Teen Wolf, le film de 1985

Les films des années 1981 à 2000.

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Teen Wolf, le film de 1985

Messagepar Greenheart » Mar 1 Mar 2016 08:56

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Teen Wolf (1985)
Traduction du titre original : Loup adolescent.

Sorti aux USA le 23 août 1985.
Sorti en France le 27 novembre 1985.
Sorti en Angleterre le 20 décembre 1985.
Sorti en blu-ray américain (région A et B, Anglais DTS MA 2.0, français DD 2.0, en bonus le début du pilote de Teen Wolf la série de 2011 en HD, première version)

De Rod Daniel ; sur un scénario de Jeph Loeb et Matthew Weisman ; avec Michael J. Fox, Jerry Levine, Susan Ursitti , James Hampton, Matt Adler, Lorie Griffin, Mark Arnold, James MacKrell, Jay Tarses, Mark Holton, Scott Paulin.

Pour adultes et adolescents.

Trempé de sueur, Scott Howard s’apprête à marquer un panier décisif, et après une minute d’intense concentration… Il rate le panier, et lors de la riposte, il est bousculé et chute lamentablement. En le relevant, la vedette de l’équipe adverse lui fait remarquer que son équipe est nulle, ce qui n’est pas une surprise pour Scotty. Pour leur entraîneur, Finstock, il n’y a aucun problème : ils ont fière allure, et Scotty aura dû laisser le passage à ses adversaires, et il ne serait pas tombé. Alors que c’est la mi-temps, Stiles, le meilleur ami de Scotty, arrive dans les tribunes et lance à Scotty qu’il se débrouille très bien. Scotty lui répond qu’il se demande comment Stiles pourrait le savoir. Pendant ce temps, l’entraineur Finstock veut déclarer forfait, mais l’entraineur de l’autre équipe refuse : son équipe a remporté jusqu’ici tous les matchs du championnat et ce ne serait pas juste pour eux de leur refuser le grand chelem. Finstock fait remarquer que cela leur évitera de rentrer dans les embouteillages de cinq heures de l’après-midi. L’autre rétorque qu’il y a beaucoup à apprendre dans la défaite, et Finstock cède : son équipe jouera, si c’est si important pour leur adversaire. Le match reprend avec un score de 66 en faveur des visiteurs et de 12 en faveur des Castors. Comme le principal fait remarquer à Finstock que les choses ne vont pas fort, Finstock répond que c’est parce que l’équipe a de meilleures chaussures. Mais sur le terrain, alors qu’il se retrouve face à la vedette adverse, Scotty se met à grogner, ce qui surprend l’autre joueur. Du coup, Scotty a une ouverture, tente un panier… et le rate à nouveau.

Alors que tout le monde va à la douche, Finstock lance que les choses se présentent bien : c’est le premier match de la saison, et il en reste encore onze – et ce n’est qu’un jeu. Mais l’un des joueurs rétorque que le reste de l’équipe à intérêt à s’entraîner parce qu’il n’y arrivera pas s’il est tout seul à jouer. Pendant ce temps, Scotty fait remarquer à un camarade grassouillet qu’il est censé être au régime, alors qu’il sent sur lui l’odeur de la saucisse au foie. Son camarade prétend alors ne pas savoir de quoi Scotty parle. Alors Scotty va vider le placard de son camarade, qui contient de nombreuses sucreries et effectivement, le sandwich en question. Le camarade rétorque ne ne pas fouiner dans son placard, mais Scotty affirme qu’il sent l’odeur de la saucisse au foie depuis son propre placard, à deux mètres de là. Le camarade met alors ses chaussettes sales sur le nez de Scotty et lui demande s’il sent encore l’odeur du sandwich là-dessous.

Ils sont interrompus par Stiles qui débarque en les félicitant pour leur match. Sur le tee-shirt de Stiles est écrit « La vie craint, et après tu meurs ». On lui répond que l’équipe a perdu. Puis Stiles vient réclamer sept dollars à Scotty, qui corrige : c’est Stiles qui lui doit sept dollars. Mais pour Stiles, c’est très important : s’ils ne trouvent pas un tonnelet de bière pour ce soir, on ne le laissera pas participer à cette fête. Scotty réplique que même si Stiles trouvait l’argent, il ne trouverait nulle part où l’acheter. Stiles demande alors que Scotty lui prête cinq dollars. Scotty répond : plus tard. Stiles demande alors seulement deux dollars. Scotty répète : plus tard. Stiles abandonne et va saluer chacun des autres joueurs… pour essayer de leur emprunter l’argent. C’est alors que Scotty, qui est torse nu, se découvre un très long poil sur sa poitrine entièrement glabre jusque là… En se demandant ce que le poil peut bien faire là, il l’arrache ( !). Comme Stiles prétend auprès d’un joueur noir qu’il fait une quête pour organiser un festival Afro-Americain, Stiles est prit par le col par Mick, le joueur vedette de l’équipe adverse, et jeté dehors des vestiaires.

Rhabillé, Scotty va trouver le coach Finstock, qui est en train de s’empifrer avec du poulet frit d’un menu de fast-food. Finstock propose immédiatement des ailes de poulet à Scotty, qui refuse poliment, puis qui rappelle que Finstock dit toujours que si quelqu’un de l’équipe a un problème, il peut le trouver, même si c’est un problème personnel. Finstock confirme, s’en s’arrêter de manger : il est là pour cela. Alors Scotty répond en posant son sac que c’est très bien, parce qu’il a un problème. Finstock relève enfin les yeux, et demande de quel genre de problème Scotty parle, parce que Scotty peut voir qu’il est très occupé – et Finstock montre le repas qui encombre son bureau.

Et comme Scotty commence par dire que c’est compliqué, Finstock semble soulagé : s’agit-il de drogue, de filles ? Finstock voudrait bien l’aider mais il est surbooké ce mois-ci, à cause des impôts qui le harcèlent, comme s’ils avaient quelque chose de personnel contre Bobby Finstock. Mais Scotty assure que ce n’est pas ce genre de problème, et il n’arrive pas à trouver les mots pour le décrire – mais il expérimente des changements dans sa vie. Finrock lui répond de ne pas s’inquiéter pour cela : cela leur arrive à tous. À certains, un peu plus tard – et Finrock est désolé de ne pas l’avoir remarqué, mais il ne passe pas beaucoup de temps en ce moment dans les vestiaires. Mais ce n’est pas ce que veut dire Scotty, qui finit par déclarer qu’il pense que ce ne sera plus possible pour lui de jouer avec l’équipe dorénavant.

Finstock répond alors qu’il sait de quoi Scotty parle : il y a quelques années de cela, un gamin comme Scotty est venu le trouver pour lui dire à peu près ce que Scotty vient de lui dire : il voulait lâcher l’équipe, sa mère était veuve, handicapée, elle récurait les sols et avait une broche dans la hanche. Alors le gamin voulait laisser tomber le basket et trouver un boulot. Mais c’était des gens pauvres, affamés, avec des vrais problèmes. Comme Finstock demande si Scotty comprend ce qu’il veut dire, Scotty s’inquiète de ce qui est arrivé au gamin de l’histoire, mais Finrock n’en sait rien, le gamin a quitté l’équipe. C’était juste un troisième violon, Finrock n’avait pas besoin de lui. Alors Scotty commence à comprendre : lui est un premier violon. Et Finrock fait remarquer que Scotty a déjà un boulot, vu qu’il travaille pour son père. En fait, Finrock pense que cela devrait être lui, l’entraîneur, qui devrait venir le trouver quand il a besoin d’argent. Dépité, Scotty remercie l’entraîneur, qui souligne que Scotty est toujours le bienvenu chez lui.

En sortant du lycée, Scotty raccompagne sa meilleure amie Boof. Il lui raconte qu’il a fait le rêve le plus bizarre qui soit la nuit dernière. Boof demande si elle était dans le rêve, et Scotty le confirme : elle y était, elle, Pamela, et un tas de poulets. Arrive Stiles qui ralentit en voiture en passant devant eux, et Scotty dit très vite à Boof de répondre « non ». Stiles commence à demander à Boof comment elle va, et Boof répond « non ». Stiles se rassied dans son siège et s’en va, tandis que Scotty poursuit le récit de son rêve : c’étaient des poulets géants… Puis Scotty confie qu’il en a assez du basket : assez d’être si ordinaire. Pas seulement au basket, mais à l’école – la ville, tout. Boof répond qu’elle aime Beacontown. Scotty soupire : il veut seulement que sa vie change : il ne veut pas finir à travailler pour son père au magasin de bricolage. Boof répond que le père de Scotty est quelqu’un de bien. Alors Scotty s’arrête de marcher, et demande à Boof de le regarder et de lui dire s’il n’y a pas un problème avec lui. Boof répond qu’il devrait peut-être se doucher après les matchs. Scotty répond qu’il le fait. Alors Boof déclare qu’il n’y a aucun problème avec Scotty. Ils se remettent à marcher, et Scotty répond que s’il n’y a aucun problème avec lui, pourquoi Pamela Wells refuse de lui dire plus de deux mots ?

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