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Ghost In The Shell SAC S01E05: Le chant du rossignol (2002)

MessagePosté: Dim 21 Mai 2017 17:21
par Greenheart
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Ghost In The Shell: Stand Alone Complex S01E05: Manekidori wa Utau DECOY (2002)
Titre français : Le chant du rossignol mécanique ; マネキドリは謡う DECOY ; C: The Inviting Bird will Chant (Complexe : l'oiseau invité chantera).

Diffusé au Japon le 1er décembre 2002 sur ANIMAX JP.
Sorti en DVD français le 5 septembre 2006 (?) chez BEEZ.
Sorti en Blu-ray américain en deux coffrets le 21 juin 2011 : The Laughing Man et Individual Eleven (sépare la saison en épisodes stand alone et l'arc de l'homme qui rit).

De Kenji Kamiyama. Avec Atsuko Tanaka, Akio Ōtsuka, Kōichi Yamadera. D'après la bande dessinée de Masamune Shirow et l'adaptation anime de Mamoru Oshii.

Pour adultes et adolescents.

Japon. Le ministère de l’intérieur. Aramaki, le chef de la section 9 a été convoqué par le ministre, qui lui rappelle la gravité de la situation : la population est de plus en plus hostile envers la police suite à l’affaire des mouchards illégaux – et voilà qu’on profère en direct des menaces de mort envers le chef de la police ? Il en va désormais du prestige et de la crédibilité de l’ensemble des forces de l’ordre. Aramaki confirme. Le ministre lui demande alors de travailler de concert avec les forces de police déjà attelées à l’enquête – et de demander à Aramaki de faire preuve de retenue compte tenu de la situation déjà tendue. Et il insiste : de la retenue. Et Aramaki de répondre qu’il a bien compris la consigne.

Dehors, Batou et le Major Motoko Kusanagi attendent dans une voiture garée devant le ministère. Batou s’impatiente : cela fait trop longtemps à son goût que leur patron discute avec le ministre. Mais comme Kusanagi approuve, Arakami sort du bâtiment. Batou se met alors à rire de la tête que fait son patron : le ministre a dû lui passer un savon.

Arakami s’installe à l’arrière et Kusunagi demande si cela avait été désagréable. Arakami répond que pas vraiment – le ministre n’est qu’un représentant après tout. Le vrai problème serait plutôt la direction générale de la police qui réagit aussi lourdement qu’un éléphant suite aux menaces de mort proférées contre le préfet. Kusanagi demande alors ce qu’ils vont faire, eux, à la section 9 : regarder la télévision et compter les points ? Arakami répond que non : ils vont bosser comme des chiens et devront mériter leur salaire… Déclaration que Batou ponctue de deux aboiements.

S’en suit une réunion générale dans le bureau d’Aramaki. Il est 1 heure 23 de l’après-midi et nous sommes le 6 juin 2030. Aramaki commence : la veille au soir, un terroriste se faisant passer pour le Rieur s’est exprimé à la conférence de presse de la police alors que l’on n’avait plus aucune nouvelle de lui après six ans de silence. Pour Aramaki, cela ne peut-être qu’une mise en scène de la police elle-même. Batou proteste immédiatement : même si l’évènement a fait diversion de l’affaire des intercepteurs (mouchards), Aramaki va trop loin. Kusanagi renchérit : ce n’est pas le genre de leur patron de lancer des accusations en l’air – alors a-t-il au moins des preuves de ce qu’il avance ?

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