SeaQuest Police des Mers S01E01: être ou ne pas être (1993)

Les séries commencées entre 1991 et 2000.

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SeaQuest Police des Mers S01E01: être ou ne pas être (1993)

Messagepar Greenheart » Sam 12 Mar 2016 19:52

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SeaQuest DSV S01E01: To Be Or Not To Be (1993)
Traduction du titre original : La Quête en mer, Vaisseau d'exploration des profondeurs : être ou ne pas être.
Autre titre : SeaQuest, le gardien des océans.

Diffusé aux USA le 12 septembre 1993 sur NBC US.
Diffusé en France le 9 juillet 1995 sur TF1 FR.

Créé par Rockne S. O'Bannon (également scénariste), produit par Steven Spielberg ; avec Roy Scheider, Stephanie Beacham, Stacy Haiduk, Don Franklin, Jonathan Brandis, John D'Aquino, Royce D. Applegate, Ted Raimi, Marco Sanchez, Richard Herd, Shelley Hack.

Pour adultes et adolescents.

Le futur proche, dans l’Océan Atlantique Nord – la tranchée de Livingston, profondeur 1.700 pieds. Au bas d’une usine sous-marine illuminée a été planté un panneau affichant « Confed 12280, officiellement établi en 2016, interdit d’approcher », surmonté d’un squelette humain empalé. Un jeune homme – Bobby – pilotant un sous-marin de poche, supplie Jenny du poste de contrôle de la base sous-marine de lui ouvrir le plus vite possible le sas principal de la mine sous-marine car il est poursuivi. Bobby réussit de justesse à passer le sas, mais quand il rejoint le poste de contrôle, Jenny l’accuse d’avoir prospecté au-delà des limites de leur concession. Bobby réplique qu’il avait trouvé d’excellentes ressources en magnésium. Mais Jenny ne veut rien entendre : il y a déjà eu un accrochage ce matin, et selon elle la Confédération n’attend qu’un prétexte pour attaquer leur mine. Puis Jenny s’interrompt : dans son casque, elle entend les deux poursuivants de Bobby qui, s’en retournant vers leur base, réclament une intervention militaire.

L’équipage de la mine sous-marine s’est réuni devant l’écran de télévision diffusant les informations télévisées, et la présentatrice annonce que plusieurs sous-marins armés de la Confédération convergent désormais en direction de la tranchée de Livingstone. Jenny continue d’écouter les transmissions, et annonce que les vaisseaux de la Confédération n’attendent plus qu’un feu vert pour ouvrir le feu. Soudain, Bobby pointe l’écran radar, qui indique qu’un objet gigantesque remonte la tranchée de Livingston, mais selon Jenny, rien d’aussi gros n’existe, à l’exception du SeaQuest Deep Submergence Vehicule.

A l’extérieur de la mine, le SeaQuest DSV a rejoint les cinq sous-marins réunis. La capitaine du SeaQuest, Stark, ordonne l’armement des torpilles, mais son second, Jonathan Ford, objecte qu’il n’y a encore aucun feu vert du Commandement Nord-Pac. Stark est furieuse : le commandement ne comprend-il pas que la seule manière de garantir la paix est de montrer sa force ? Comme Ford insiste, Stark s’indigne : n’en a-t-il pas assez de ces jeux ? Le monde entier retient son souffle : ils ont la force et l’avantage, et ils peuvent mettre fin à cette folie une bonne fois pour toute – ils feront ce pour quoi ils se sont entraînés.

C’est alors que les ordres confirmés du Commandement Nord-Pac arrivent : ne pas ouvrir le feu. Le radio ajoute que les sous-marins ennemis reçoivent le même ordre. Stark jette un regard noir à Ford, puis se rend auprès de Philips, qui s’occupe des torpilles, et lui donne l’ordre de lancer la séquence de tir. Philips hésite, Stark insiste, Philips entre sa commande au clavier et une voix de synthèse annonce que les ogives thermo-nucléaires sont armés et demande la confirmation de l’autorisation. Stark ôte alors une chaînette à son cou au bout de laquelle se trouve une carte électronique, qu’elle insère dans le pupitre, et la voix de synthèse annonce la confirmation et l’autorisation de la mise à feu thermo-nucléaire. Stark enfonce une série de touche, qui font jaillir une manette, mais au moment où elle empoigne la manette, Ford la retient et la force à retirer sa main de la manette. Ford annonce alors à la capitaine Stark qu’il la relève de son commandement.
Treize mois plus tard, sur la base d’entraînement de Malibu (Californie) de l’Organisation des Océans Unis de la Terre, trois véhicules blindés entrent et s’arrêtent devant la première tente camouflée. Un soldat descend du troisième véhicule et fait sortir le Commandant Jonathan Ford pour le présenter à l’Admiral Royce, qui descend du second véhicule. Royce demande à Ford comment avance la reconversion du SeaQuest, et Ford répond qu’ils sont en avance de quelques jours sur les prévisions, et comme Royce demande à Ford s’il a hâte que le sous-marin retrouve la mer, Ford le confirme – six mois de cale sèche, c’est long. Royce explique alors qu’il y a eu de grandes pressions des politiques pour que trouver un capitaine ne fasse pas partie de l’armée à strictement parler, et il n’a trouvé qu’un seul homme qui remplisse toutes les conditions tout en ayant les qualifications pour ce poste, et capable d’ouvrir le feu si c’est nécessaire – mais il n’acceptera jamais une telle position. Et l’admiral tend un dossier à Ford qui l’ouvre et semble approuver le choix de Nathan Bridger : c’était l’un de ses héros.

Ford demande alors comment l’admiral peut-il penser que Bridger rempilera. Royce répond qu’il a servi vingt ans avec Bridger, et qu’une telle expérience ne vous quitte pas avec l’âge, et qu’il ne doute pas qu’il arrivera à impliquer Bridger. Seulement, il demande l’aide de Ford : Royce veut que Ford se montre arrogant et se fasse passer pour incompétent aux yeux de Bridger. Pour Royce, c’est sans doute le seul moyen de persuader Bridger qu’il doit prendre le commandement du SeaQuest. Royce refuse cependant d’entendre la réponse de Ford, car il doit se rendre ailleurs sans délai, et demande à Ford de ne pas le laisser tomber.

Royce débarque alors en hélicoptère sur une île paradisiaque quelque part dans les Caraïbes, interrompant la baignade de Bridger avec son dauphin favori. Le capitaine Bridger voit d’un très mauvais œil le débarquement militaire, et rejoint furtivement la petite délégation militaire qui s’est présentée à sa cabane, qui se trouve être équipée d’un laboratoire et d’une station d’observation informatisée. La jeune soldate à la tête de la délégation prétend le contacter au nom de l’Organisation des Océans Unis de la Terre, que Bridger prétend ne pas connaître. Comme la jeune soldate veut insister, Bridger lui répond qu’il n’est en aucun cas intéressé parce qu’elle essaie de lui vendre.

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