Le gentleman des antipodes, le téléfilm de 1976

Les séries commencées entre 1971 et 1980.

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Le gentleman des antipodes, le téléfilm de 1976

Messagepar Greenheart » Lun 12 Oct 2015 12:21

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Le gentleman des antipodes (1976)

Diffusé en France le 4 novembre 1976 sur ANTENNE 2.

De Boramy Tioulong ; sur un scénario de Christiane Lamorlette ; d'après le roman de Pierre Very ; avec Gilles Ségal, Marc Fayolle, Paul Le Person, Armand Mestral, Raymond Gérôme, Rosy Varte, Jean Saudray, Jean Martin, Francis Lax, Jean-Paul Zehnacker, Ginette Garcin, Nita Klein, Jean Obé, Hélène Calzarelli, Franck Cabot-David, Jean Laroquette.

Pour adultes et adolescents.

Nous sommes en hiver, à Paris. Des pigeons folâtrent dans un parc. Jugonde apporte le dossier de Florrichon à Maître Prosper Lepicq. Celui-ci ironise sur l’affaire lorsqu’ils sont interrompus par la sonnerie de la porte. Lepicq envoie son secrétaire ouvrir : l’homme insiste pour voir Lepicq, et Jugonde insiste pour en savoir plus. Mais lorsque l’homme aperçoit le portrait de Lepicq et reconnait l’avocat-criminologiste, il s’enfuit sur les quais de la Seine. Apprenant cela, Lepicq se met immédiatement à sa poursuite. Lepick file l’inconnu – croisant au passage une femme costumée en pigeon perchée sur un banc – jusqu’à l’entrée d’une cour intérieure, décorée d’étranges sculptures et fresques, où chantent des oiseaux exotiques. Par les vitres d’une véranda, Lepicq peut apercevoir l’inconnu – Jules Blot – enfiler une blouse blanche et se mettre à son travail de sculpteur. En revenant sur ses pas, Lepicq achète France Soir, dont l’un des gros titres concerne le crime du Jardin des Plantes, qui a eu lieu il y a déjà une semaine : selon le journal, l’auteur du crime, qualifié de « monstre », reste insaisissable ; un marchand de crêpe, Albert Cartier, 60 ans, a été sauvagement étranglé dans une allée, et les traces de griffes sur le cou de la victime seraient les seuls éléments dont dispose la Police pour mener son enquête.

Tandis qu’il lit son journal en marchant le long de l’allée, Lepicq est abordé par un grand moustachu, qui se présente comme le commissaire Fronsac, qui prétend remarquer son intérêt pour l’affaire, et le complimente pour sa carrière d’expert en Criminologie. Ils entrent ensemble dans la ménagerie du Jardin des Plantes – et croisent un albinos en gabardine, tandis que Fronsac souligne l’imagination des journalistes : le monstre serait un anthropopithèque à face bestiale aux griffes de félin à moins que cela ne soit des serres de rapace. Fronsac corrige : le meurtrier portait des gants, troué aux bouts, et ce sont ses ongles qui ont laissé les marques. La victime serait sans histoire, il n’y aurait aucun mobile : la caisse du marchand de crêpe était intacte, le portefeuille aussi. Selon Fronsac, ce serait la folie – un crime spontané. Mais Lepicq fait remarquer la précaution du meurtrier de porter des gants. Ils croisent ensuite une femme âgée blonde en pleurs, qu’un jeune homme réconforte, puis un homme qui parle à un aigle royal et lui reproche d’être mal luné, puis un unijambiste qui récupère sa béquille en sautillant jusqu’à un arbre.

Lepicq se rend ensuite à la boutique d’Emile Vigerie, l’homme qui parlait à l’aigle royal. La boutique est remplie d’animaux empaillés, avec une mezzanine donnant sur des rayonnages de vieux livres reliés. Une femme en robe interpelle Vigerie, exigeant de lui son tilleul, et l’appelle encore trois fois sans résultat, avant de s’en aller, furieuse, faute d’une réponse. Vigerie va ensuite refermer le rideau en fer de sa boutique, qui n’est autre que la boutique voisine de l’entrée de la cour du sculpteur Jules Blot. Celui-ci aperçoit alors Lepicq de sa véranda, et Lepicq entre pour lui parler.

Celui-ci lui montre les fenêtres de son voisin, Vigerie, où se tient une étrange réunion autour d’une flamme. Blot lui présente alors les différents membres de l’assemblée, s’aidant de caricatures qu’il a dessiné : Vigerie en aigle – le propriétaire de l’imeuble ; Choucard – un comédien ; le professeur Sainte-Rose, en poisson des grandes profondeurs – sa spécialité ; Abadis en Saint-Bernard, un ex dompteur mis à la retraite par l’une de ses panthères ; Bilig, étudiant vétérinaire, le loup, auquel Vigerie loue une chambre en échange de travaux de documentation, et qui s’intéresse à Colette, la fille de Vigerie, qui ne fait pas partie de la secte ; les sœurs Méline – la souris Agathe et la belette Juliette ; le préparateur de Vigerie, en grillon. Selon Blot, la secte se réunit plusieurs fois par mois : après l’assassinat de père Cartier, Blot s’est imaginé que le monstre du Jardin des Plantes était un demi-humain, et plus Blot regarder la tête des membres de la secte, plus il se disait que c’était peut-être des bêtes qui voulaient se venger des humains, alors Blot a couru chez Lepicq. Lepicq fait alors remarquer que tous les humains sont des animaux, cela se voit seulement plus ou moins. Quelque chose bouge alors dans la cour et ils sortent. Blot veut lui dire alors ce qu’il était venu lui dire ce jour-là, mais Lepicq refuse et demande à ce qu’il le lui dise plus tard.

Le lendemain, Lepicq entre dans la boutique de taxidermie de Vigerie, occupé à dicter une lettre sur la naturalisation de têtes, s’interrompt, et Lepicq prétend chercher un ouvrage sur les oiseaux de nuit. S’en suit un étrange dialogue de gestes, regards et postures comme entre deux oiseaux qui s’observeraient. Lepicq est alors admis dans les réunions de chez Vigerie : Lepick prétend travailler sur le passage de l’homme à l’animal, mais pour Vigerie, il n’y a pas de passage chez certains individus, mais un état. Et sous l’influence d’un champ magnétique, Vigerie prétend démontrer que le comportement du loup surgit en Billig – mais Billig a-t-il été un loup, ou bien le devient-il ?

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