Chapeau Melon... S04E02: Coeur à coeur (1965)

Les séries commencées entre 1961 et 1970.

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Chapeau Melon... S04E02: Coeur à coeur (1965)

Messagepar Greenheart » Sam 15 Oct 2016 13:37

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The Avengers S04E02: The Murder Market (1965)
Traduction du titre original : Le marché aux meurtres.

Noter que cet épisode est aussi numéroté S04E07 : l'épisode a d'abord été tourné en seconde position avec une autre actrice dans le rôle de Mme Peel.

Quatrième saison noir et blanc.
Diffusée en Angleterre le 13 novembre 1965 sur ITV1.
Diffusée en France le 11 avril 1967 ORTF 2 FR.
Sorti en blu-ray anglais région B coffret 7 BR (image excellente 1080p format original 1:33; anglais et allemand sous-titré anglais, LPCM 2.0 correct, nombreux bonus)
Sorti en coffret blu-ray français le 20 octobre 2015 (commentaires des épisodes manquants, petits problèmes de vitesse et de portions manquantes dans les versions françaises).

De Brian Clemens. Avec Patrick Macnee, Diana Rigg,

Pour adultes et adolescents.

Jonathan Stone, un gentleman distingué attend devant un aquarium. Comme il veut rajuster l’œillet qu’il a à la boutonnière, il le fait tomber et doit le ramasser. Arrive une jeune femme brune distinguée à toque et manteau fourré. Stone croit reconnaître une certaine Mademoiselle Wakefield, d’après la photographie qui lui a été remise. Il ajoute aussitôt un compliment : la demoiselle est bien plus belle en personne qu’en photo – et il commente que c’est tout le problème avec les rendez-vous arrangés : on ne sait jamais si l’on va se reconnaître l’un l’autre... Comme Mademoiselle Wakefield n’a encore rien dit, Stone sourit et demande ce qu’elle pense de lui à présent qu’elle peut le voir. Pour seule réponse, la jeune femme baisse les yeux et ouvre son sac, ce qui intrigue Stone – qui ouvre ensuite de grands yeux quand il la voit sortir un pistolet muni d’un silencieux, et braquer l’arme sur lui.

Au lieu de se jeter aussitôt sur la dame pour la désarmer, ce qui est l’évidence, Stone recule épouvanté, jusqu’à se retrouver dos à l’aquarium, enfreignant à nouveau deux règles de survie élémentaire : jamais dos au mur, toujours fuir dans la direction de l’attaquant côté du bras qui tient l’arme pour pouvoir bloquer et esquiver. Du coup, la dame a beau jeu de l’abattre à bout portant de trois balles qui traverse le corps de Stone. L’homme glisse à terre tandis que l’eau de l’aquarium s’échappe par les trois trous dans le verre.

Le lendemain matin, Mme Peel fait son entrée chez Steed, qui semble occuppé à tracer des courbes statistiques sur une grande feuille de papier placée sur un pupitre au milieu de son salon. Il lui souhaite le bonjour et lui offre de se servir un café. Ironiquement, Mme Peel remarque que Steed a toujours été un hôte parfait. Pour toute réponse, Steed égrène des nombres : neuf, dix, onze... Curieuse, Mme Steed s’approche, sa tasse de café à la main. Elle demande à Steed s’il parle de son emploi du temps, mais Steed répond qu’il parle de tracé. Mme Peel s’étonne : Steed ferait-il cela pour son comptable ? Pour un musée d’Art Moderne ? Ou cela pourrait-il être… ? Mme Peel fait pivoter le pupitre et pointe du doigt une ligne descendant brutalement… La côte de popularité de Steed ?

Steed explique : il s’interroge sur une situation plutôt curieuse – onze meurtres en six mois. Pas d’indices, pas de motif apparent, aucun suspect. Ou plus exactement, les gens qui avaient un mobile étaient comme par hasard ailleurs au moment du crime. Mme Peel demande s’il pourrait s’agir d’une coïncidence, mais les courbes statistiques dessinées par Steed prouvent le contraire : tout converge pour indiquer onze meurtres prémédités. Les chances d’une coïncidences seraient de… Mme Peel complète : 27 millions contre un. Comme Peel précise que c’est une approximation et qu’elle peut fournir des chiffres plus précises, Steed répond en souriant qu’une approximation au million le plus proche suffira.

Mais comme Mme Peel remarque que ce ne sont pas les mathématiques qui aideront à identifier le meurtrier, Steed lui amène une pile de photos, qui heureusement pourraient, elles, les aider : par un étrange hasard, toutes les victimes ont eu leur portrait photographique pris récemment chez le même studio de photographie. Et de montrer tout particulièrement à Mme Peel la photo d’un certain Jonathan Stone, la victime numéro onze.

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Ici la page de l'épisode du site dissolute.com avec tous les détails de production : http://www.dissolute.com.au/the-avenger ... arket.html

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