C'est une vieille tradition pour les distributeurs de faire faillite (ou brûler leurs entrepôts pour toucher le fric des assurances) et de ruiner dans la foulée tous les petits éditeurs.
Diamond a le quasi monopole de la distribution des bandes dessinées américaines, donc de qui dépendaient également toutes les librairies spécialisées déjà en voie de disparition.
Clownfish TV : The Comic Book Industry BROKEN by Diamond Bankruptcy?! : https://youtu.be/L7xwfTaz064
L'industrie de la bande-dessinée américaine brisée par la banqueroute de Diamond ?!
Cette société vient de se placer sous la loi de protection américaine quant à la faillite, c'est-à-dire que les responsables de la faillite obligent comme en France leur débiteur à payer tandis qu'ils continueront leur carrières donc de provoquer des faillites et détruire des marchés. Cette faillite a donc toutes les chances d'entraîner une cascade de faillites et les fermetures de distributeurs et d'éditeurs de bande-dessinée américaine, au point de poser la question de savoir si cette bande-dessinée existera encore l'année prochaine.
La réponse est évidemment que les bandes-dessinées à venir seront générées par intelligence artificielle, sachant que leur scénario et possiblement une partie de leurs dessins l'étaient déjà depuis au moins 2023, le niveau d'écriture catastrophique ne peut que s'expliquer par cela.
La vidéo de Clownfish inclue la liste des débiteurs principaux de Diamond et combien Diamond doit à ces débiteurs aka sur quelle somme chaque débiteur va devoir s'asseoir une fois que les débiteurs les plus importants se seront servis sur ce qu'aura rapporté la vente rapide à prix d'ami des avoirs de Diamond.
La source Bleeding Cool.
La même info avec l'accent canadien par un libraire spécialisé canadien français : https://youtu.be/vdgwky6UAYo
En anglais le commentaire à chaud (blasé, très mal traduit et/ou doublé automatiquement) de trois libraires spécialisés anglo-saxons : https://youtu.be/a7R_n2qw418
La réaction en français dans le texte de Radio Comics : https://youtu.be/gYIbkWKIwk8
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Durant la "crise du COVID" Diamond s'était déjà distingué en refusant de distribuer les bandes dessinées, donc en plantant tous les éditeurs et toutes les librairies et arrêtant les séries à une période où les confinés avait justement un peu de temps pour lire.
Mais Diamond était déjà bien dans le pétrin parce que toutes les bandes dessinées américaines publiées pendant un an rapportaient moins qu'un seul titre de manga de l'époque (Demonslayer), propagande woke et insultes au lecteur oblige.
Le travail de destruction scénaristique aura été accéléré au vu et au su de tous par le réseau Whisper (chuchoteur) qui infiltré s'est révélé une pépinière de dessinatrices et scénaristes wokissimes organisant via un salon privé de discussion des campagnes de calomnies des dessinateurs et scénaristes qui par leur talent faisaient vendre leur titre, obtenant qu'ils soient virés afin que l'une d'elles soit embauché à la place. Immédiatement après, le niveau d'écriture de la bande dessinée s'effondrait, et la propagande et attaques personnelles montaient en flèche.
Le système, comme pour la production de film et de série, n'aurait pas tenu longtemps si dans le même temps les réseaux sociaux et la presse officielle, en particulier les sociétés qui rachètent ou sabotent l'audience des blogs de fans populaires n'avaient pas été converti en des épandeurs de fausses critiques, menant des campagnes pour détruire la réputation des bandes-dessinées d'un niveau d'écriture encore bon, ou faisant en sorte que plus personne n'en entende parler, tandis que dans le même temps étaient portées aux nues des bandes dessinées qui ne valaient ni l'argent ni le temps, voire qui provoquaient à la haine et cultivaient leur racisme / sexisme / haine de la mère hétéro occidentale qui fait des enfants, le tout généré par des gens qui se payent des bébés en forçant des ukrainiennes ou leur triste équivalent à les porter et les abandonner.
De fait, cela fait des années que seuls les réimpressions de bandes-dessinées américaines à succès d'antan se vendent et pratiquement plus les nouveautés.