Miracle sur la 8ème rue, le film de 1987

Les films des années 1981 à 2000.

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Miracle sur la 8ème rue, le film de 1987

Messagepar Greenheart » Ven 15 Juil 2016 15:03

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Batteries Not Included (1984)

Sorti aux USA le 18 décembre 1987.
Sorti en Angleterre le 25 mars 1988.
Sorti en DVD français le 8 août 2012.
Sorti en blu-ray américain le 8 mars 2016 (multi-régions, anglais HD MA 5.1, français DTS 2.0)

De Matthew Robbins ; sur un scénario de Mick Garris, Brad Bird, Matthew Robbins, Brent Maddock, S.S. Wilson ; avec Hume Cronyn, Jessica Tandy, Frank McRae, Elizabeth Peña, Michael Carmine, Dennis Boutsikaris, Tom Aldredge, Jane Hoffman, John DiSanti, John Pankow, MacIntyre Dixon, Michael Greene, Doris Belack, Wendy Schaal. Notamment produit par Steven Spielberg.

Pour adultes et adolescents.

New-York. Des bulldozers achèvent de faire tomber les bâtiments d’un quartier dont la belle époque remonte aux années 1920. Le long d’un trottoir, Fay Riley, une vieille dame aux chaussures dépareillées avance en évitant les gravats. Elle s’arrête devant une maison au trois-quart démolie, visiblement confuse, avec sa liste de course à la main.

Un peu plus loin, un bloc reste intact. Des ouvriers descendent d’un pick-up un panneau promotionnel pour le Lacey Plaza, un gratte-ciel résidentiel ultra-moderne. Le bloc abrite un diner (petit restaurant américain traditionnel), tenu par Frank Riley, le mari de Fay. Muriel, une locataire, s’inquiète parce que Fay n’est pas dans la maison et Frank lui dit de ne pas paniquer : elle est sûrement dans la cave… ou quelque part. Les murs se mettent à trembler, et par la fenêtre, Frank voit un bulldozer approcher. Il sort et s’interpose, rappelant que le bulldozer est sur une propriété privée. L’ouvrier prétend être venu pour un hamburger, puis repart comme si de rien n’était. Pendant ce temps, Fay – est revenue. Elle a pris l’ouvrier pour un certain Billy, mais Muriel la détrompe et l’installe à une table en attendant qu’elle lui prépare un petit-déjeuner. Frank lui remet la bonne sandale au pied…

Une jeune fille enceinte ramène des provisions. À l’entrée de l’immeuble elle est harcelée par une bande de voyous, agitant sous leur nez l’argent des enveloppes contenant de l’argent pour qu’elle déménage. Puis ils défoncent la porte d’une voisine pour la forcer à accepter une enveloppe. Armés de battes de base-ball, ils entrent ensuite, armés de leur battes de base-ball chez un vieil homme, qui préfère rester cacher derrière son rideau. Leur étape suivante est de forcer l’entrée du diner. Le chef des voyous convainc sans problème Fay d’accepter l’argent, mais Frank intervient. Le voyou déclare que si l’argent n’est pas une bonne raison pour déménager, il va en donner une meilleure à Frank. Ils jettent dehors le vieil homme et commencent à saccager le diner, cassant tout, tandis que les voisins apeurés paniquent ou tremblent.

Frank, furieux, va prendre à parti la limousine qui passe devant lui, jurant à Lacey qu’il ne le fera pas partir. Mais le chauffeur lui répond que Frank est vraiment stupide de croire que Lacey viendrait en personne dans le quartier. Frank court alors chercher un policier, qui lui répond qu’il ne peut rien faire : les voyous seront partis quand il viendra, et reviendront quand il partira. Frank leur demande alors de patrouiller dans le quartier, et le policier répond : dans quel quartier ? Mason, un des locataires de l’immeuble a de son côté fait venir une dame de la préservation du patrimoine, qui lui répond qu’il n’y a plus rien à préserver, et quand il rentre à son appartement, son amie plie bagage : ce n’est pas cool de vivre avec un artiste qu’il n’a même pas demandé une seule fois qu’elle pose nue pour lui. Et Frank apprend qu’un de ses locataires a accepté l’argent. Le vieux couple laisse à Frank les médicaments que Fay a à prendre.

Tard le soir, Frank est à bout, casse un vase, et supplie, seul dans la cuisine qu’on lui vienne en aide, et endormi dans un fauteuil il ne voit pas qu’une soucoupe volante miniature vient d’entrer par la fenêtre inspecter les lieux à la recherche d’une source d’énergie. La soucoupe trouve les prises électriques de la cuisine et aussitôt appelle une seconde soucoupe volante et la fait entrer dans l’appartement. L’une des soucoupes insère une pince dans la prise et la lampe se met à clignoter. Intrigué par le bruit, Fay se lève, trouve son mari endormi, puis le cadre et la photo détruits par les voyous, de nouveau intacts. Puis le vase que Frank avait cassé intact sur la table de la cuisine. Puis elle aperçoit le grille-pain tiré tout le long de l’escalier. Elle suit le grille-pain jusqu’au toit armée d’une torche électrique et d’un balai. Le grille-pain étant dans une espèce de placard, elle entre dans le placard et tire sur le câble électrique du grille-pain, ramenant à elle la soucoupe volante miniature qui était juchée dessus, qui s’illumine et s’envole, menaçante.

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