Ghostbusters, le film de 2016

Les films sortis de 2001 à 2019.

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Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Dim 27 Déc 2015 22:41

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Ghostbusters (2016)
Traduction du titre original : Bousilleurs de fantômes.
Titre français: SOS Fantômes

A ne pas confondre avec le film de 1984, S.O.S Fantôme.

Noter que ce film existe au moins en deux versions : original cinéma de juillet 2016 et longue blu-ray d'octobre 2016.

Sortie annoncée aux USA le 15 juillet 2016.
Sorti en Angleterre le 11 juillet 2016, avancé du 15 juillet 2016.
Sorti en France le 10 août 2016, repoussé du 20 juillet 2016.
Blu-ray américain extended edition 3D annoncé pour le 11 octobre 2016

De Paul Feig, sur un scénario de Katie Dippold, d'après le film de ; avec Kristen Wiig, Melissa McCarthy, Kate McKinnon, Leslie Jones, Cecily Strong, Elizabeth Perkins, Chris Hemsworth, Neil Casey, Andy García, Michael Kenneth Williams, Pat Kiernan, Charles Dance.

Pour adultes et adolescents.

New-York, la visite guidée du manoir Aldridge, la seule demeure du 19ème siècle de la ville à avoir été préservée autant de l’extérieur que de l’intérieur ; à l’époque de sa construction, c’était l’une des maisons les plus élégantes, équipée de tout ce qui était le plus luxueux, y compris un bidet pour le visage, et une barrière anti-irlandaise. Par une fenêtre donnant sur le salon, on peut imaginer Sir Aldridge recevoir ses invités. Il est dit que c’est dans cette pièce même que P.T. Barnum eut pour la première fois l’idée de réduire à l’esclavage des éléphants.

Mais le guide, Garrett, raconte également quelque chose d’un peu effrayant au sujet de la maison Aldridge : le matin du 25 octobre 1894, Sir Aldridge se réveilla, furieux, car son petit-déjeuner n’avait pas été préparé. Alors il appela ses domestiques, mais aucun d’entre eux ne répondit. Pourquoi ? Parce que durant la nuit, l’un après l’autre, ils avaient été poignardés dans leur sommeil… Il fut découvert plus tard qu’ils avaient été assassinés par la fille aînée de Sir Aldridge – Gertrude. Sir Aldridge écrivit dans son journal qu’il savait que Dieu ne faisait pas d’erreur, mais qu’il croyait que ce dernier devait être saoul quand il avait construit la personnalité de Gertrude… Pour éviter une humiliation publique, plutôt que de remettre sa fille à la police, il l’enferma dans une cave, gardée par une lourde porte, et la nourrit par un petit passe-plat… Des années plus tard, quand le nouveau propriétaire emménagea, ils déterrèrent les restes de Gertrude. Mais après avoir entendu de manière répétée d’étranges bruits, la porte fut refermée et scellée : personne ne l’a plus ouverte depuis. Soudain, un chandelier dégringole du meuble d’à côté la porte scellée. Garrett le guide invite alors les visiteurs à le suivre, en restant à l’écart de la porte. Les visiteurs enjambent alors le chandelier renversé sur le tapis sans remarquer l’étrange lueur bleuâtre ou les craquements électriques provenant d’une espèce de valise rangée sous le meuble.

Le soir venu, Garrett ramasse et replace le chandelier, non sans avoir vérifier avec la petite télécommande qu’il gardait dans sa poche, que le mécanisme pour le faire tomber de nouveau fonctionnait toujours. Comme le jeune homme va pour s’en aller, il est arrêté par le crissement de la porte de la cave – qui se déverrouille toute seule et dont la poignée tourne. Soudain une voix de femme hurle et des coups sont donnés contre la porte… Garrett prend immédiatement la fuite, mais la poignée en métal de la porte d’entrée est soudain chauffée au rouge. Le jeune homme est alors soulevé du sol et jeté contre un coin du plafond, pour retomber en brisant une tablette et un portrait.

Garrett veut après quoi sortir de la maison en brisant une fenêtre à coup de chaise, mais la chaise s’arrête en vol et lui revient à la tête. Garrett repart en direction opposée dans le couloir, et comme la porte de la cave s’ouvre, il s’engouffre par le passage et descend l’escalier de bois, ne réalisant son erreur qu’au moment où le sol lézardé de la cave s’illumine d’une lueur verte. Puis un liquide collant vert se met à sourdre du sol et dégouliner sur la rampe de l’escalier, et le jeune homme tente en hurlant de regagner la porte. L’escalier s’effondre sous ses pas et il se retrouve pendu par les mains à la dernière marche de pierre…

Selon les calculs que Erin Gilbert a étalé sur le tableau blanc de son amphithéâtre, elle sera bientôt capable de combiner la théorie quantique avec celle de la relativité. Mais Gilbert a beau s’adresser à des étudiants, l’amphithéâtre est complètement vide : elle n’était qu’en train de répéter. Puis elle tente de détendre son corps en remuant ses bras et ses fesses et en faisant du bruit avec sa bouche, pour répéter ensuite « Grande salle » (Big Hall) plusieurs fois en guise d’exercice de prononciation. Elle n’a pas remarqué qu’un homme âgé vient de la rejoindre sur l’estrade (ah, ah, ah !). Celui-ci a en effet un besoin urgent de lui parler à propos de quelque chose qu’elle a écrit. Comme elle lui demande de quelle publication il parle, l’homme répond qu’il parle de son livre. Gilbert fait mine de s’étonner : elle ne sait pas de quel livre il veut parler, et de toute manière sa classe arrivera d’ici quelques minutes. L’homme lui met alors sous le nez un gros volume intitulé « Les Fantômes de notre passé, au sens littéral autant qu’au sens figuré : étude du Paranormal ».

Gilbert répond qu’aucun scientifique qui se respecte ne croit au Paranormal, elle peut en assurer l’homme : il doit la confondre avec une autre Gilbert. Le doyen insiste et lui présente la quatrième de couverture – car la femme sur la photo ressemble beaucoup à Gilbert. Gilbert finit par admettre que c’est bien elle sur la photo, mais prétend que le livre était seulement un gag entre copines, qui date de bien longtemps. L’homme insiste à nouveau : un gag de 460 pages dont la première phrase est « ceci n’est pas une plaisanterie » ?

Gilbert fait face au vieil homme et lui demande ce qu’il veut. Celui-ci se présente comme Ed Mulgrave, et l’historien du manoir Aldridge – et il pense que ce manoir est hanté. Si seulement elle voulait bien y jeter un coup d’œil ; il aurait bien essayé la police, mais on le prendrait pour un fou. Gilbert répond qu’elle est désolé mais le livre que Mulgrave tient est du grand n’importe quoi. Elle s’étonne d’ailleurs que Mulgrave en détienne encore un exemplaire car elle croyait avoir brûlé les deux seuls édités. Mulgrave rétorque que le livre est en vente sur Amazon à la fois en version papier et en version électronique et également en version audio, mais il sait lire...

Gilbert sentant que son poste est en danger, elle va visiter le laboratoire de son ancienne amie, Abigail Yates, la prenant d’abord pour son livreur de pizza (ah, ah, ah). Yates demande à ce que le livreur de pizza la raccompagne, Gilbert refuse et s’indigne : comment Yates a pu mettre en vente le livre sur Amazon sans son accord (je me le demande aussi parce que c’est impossible : si un livre a deux auteurs, Amazon réclame la preuve que les deux auteurs sont d’accords avant toute mise en vente).

Puis Gilbert se fait draguer par une blonde bricoleuse, Holztman. Yates explique alors qu’ils construisent ensemble des applications pratiques des théories de leur livre : un rayon tracteur inverse, un détecteur électronique de voix… Comme Gilbert est dubitative, Yates entend lui faire entendre un enregistrement. Comme Yates demande à Gilbert de prêter attention à ce qu’elle va entendre, Yates émet un pet sonore (ah, ah, ah). Il n’y a rien sur la bande – et Yates et Holztman sont très fières de leur gag. Gilbert déclare alors sans aucune raison qu’elle a été contactée par Ed Mulgrave pour inspecter le manoir Aldridge, et aussitôt Yates et Holztman se précipitent pour procéder à l’inspection, déclarant qu’elles ne veulent pas que Gilbert les accompagnent. Gilbert, qui ne voulait plus entendre parler de fantômes depuis le début du film, les accompagne immédiatement jusqu’au manoir Aldridge.

Devant le manoir, un jeune homme interpelle les trois femmes : le manoir est fermé pour les visites. Gilbert déclare que c’est Ed Mulgrave qui leur a demandé de venir (faux, il a demandé à Gilbert de venir), et le jeune homme objecte que Mulgrave est mort quinze ans auparavant. Immédiatement, Yates et Holtzman en déduise que Mulgrave est un fantôme et crient leur enthousiasme. Arrive Ed Mulgrave, et Gilbert demande au jeune homme qui est alors le vieil homme. Le jeune homme répond que c’est le fils d’Ed Mulgrave, Ed Mulgrave Junior (ah, ah, ah – comme si ce n’était pas évident que Gilbert parlait du Ed Mulgrave encore en vie le matin-même).

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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Dim 13 Mar 2016 20:42



La bande annonce officielle HD : https://youtu.be/Egs6RfGenvg
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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Mer 18 Mai 2016 21:16



Seconde bande annonce : https://youtu.be/gMfUjDnpfRY

***

Apparemment le distributeur est incapable de répondre à la question de savoir si c'est un remake, un reboot, un univers partagé etc.

Personnellement, je crois que c'est un remix, comme la Guerre des étoiles 7 : ils ont remplacé les héros du premier films par les quatre femmes comiques et pompé l'intrigue complète, jusqu'au combat final au sommet du gratte-ciel, en brodant simplement autour de chaque fantôme capturé. En clair, une escroquerie de plus.
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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Dim 10 Juil 2016 19:19

Et c'est bien une daube. :pleure:

La critique de denofgeek (site qui ment régulièrement sur la qualité des films et épisodes pour ne pas risquer de froisser les studios - du genre à prétendre que des épisodes de Doctor Who sont géniaux tandis que leur créateur lui-même dit après qu'ils sont archi-nuls) attribue trois étoiles sur cinq, mais le détail de la critique confirme tout ce qui était à craindre.
Le film est même comparé à The Amazing Spiderman, un autre remake inutile et scénaristiquement indigent.

http://www.denofgeek.com/us/movies/ghos ... ers-review

Il s'agit bien d'un remix sexiste (aucun équivalent mâle de Sigourney Weather, les personnages masculins d'origine sont remplacés par des filles de Saturday Night Live (dont au moins une est une actrice géniale) dont les personnages n'ont pas le niveau d'écriture des originaux mais sont des universitaires plus moins ratés comme les personnages masculins d'origine).

Ils ont retourné les mêmes scènes avec les filles en changeant quelques détails et en ajoutant des improvisations qui semblent tomber à plat, s'il faut en croire la critique de denofgeek.
Et encore une fois, le studio s'est cru tiré d'affaire en triplant la dose d'effets spéciaux. Quelque chose me dit que le critique n'a pas dû rigoler tant que ça à la projection.
Et ils ont cru qu'ils effaceraient avec ça le souvenir du film original. :roll:

Un scénariste digne de ce nom aurait fait une vraie suite à Ghostbusters 1/2 avec des héroïnes dont le parcours n'avait absolument rien à voir avec les personnages originaux, avec des nouveaux méchants, et avec des vrais gags.

Enfin, après vérification et sauf prénoms masculins portés par des femmes sans doute pour affirmer leur féminité, cette version censée être féministe est produite par onze hommes et seulement deux femmes.
Et bien sûr le réalisateur-co-scénariste est un homme.
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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Mar 12 Juil 2016 09:09

Gros mais intéressant débat dans les commentaires de la critique du site polygon.

http://www.polygon.com/2016/7/10/121393 ... ers-review

La critique de Polygon est positive, ce qui m'a étonné vu que les critiques de films étaient d'habitude plus critique.
Puis en lisant avec attention, j'ai retrouvé en filigrane tous les points qui posaient gravement problème, enrobé du blabla flatteur habituel qui aurait pu être servi pour n'importe quel film bon ou mauvais.

Tout se passe comme si quelqu'un mettait au pas tous les critiques des sites un peu professionnel d'Internet... j'aimerai bien qu'un jour quelqu'un reproduise les menaces plus ou moins voilées qui sont faites à ces gens pour qu'ils soient forcés de dire le contraire de la réalité et se transformer en joyeux vendeurs de m...rde.

Par exemple :

There are slight pacing issues with the movie, which leads to moments of brief boredom, and that comes as a result of [url]trying to turn the comedy into an action film[/url]. The actual [url]ghost-busting scenes[/url] can be feel pretty [url]tedious[/url],


Je traduis seulement les mots soulignés et j'enlève les tentatives de masquer ses propres critiques par le rédacteur:

"Il y a... des problèmes de rythme... qui conduisent à ...de l'ennui. C'est... parce que (la production) à tente de transformer une comédie en un film d'action (donc rate un film d'action comique). Les scènes de chasses aux fantômes (sont) laborieuses."

Il serait impossible de dire une chose pareil du film original sans mentir.
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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Sam 16 Juil 2016 10:26

Den Of Geek admet enfin le problème :

http://www.denofgeek.com/us/movies/ghos ... -the-brand

While the new trendy word of the decade is to call something a “reboot,” for all intents and purposes Ghostbusters is a remake of the 1984 classic, and this is never anything less than an albatross around this new movie’s neck. Yet, the reason for creating this unwinnable scenario has nothing to do with politics, gender, or any litany of other trollish complaints. Nay, its impetus can be traced to one specific moment in the film before even the first scene has commenced:


Traduction: Alors que le mot à la mode de cette décade est d'appeler quelque chose un "reboot", Ghostbusters est à tous les points de vue un remake du classique de 1984... La raison pour créer cette situation d'échec garanti n'a rien à voir avec la politique, le genre féminin ou n'importe laquelle des litanies des autres plaintes trollesques. Non, sa source peut être retrouvée dans le film avant même que la première scène commence... (Sony Picture pensait lancer une franchise à la Marvel).

From the very opening, Ghostbusters circa 2016 more or less follows the beats of the 1984 vintage with the utmost respect... it all feels like we’ve been here before, and rarely do these 1:1 comparisons end favorably for the newer film.


Traduction : Dès sa scène d'ouverture, Ghostbusters 2016 s'aligne plus ou moins point par point le film de 1984 avec la plus grande fidélité... Tout cela se ressent comme du déjà-vu, et rarement la comparaison s'achève par un score favorable au film le plus récent.

(le chroniqueur suspecte que le problème vient du fait que le film original était le fruit de la passion pour le paranormal de Dan Akroyd tandis que le second film est le résultat d'une froide tactique commerciale)

this newer movie’s biggest problem is not the cast; it’s that the film primarily exists to repeat what audiences already know to mostly inferior results.


Traduction: Le plus gros problème du nouveau film n'est pas ses actrices; c'est que le film existe en premier pour répéter ce que le public connait déjà pour un résultat largement inférieur.

But its post-release should mark a reminder of another problem that is also systematic in modern Hollywood: the abject terror of new ideas leading to tired franchises running on fumes.


Traduction : (s'il y a bien eu des critiques sexistes), la sortie du film devrait être le symbole d'un autre problème, systématique le Hollywood d'aujourd'hui: la terreur abjecte vis à vis des idées neuves menant à des franchises fatiguées tournant à vide.
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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Mar 19 Juil 2016 12:51

Le site Deadline fait le bilan du box office américain de Ghostbusters 2016.

Il rapporte les accusations des analystes du box office selon lesquels Sony a choisi de monter en sauce la polémique sexiste pour plonger dans la confusion le public et le convaincre d'aller voir par lui-même le film, alors qu'il ne s'agit que d'un décalque sacchariné (faux sucre) de l'original.

http://deadline.com/2016/07/ghostbuster ... 201787149/

One major studio executive criticized Sony for continually addressing its bullies instead of ignoring them: “The media thrived on that anti-feminist through-line. That message doesn’t work for Hillary Clinton in regards to getting her elected. It should never be about supporting or not supporting a movie just because it stars women. If the movie looks good, people should just go.” If Ghostbusters had more heat than hate, it would have climbed to greater heights.

Heading into the weekend, another box office analyst believed that Sony’s clash with its Ghostbusters detractors was a means to intrigue the public, get them in the door and distract them from what Ghostbusters really is: A saccharine movie that’s comedically pedestrian next to its 1984 original.


Et tout le monde se demande qui a eu l'idée chez Sony de priver le film de sa clientèle masculine cœur de cible en commençant par l'insulter plusieurs fois avant que toute polémique ne commence, puis en accusant la totalité du public masculin d'être sexiste envers les actrices du film, quand il était critique envers la fraude qui consiste à présenter comme un nouveau film et un redémarrage de la franchise un film qui n'est qu'un décalque de l'original altéré pour être sexiste anti-homme (mais tourné et produit majoritairement par des hommes, dès lors démarche très suspecte).

En attendant, le film d'un budget de 144 millions de dollars devrait finir déficitaire, sauf s'il explose le box-office internationale, mais la Chine il me semble a déjà fermé son marché, sous prétexte de traitement dérangeant du surnaturel et des fantômes, ou quelque chose dans le goût.
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Re: Ghostbusters, le film de 2016

Messagepar Greenheart » Sam 23 Juil 2016 12:25

Et tandis que la campagne de promotion du film dans les talks-show américains continue, uniquement basée sur la victimisation des actrices (les spectateurs sont sexistes et racistes, c'est pour cela qu'ils ne lâchent pas leurs dollars pour voir notre décalque du premier film), la première accusation de racisme anti-noir tombe :

http://www.polygon.com/2016/7/21/122397 ... ial-tropes

Explication: la seule ghostbuster noire cumule sur elle tous les clichés raciaux sur les femmes noires américaines (la mama qui parle fort quand elle n'est pas la bonne à tout faire des autres femmes de l'équipe).
La chroniqueuse (noire-américaine) aurait voulu voir un film avec de vrais héros (en tout cas au moins un) de son sexe et de sa couleur.
Sony le lui avait promis, et lui a seulement vendu un film avec un personnage stéréotypé de son sexe et de sa couleur. Sony l'a bien eue.
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