Terminator 2: Le Jugement Dernier, le film de 1991

[Greenheart]

Terminator 2: Judgment Day (1991)
Traduction du titre original : Terminator 2, le Jour du Jugement.

Ce film existe au moins en deux versions : cinéma (courte) et Director's Cut (longue).

Sorti aux USA le 3 juillet 1991.
Sorti en Angleterre le 16 août 1991.
Sorti en France le 16 octobre 1991.

Sorti en blu-ray américain LIONSGATE US le 27 juin 2006 (Master moyen selon blu-ray.com, une seule version du film).
Sorti en blu-ray français le 23 septembre 2008 (2 blu-rays, Master médiocre, région B, deux versions du film)
Sorti en blu-ray français STUDIO CANAL FR le 26 mai 2009 (1 blu-ray, Nouveau master de qualité, Région B, deux versions du film courte et longue : pour accéder à la version longue par le menu, il faut entrer le code 82997, son anglais DTS HD MA)

Sorti en blu-ray français le 2 juin 2015 (1 blu-ray, 1 DVD).
Sorti en blu-ray américain LIONSGATE US du 19 mai 2015 (meilleur image mais son Anglais 5.1 moins bon que le blu-ray français STUDIO CANAL de 2009.
Sorti en coffret UHD+blu-ray STUDIO CANAL FR le 5 décembre 2017 (colorimétrie virée au bleu et détails censurés à la fois sur l'UHD et le blu-ray)
Sortie en coffret collector du 30ème anniversaire UHD+br+3D STUDIO CANAL du 20 novembre 2023.

Attention, nouvelles éditions blu-ray, 4K et VOD 2023-2024 chez DISNEY INT ont été massacrés par Intelligence Artificielle, et non restaurée fidèlement : ne les achetez pas, vous êtes prévenu. Si jamais il s'avère que ces naufrages ont été corrigés soit par l'édition 2024 soit par une édition suivante, ce sera mentionné ici.

De James Cameron (également scénariste), sur un scénario de William Wisher Jr., d'après le film Terminator de 1984 ; avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Edward Furlong, Robert Patrick, Earl Boen, Joe Morton, Danny Cooksey.

Pour adultes et adolescents.

De nos jours, la circulation automobile dense autour de Los Angeles, des enfants sur une balançoire dans un parc. 2029 après JC, Los Angeles , un embouteillage de voitures calcinées sur fond de ruines, des jeux d’enfants tordus recouvert de cendres. Trois milliards de vies humaines ont pris fin dans l’holocauste nuclaire du 29 août 1997 – le Jour du Jugement, comme l’ont surnommé les survivants. Mais ils ne survécurent que pour faire face à un nouveau cauchemar : la guerre contre les Machines.

En effet, après l’Holocauste, des drones et des robots – machines à tuer les humains – parcourent les champs de ruines pour abattre à coups de laser les humains. L’ordinateur qui contrôlait les Machines, Skynet, avait envoyé deux Terminators dans le passé. Leur mission : détruire le chef de la Résistance humaine, John Connor, le fils de Sarah Connor. Le premier Terminator devait frapper Sarah avant que John ne soit né, en 1984. Il échoua. Le second Terminator devait frapper John lui-même quand il était encore un enfant. Comme pour la première fois, la Résistance avait envoyé un guerrier solitaire pour protéger John. La question était seulement de savoir lequel combattant des Machines ou de la Résistance atteindrait l’enfant le premier.

Un vent surnaturel se lève entre deux camions, suivi d’éclair zébrant l’air. Une sphère noire perce la réalité, et l’espace tranché entre un bout du camion et le sol, un Terminator nu se relève. Il fait son entrée dans le diner, scannant les clients à la recherche d’une tenue qui lui conviendrait. Il exige d’un grand Hell Angels ses vêtements, ses bottes et sa moto. Tous les motards éclatent de rire, et le Hell Angels répond que le Terminator a oublié de dire s’il vous plait. Puis il écrase son cigare sur l’un des pectoraux du Terminator, qui en réponse lui tord le bras. Le Terminator encaisse les coups de la bande de motards ; il commence par envoyer un motard à travers la fenêtre, l’autre sur les feux allumés de la cuisinière, et cloue un troisième à la table de billard après lui avoir brisé le bras. Le premier motard veut utiliser un pistolet, mais le Terminator le brise, et le motard se rend.

Le propriétaire du Diner tente alors d’empêcher le Terminator de partir sur la moto Harley Davidson de son client, le menaçant d’un fusil. Le Terminator récupère simplement le fusil, et les lunettes du soleil du propriétaire en prime.
En ville, un jeune policier inspecte un grillage découpé circulairement, encore fumant. Un homme nu arrive derrière lui et le frappe. Le policier pousse un cri bref et s’écroule. Le nouveau venu récupère l’arme, puis, habillé de la tenue du policier, rejoint la voiture de police. Il utilise alors le terminal informatique de bord pour consulter le dossier criminel d’un certain John Connor et relever l’adresse de ses parents adoptifs, Todd et Jannel Voight.



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La bande annonce HD d'époque Rotten Tomatoes : https://youtu.be/CRRlbK5w8AE

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Officiellement annoncé en 3D pour 2017, date à préciser.

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Et voilà la bande annonce officielle 2D : https://youtu.be/zRsTWZZOEcQ

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Le film ressort aux USA en 3D donc le 25 août 2017.

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Nouvelle bande annonce pour Terminator 3D avec interview de James Cameron, officiel HD : https://youtu.be/PhqCVjALwXc

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Nouvelle édition 4K annoncée pour le 30ème anniversaire du film, supervisée personnellement par James Cameron suite aux problèmes de l'édition précédente.

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Attention, nouvelles éditions blu-ray, 4K et VOD 2023-2024 chez DISNEY INT ont été massacrés par Intelligence Artificielle, et non restaurée fidèlement : ne les achetez pas, vous êtes prévenu. Si jamais il s'avère que ces naufrages ont été corrigés soit par l'édition 2024 soit par une édition suivante, ce sera mentionné ici.

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Terminator 2, le blu-ray français STUDIO CANAL de 2009, édition Skynet.

Les captures illustrant cet article sont tirés des blu-rays Studio Canal 2009 (première position) et Lionsgate 2015 (seconde position). Je ne distingue pas de différence au niveau de la colorimétrie cependant, avec la même mise à échelle de l'écran 4K Samsung. L'image de l'édition Lionsgate apparaît plus détaillée, ce qui n'apparaît pas ou à peine à l'échelle des captures qui sont compressées et à échelle réduite pour pouvoir être affichée sans difficulté sur ce site.

L'image du blu-ray Studio Canal 2009 a quelques toutes petites tâches et coups à l'image ici et là, à peine visibles et les détails HD fins type cheveux fins de Sarah à l'asile de fou, et texture de peau d'Arnold scène du bar fluctuent légèrement, ce qui n'est pas le cas avec l'image du blu-ray Lionsgate 2015 ; cela indique que la mise à échelle 4K doit rattraper les limites en matières de détails fins de l'édition Studio Canal 2009, alors que ce n'était pas, a priori le cas avec mon écran LG HD d'autrefois.

Le niveau de détails est encore plus grand en UHD, mais la colorimétrie est virée au bleu, certains plans sont l'évidence accentués, et au moins un plan est censuré. L'image beaucoup plus sombre de l'UHD dans les plans d'arrivée des deux Terminators semble n'avoir pour but que de masquer les nudités -- dans le cas du T1000 anatomiquement incorrecte après retouches numériques. Je constate le même assombrissement de l'image inédit dans Total Recall, à nouveau dans un plan où les fesses d'Arnold sont visibles. Les corrections des couleurs de l'UHD impactent dramatiquement sur l'allure des explosions de la bataille futuriste en ouverture. Le blu-ray Lionsgate reprend sa lecture au dernier point visionné avec un son anglais 5.1. Le blu-ray STUDIO CANAL redémarre toujours à zéro, mais le son Anglais 6.1 est meilleur. En UHD il y a une mince bande verticale d'image supplémentaire à droite.

Noter que ce film existe désormais au moins en quatre versions : original cinéma 137 minutes, director's cut (special edition ?) 152 minutes, et director's cut version longue 154 minutes du réalisateur de 1993, ainsi que la version 3D, j'ignore de quelle version. Ce blu-ray présente la version originale cinéma, le director's cut et la version longue director's cut.

Attention, à l'époque pour accéder à la version longue, il fallait autrefois donner le code 82997 à retrouver sur un site dédié. Cela ne devrait plus être nécessaire aujourd'hui.

Le boîtier plastique bleu de ce blu-ray est désormais graisseux avec des marques de rosaces. Le blu-ray était lisible neuf et était encore lisible récemment, sans nettoyage.

Sorti le 26 mai 2009.

Sur le film : bon. les suites des films de James Cameron se suivent et se ressemblent. Il s'agit d'une variation où l'action doit être plus spectaculaire. Le monde n'est pas étendu, les personnages peuvent échanger leur rôle, mais évoluent moins qu'ils ne se caricature : Aliens le retour, Terminator le jugement dernier, Avatar la voie d'eau... Gageons que dans Titanic 2, pour quelques glaçons de plus, le paquebot sera encore plus gros et coulera encore plus spectaculairement tandis que Rose de retour armée jusqu'aux dents et à cheval, ressoudera elle-même les perforations en attendant la confrontation finale avec l'abominable homme des neige qui hantait l'iceberg steam-punk.

Je ne plaisante presque pas : attendez que James Cameron -- ou son intelligence artificielle découvre l'album de l'Adèle Blanc-Sec en question, et cela arrivera. En attendant, Terminator 2 est un film pop-corn qui aura produit ses grands effets à la première vision (en salle pour ma part). Mais à la revoyure, la redite et le choix délibéré de retirer leur empathie aux personnages humains a un prix : le manque d'identification et d'investissement dans l'action.

Faire du Terminator du premier film un grand joujou pour gamin, c'était aussi torpiller ses chances d'inspirer à nouveau la terreur de l'implacable, le Terminator étant une mini apocalypse sur pattes à lui tout seul. Le T-1000 ne cessant de se faire aplatir, il ne remplacera pas l'original. Les films Terminator et la série télévisée continueront de tourner en rond et d'user la formule à part Terminator 4 qui capte plusieurs étincelles d'originalité et l'effervescence de McGee, tout en racontant une histoire enfin différente. Mais comme la planète n'explose pas à la fin et que nous retournons encore une fois à la case départ, il y aurait forcément une mesure non négligeable de déception. Une déception qui ne sera pas facilement améliorée vu la désinvolture apparente avec laquelle James Cameron peut traiter les présentations DVD, Blu-ray ou 4K de ses films.



Sur l'image 1080p format 2.35:1, original 2.39:1 non respecté : bonne mais limitée. De l'anti-bruit a été abusivement appliqué à l'image, semblant lisser les détails fins. D'autres problèmes tels l'aplatissement de la profondeur de champ semblent liés à une compression excessive qui se voit sur un écran HD, mais l'image reste spectaculaire quand on n'a connu que l'édition DVD ou pire. Cependant, je n'ai pas retrouvé l'expérience de la projection en salle. Mis à l'échelle sur un écran 4K, l'image a un côté légèrement baveux ou approximatif, aux ombres et contre-jours confus, tandis que les peaux restent d'un aspect à la limite du naturel, les textures se devinant assez facilement, que certaines ambiances à la source rendront limite disco (le premier plan rapproché sur le John Connor du futur).

Impossible de compter les cils ou distinguer les duvets, difficile de distinguer les cheveux fins (cf. Sarah Connor dans sa cellule, même en gros plan) et les surfaces des décors, comme les sols de parking ou tapis de billard, n'ont pas un rendu satisfaisant, la mise à échelle 4K ne permettant pas de rattraper les détails qui n'existent plus. Le film reste agréable à suivre tant que vous n'avez pas vu le meilleur transfert qui a suivi, et ses détails moins fins n'ont pas été censurés, comme c'est désormais le cas dans les éditions les plus récentes. Toutes ces remarques sont liées aux performances du système de présentation, qui en 4K varient selon le lecteur, ses réglages, et selon les mises à jour du téléviseur et du lecteur.

















































Sur le son Anglais DTS-HD Master Audio 6.1 : excellent. Autres pistes Anglais : Dolby Digital 2.0, Français: DTS-HD Master Audio 5.1 Allemand: DTS-HD Master Audio 7.1, Allemand : Dolby Digital 2.0.

Sur les bonus : nombreux; pas encore revus.

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[Greenheart]

Terminator 2, le blu-ray américain LIONSGATE 2015, édition Spéciale.

Noter que ce film existe désormais au moins en quatre versions : original cinéma 137 minutes, director's cut (special edition ?) 152 minutes, et director's cut version longue 154 minutes du réalisateur de 1993, ainsi que la version 3D. Ce blu-ray présente la version originale cinéma, et l'édition spéciale de 152 minutes que je suppose pour l'instant être le director's cut

Aucune trace de dépôt graisseux ni de rosaces imprimées à l'intérieur du boîtier en plastique bleu, disque parfaitement lisible à l'ouverture et encore aujourd'hui.

Sorti le 19 mai 2015, région A seulement (lisible seulement sur un lecteur américain ou multi-régions), pas de version ou sous-titres français.

Sur le film : bon. Comme à son habitude, James Cameron livre une suite plus faible que l'original question scénario, impact émotionnel et rebondissement.Il compense avec des effets spéciaux et des cascades plus spectaculaire, et le spectateur qui venait pour cela en aura pour son argent. J'ai vu ce film en salle à sa sortie.



Sur l'image 1080p format 2.35:1, original 2.39:1 non respecté : très bonne, remarquable en regard de l'édition blu-ray de 2009. Notez bien le logo de Carolco en ouverture ce transfert du film. Plus d'anti-bruit et une image plus profonde, moins pâle et mieux contrastée, et surtout (beaucoup) plus (Sky) nette (désolé, je n'ai pas pu résister). Réapparition du grain cinématographique ; les textures de peau et tous les détails fins sont de retour, y compris les cils de Schwarzie et tous les détails des cheveux fins dépassés et emmêlés de Sarah Connor dans sa cellule dont on distingue le grain de la peinture des murs, toutes les surfaces et textures des vêtements, ainsi que l'expérience de la projection du film à sa sortie en salle. Il y a parfois des plans aux couleurs très saturées, dont un plan où Dyson accède à la chambre de stockage d'un reste du Terminator du premier film où tous les détails fins sont brouillés - peut être un problème à la source en particulier si ce plan n'est pas dans la version cinéma d'origine. La nudité du T1000 à sa première apparition n'est pas censurée.



Sur le son Anglais : DTS-HD Master Audio 5.1 (48kHz, 24-bit) : très bon. Autres pistes Anglais : DTS Headphone:X et piste audio descriptive. Le mixage est très différent de celui de l'édition skynet, impossible de me souvenir s'il est plus proche de celui de la projection en salle à sa sortie car je ne l'ai vu en salle qu'en français.... ça peu encore me revenir cependant. Il reste quand même moins impressionnant que la piste 6.1 du blu-ray de 2009.

Sur les bonus : nombreux; pas encore revus.

En conclusion : je me suis rué sur cette édition très modique (moins de 10 dollars donc moins de 10 euros) dès que j'en ai appris l'existence. Il doit exister l'équivalent en région B avec la version française, possiblement l'édition STUDIO CANAL de 2015 mais je ne peux pas le confirmer. Je suis très heureux et très satisfait de disposer d'une version non passée à l'anti-bruit fidèle au point de me rappeler enfin la projection en salle alors que ce n'était pas gagné d'avance, surtout après le malaise à la vue de l'édition UHD et de son nouveau transfert blu-ray inclus dans le même coffret de 2017.

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[Greenheart]

Les captures qui illustrent cet article sont tirées la première du blu-ray joint au coffret UHD français de 2017 (même colorimétrie et contrastes que l'UHD) et la seconde du blu-ray américain LIONSGATE US de 2015. Aucune retouche n'a été faite ; les réglages de votre moniteur peuvent changer couleurs, contrastes et luminosité de ces captures.

Terminator 2, le coffret UHD+blu-ray français STUDIO CANAL de 2017.

Noter que ce film existe désormais au moins en quatre versions : original cinéma 137 minutes, director's cut (special edition ?) 152 minutes, et director's cut version longue 154 minutes du réalisateur de 1993, ainsi que la version 3D. Ce disque UHD présente seulement la version cinéma de 137 minutes.

L'intérieur du coffret neuf est assez graisseux avec des impressions de rosaces. Cette graisse déposée à la surface des deux côtés du boîtier plastique noir imprime spectaculairement les empreintes de doigt. Aucun problème de lecture ni de l'UHD neuf, ni du blu-ray neuf. L'UHD est toujours lisible à ce jour, je resterais bientôt le blu-ray.

Sorti le 5 décembre 2017, multi-régions, version française, anglaise originale et allemande.
Ressorti en vente joint à l'UHD total recall.




Sur le film : bon. Comme à son habitude, James Cameron livre une suite plus faible que l'original question scénario, impact émotionnel et rebondissement.Il compense avec des effets spéciaux et des cascades plus spectaculaire, et le spectateur qui venait pour cela en aura pour son argent. Terminator 2 perd un peu en intérêt à la revoyure mais les coups les plus durs ont été portés par les suites médiocres excepté Terminator 4 : en effet, à chaque fois, le dénouement des films Terminator est remis en cause, ce qui fait qu'ils ne comptent plus du tout émotionnellement. C'est la tare instantanée de tous les récits de voyage dans le temps linéaire, de jour sans fin et autre multivers, qui se contourne en n'admettant qu'une seule seconde version des évènements altérés par les voyageurs temporels, celle que suit le spectateur au moment où on lui raconte l'histoire. Terminator 4 avait cependant la qualité de s'imbriquer dans une époque qui ne remet pas en cause le premier film ou Terminator 2. Les suites ou séquelles font exactement le contraire, en pire, et se sont vautrées de manière prévisible au box-office. J'ai vu ce film en salle à sa sortie.



Sur l'image Native 4K (2160p) HDR: HDR10 format 2.35:1, original 2.39:1 non respecté : très bonne à excellente mais problématique Un panneau initial indique une version 3D puis le logo carolco. L'image est très contrastée, semblant boucher les ombres, le blanc du premier titre est viré au bleu. Le décor, les engins, les êtres humains, les flammes semblent légèrement fondus. De même le titre nom d'Arnold Schwarzennegger est légèrement viré au bleu, les autres titres au jaune orangé. Si c'est un effet HDR, je ne pourrais le vérifier de suite. Retours des détails fin des sols et des camions. J'ai l'impression que les effets spéciaux ont été refaits (éclairs, bulle noire). Les détails fins à l'intérieur du pub semblent accentués, c'est particulièrement choquant sur la poitrine du Terminator où les quelques poils ressemblent à des cicatrices. Cela passe bien sur les bikers en particulier cheveux, barbes, cuirs et denim. La nudité du T1000 a été numériquement soit noircie, soit gommée et noircie. Les cheveux fins et emmêlés de Sara Connor dans sa cellule sont bizarres, à la fois brouillés et accentués et sur certains plans, très accentués sans être brouillés, comme pour dramatiser spécifiquement l'apparence de l'actrice sans assurer la continuité des détails fins de la scène. Plus aucun problème sur la scène où Dyson accède au stockage du bout de Terminator. La colorimétrie des scènes du présent est toujours légèrement virée au bleu. Les visages de John et son poteau ont des textures plus détaillées, naturelle, la continuité des cheveux fins sont naturels. Mon impression est qu'il n'y a pas eu de cohérence entre les scènes voire entre les plans quand à leur "restauration". Le résultat est un peu malaisant. Je ne retrouve pas l'expérience du film que j'ai vu à sa sortie en salle.







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Sur le son Anglais : DTS-HD Master Audio 5.1 (48kHz, 24-bit) : très bon mais ce n'est pas le même mixage que pour le blu-ray de 2019, peut-être parce que c'est la version cinéma ? Autres pistes Français : DTS-HD Master Audio 5.1 (48kHz, 16-bit) Allemand : DTS-HD Master Audio 7.1. Sous-titres espagnols.

Sur les bonus : Aucun, tout est sur le blu-ray, par exemple la version longue, si ma mémoire est bonne, mais avec des parties du doublage français manquant apparemment. Il me faut le temps d'écouter tout ça.

En conclusion : J'ai acheté ce coffret UHD alors que s'annonçait les transferts nettoyés à l'intelligence artificielle de plusieurs films plus que notables de James Cameron, tels Titanic, Abyss et Avatar dont certaines captures laissaient craindre le pire. Au son, ce n'est pas aussi bon que l'édition Skynet en blu-ray, à l'image ça passe jusqu'à ce que ça ne passe plus et dérange. Je n'irai pas tripoter les réglages de mon écran vu la qualité de la présentation qu'il offre du même film avec le blu-ray Lionsgate (ou la qualité générale des présentations de très nombreux autres films et séries). Ce n'est pas une mauvaise présentation, mais ce n'est pas parfait, et ce n'est certainement pas idéal, et encore moins conforme à mon expérience du film à sa sortie en salle.

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