes spéciaux : https://youtu.be/tEkC6InjWQ8

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Re: Doctor Who : The Star Beast, l'épisode spécial de 2023

Messagepar Greenheart » Dim 26 Nov 2023 11:35

Le coup de grâce aux reboots de la série Doctor Who à partir de 2005 en ce qui me concerne.

Si l’on fait l’effort de filtrer le toxique et le woke, c’est du cliché, resaucée de quelques anciens épisodes de l’époque où Tennant était le Docteur et faisait équipe avec la pétulante Dona Noble, qu’il lobotamisa au final parce que le créateur producteur scénariste de la série ne savait pas alors comment terminer décemment leur arc. Maintenant, il est objectivement impossible de ne pas relever les éléments odieux du scénario, que les critiques anglais officiels s’efforcent bien sûr à ce jour de cacher ou positiver.

*

"Ne faites pas de moi un problème..."

Cette réplique applique les manipulations psychopathes suivantes, typiques des harcèlements graves (mènent à l'hôpital, la dépression, la folie, conduites ordalesques, violences en cascades etc.) et extrêmes (mènent à la morgue et aux massacres de masse) en entreprise et en famille :

*accusation = attaque à la personne,
* missile guidé et coup bas,
* inversion des rôles du bourreau et de la victime,
* schizophrénie car réécriture de la réalité
* abus de pouvoir, jeu de pouvoir
* infantilisation

Comprenez "Ne faites pas de moi un problème..." dans cet épisode, faites mon boulot à ma place car je suis incompétente à ce poste et je l'occupe seulement à fin de propagande, une parfaite illustration de cette colonisation des postes de pouvoir et de scénaristes / Réalisteurs par les wokets et wokettes de la réalité. La blonde prétentieuse en chaise roulante qui ose cette réplique vicieuse et l'enseigne au passage à tous les spectateurs qui voudraient manipuler leur monde dans la réalité est bien sûr la wokette qui commande la force militaire censée protéger des invasions extraterrestres, essentiellement constituée de grands jeunes types musclés apparemment débiles sans aucun chefs ou stratège ni même de scientifiques et les premiers à se faire posséder par l'envahisseur bien entendu).

Le scénariste croyait-il prouver l'autorité du personnage femelle handicapé (et blonde, le peroxyde et toutes les teintures sont toxiques pour le système nerveux entre autres) ? ou a-t-il délibérément inséré cette réplique pour faciliter le harcèlement dans la vie réelle par les spectateurs mal intentionnés, en particulier ceux et celles qui se font passer pour des victimes ? ce qui est typique des wokes et des criminels de droits communs comme de guerre et des politiciens corrompus, revoyez vos images d'archives.

La tradition de ce genre de personnage était déjà bien établi depuis de nombreuses saisons, et annonçaient les prétendus femmes fortes aka autoritaires incompétentes, qui ont complètement remplacé les vrais héroïnes intelligences et compétentes : il ne faudrait pas non plus que les wokeries se mettent à enseigner aux femmes comme aux hommes des modèles d'autorité efficaces dans la réalité, parce que sinon les spectateurs et les spectatrices pourraient bien remplacer les pantins corrompus et pervers qui occupent désormais majoritairement ce genre de poste en Occident.

C'est bien pire que ce que je pensais : loin de corriger le tir pour sauver sa série, Russel T. Davis cumule ses coches ESG en massacrant au passage ses propres saisons, volant jusqu'au nom de ses héroïnes plus débrouillardes (Rose) pour le coller sur une wokette qui brille d'abord par son absente de personnalité et d'utilité.

De manière spectaculairement destructrice pour tout le reboot de 2005, il se trouve que Dona Noble ne risquait absolument pas la mort si elle se rappelait de quoi que ce soit. Cela prouve que T. Davies se fichait complètement des personnages, du scénario, de l'univers de Doctor Who la première fois que Dona Noble fut bannie par amnésie de la série, mais qu'il s'en fiche encore plus aujourd'hui quand il s'agit de faire revenir le personnage pour gagner des clics et surtout des coches et pots-de-vins woke / ESG.

La totalité des personnages sont spectaculairement c...s et incultes : une fusée va s'écraser sur Londres, ils restent là à regarder alors qu'il s'agit d'un accident de type Seveso ou infiniment pire, type bombardement atomique. Plus tard, la fille de Dona Noble et un jeune voisin trouve une capsule de secours du même vaisseau abandonnée ouverte, sans prévenir immédiatement la police ni s'inquiéter d'une contamination apocalyptique de la zone, voire de la planète : aucun n'a jamais entendu parlé de la Variété Andromède ou la Nuit des Morts Vivants ou d'Alien, personne n'a jamais entendu parlé de la contamination à la Peste Noire de l'Europe y compris historique de Londres, ni des moustiques transmettant des maladies débilitantes à vie, ou même

L'épisode n'est qu'un véhicule propagandaire woke où une femme obèse qui a passé l'âge de la retraite elle-même se permet d'humilier le Docteur qui ne devrait pas porter de costume étriqué à son âge, l'acteur n'étant revenu avec le costume de son personnage que parce que le docteur suivant recruté par pur wokisme n'avait aucune chance de faire de l'audience.

Il y a de nombreuses scènes de "joue la montre" où les personnages répètent ce que nous savons déjà, et les femmes à l'écran redoublent de misandrie -- ce sont littéralement des mères castratrices présentées comme des héroïnes positives -- tout en démontrant le fait qu'elles ne sont que des harceleuses brassant du vent : si vous tenez à passer je ne sais quel test de dialogue où les personnages femelles sont censés avoir d'autres sujets de conversation que les mâles, évitez les faire jouer les victimes des mâles, déprécier des mâles et papoter inutilement - ou encore faire des compliments à une jeune fille sur sa beauté alors qu'elle est maquillée comme un camion volé ou une p.te d'instagram et n'a encore rien prouvé de son intelligence et pertinence supposée, et je suis à peu près certain que les actrices qui incarnent ces wokettes dans la vraie vie ont certainement plus de conversation et possiblement plus de respect pour l'humanité.

Il y a une réplique ignoble dans les premières quinze minutes où Dona Noble est censé démontrer son souci de protéger sa fille contre de supposés harceleurs mâles de l'école : sauf que cela n'a rien de positif, elle lui promet de détruire la terre entière et ses habitants sous prétexte qu'un voisin se serait moqué de la donzelle, qui évidemment n'aurait aucun amour-propre ni aucun répondant et ne serait qu'une victime, comme toutes les wokettes.

Aka apologie du génocide planétaire, mais rassurez-vous, Dona Noble n'entendrait jamais pas venger sa fille palestienne des massacres istraëliens : le génocide et les crimes de guerres, c'est seulement une bonne chose s'ils servent les objectifs de dépopulation et de totalitarisme planétaire des ultrariches, sous tous les prétextes possibles et imaginables.

Alors peu importe l'agitation sempiternelle en lieu et place d'un scénario digne de ce nom, les jolies couleurs et autres néons qui s'efforcent de faire passer Londres pour Blade-Runner et Doctor Who pour un film Star Wars de la première heure : il s'agit d'une immonde wokerie de plus, et exactement comme l'affirmait un youtubeur authentiquement fan de Science-fiction avant la diffusion de l'épisode, il n'y a rien à attendre des nouveaux épisodes, et encore moins du retour d'un ancien docteur pour faciliter l'arrivée d'un woket de plus qu'une bande de wokette passera une saison entière à victimiser et harceler.

***
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