La Mutante, le film de 1995

Les films des années 1981 à 2000.

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La Mutante, le film de 1995

Messagepar Greenheart » Ven 10 Juin 2022 08:46

Image

Species (1995)
Traduction du titre : Espèces.

Noter que ce film est un plagiat de la mini-série A For Andromeda de 1961 avec Julie Christie.

Sorti aux USA le 7 juillet 1995.
Sorti en France le 27 septembre 1995.
Sorti en Angleterre le 29 septembre 1995.

Sorti en blu-ray américain le 25 juillet 2006.
Sorti en blu-ray anglais le 24 décembre 2007.
Sorti en blu-ray anglais le 24 décembre 2007.
Sorti en blu-ray français le 5 novembre 2008.
Sorti en blu-ray américain le 11 juillet 2017.
Sorti en blu-ray anglais le 25 avril 2022.
Annoncé en blu-ray allemand les quatre films species pour le 30 juin 2022.
Annoncé en blu-ray 4K américain le 26 juillet 2022.

De Roger Donaldson, sur un scénario de Dennis Feldman (également producteur) ; avec Natasha Henstridge, Ben Kingsley, Michael Madsen, Alfred Molina, Forest Whitaker, Marg Helgenberger,

Pour adultes.

(horreur extraterrestre, Giger exploitation) Divers radiotélescopes dont celui d’Arecibo. Depuis les trente dernières années, les plus puissants radiotélescopes ont scruté les cieux à la recherche de signaux émis par des civilisations extraterrestres. Ceprojet s’appelle les R. I. E.T, les recherches d’une intelligence extraterrestre (S.E.T.I. , Search For Extraterrestrial Intelligence). Laboratoires du gouvernement états-uniens, à Dugway dans l’Uthah. Dans une cellule aux murs de verre, une jeune fille blonde se réveille dans un lit d’hôpital. La cellule est sur une estrade au centre d’une salle avec mezzanine d’observation défendue par une baie vitrée. Dans la salle, il y a cinq opérateurs en combinaisons environnementales complètes.

La jeune fille blonde se réveille, sort du lit, va à chaque vitre, interrogeant du regard les hommes. Les opérateurs s’empressent de quitter les lieux. Deux autres portant de lourdes bouteilles de gaz au cyanure arrivent. Ils branchent les tuyaux des bouteilles à la cellule, tandis que le chef du projet murmure un « désolé », puis il hoche la tête, et les deux opérateurs ouvrent l’arrivée du gaz qui remplit la cellule d’une fumée. La jeune fille hoquète et pleure, disparait un temps dans la fumée. Soudain elle réapparait et passe au travers de la vitre pour courir vers la porte étiquetée « sortie ». Elle traverse un couloir et comme toutes les portes sont ouvertes dans ce laboratoire top-secret, se retrouve dehors, court jusqu’au grillage et le franchit aisément malgré les barbelés. Elle saute dans le wagon d’un train de marchandise et tue le clochard qui se penchait sur elle l’air avide. Pendant ce temps l’armée – des hélicoptères, des soldats — s’agitent en vain.

Le train de marchandise passe devant une gare de voyageur, la dépasse au ralenti, la jeune fille saute, portant à présent une veste de jean sur sa chemise de nuit. Elle entre dans un drugstore et observe un client donnant sa carte de crédit à la caisse, carte que la caissière passe pour fabriquer le carbone comme à l’époque où les USA ne voulaient pas payer le brevet français de la carte à puce. Revoilà la jeune fille dans un train à cambrioler la caisse du restaurant, et remplir son grand sac de la nourriture dans la cuisine. Elle va dans une cabine et une contrôleuse lui demande son ticket, elle tend des dollars et vu qu’elle a l’air d’avoir 11 ans, la contrôleuse lui fait demi-tarif à destination de Los Angeles. Pendant ce temps, le chef du laboratoire demande à ce que l’on espionne les gares plutôt que donner l’alerte.

Dans le train, alors que la nuit est tombée, la jeune fille fait un cauchemar, rêvant qu’elle est poursuivie par un train dont les wagons sont des créatures du film d’Alien. De fait elle n’a pas arrêter de manger et des bosses mouvantes commence à apparaître sous la peau de sa main. Elle crie, se lève, des tentacules lui sortent et grimpent jusqu’au plafond de la cabine. Le lendemain, la contrôleuse revient, trouve les emballages vides, cherche la jeune fille, ouvre la porte des toilettes et trouve une espèce de cocon pulsant dégueulasse, mais au lieu de prendre la fuite immédiatement, elle décide de s'approcher le plus près possible de l'espèce de vulve ou gueule purulente, parce que c'est ce que vous faites habituellement quand vous trouvez une espèce d'étron géant purulent vivant dans vos toilettes...

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La bande annonce HD : https://www.youtube.com/watch?v=ECe9Yqltw_w

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Re: La Mutante, le film de 1995

Messagepar Greenheart » Ven 10 Juin 2022 09:03

Alors vous me trouvez un top-modèle de l'Est prête à tourner à poils et enchaîner les scènes de sexe simulés, mais comme nous voulons gagner plus de fric qu'en simplement vendant des cochoncetés, embauchons Giger pour promettre un genre de suite à Alien en donnant à la langouste bipède un aspect plus mécanoïde sexy pour ceux que ça branche d'être violé par une machine, mais cela ne se passera pas dans l'Espace parce que les décors coûteraient trop chers à construire, alors tout se passera sur terre et de toute manière le public cible ne verra que les seins nus de Natasha H..

Le scénario est simplement débile (profond) où après avoir lâché un monstre extraterrestre sur la population sans rien dire à personne, la même équipe en fait pousser un second, ce qui permettra de rallonger la durée du film, qui ne peut pas seulement montrer du sexe simulé avec Tata sha (c'est le nom de l'hybride extraterrestre, mais il n'est pas cité dans le film). L'équipe de "spécialistes" lancée à la poursuite de Tata est à grimper au mur, la palme revenant au soit-disant voyant : il voit à la caméra une fille hurler de terreur dans son sommeil et déduit brillamment qu'elle doit avoir fait un cauchemar très dur. Il découvre le cadavre de la contrôleuse avec une expression de terreur sur son visage : elle doit avoir eu vraiment peur (sic), mais la "scientifique" est pas mal non plus dans le genre n'a aucune idée de son métier ni de la prudence la plus élémentaire. Et bien sûr Tata Sha n'a qu'une seule obsession, se reproduire : aka retirer ses vêtements.

Et comme encore récemment dans l'épisode de The Orville, aucune idée de ce qu'est une quarantaine, aucune idée de la virulence léthale des parasites et des virus tout à fait terrien par exemple en Afrique.

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