Civil War, le film de 2024

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Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Dim 31 Mar 2024 15:07

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Civil War (2024)
Traduction : Guerre civile.

Attention, ceci est un film de propagande toxique visant a faciliter la mise en place d'une dictature aux USA et en Europe s'affranchissant de tous les droits humains. Il vise à convaincre qu'une révolution dirigée contre cette dictature est à éviter à tout prix, quitte à se laisser exterminer, et bien sûr ne jamais faire condamner le révisionnisme, les désinformations officielles, les guerres illégales et les génocides perpétrés par les dictatures successives américaines, ceux qui les commanditent et ceux qui les soutiennent.

Sorti aux USA et en Angleterre le 12 avril 2024 (Ciné et Imax)
Sorti en France le 17 avril 2024.
Annoncé en blu-ray +dvd américain LIONSGATE US le 9 juillet 2024.
Annoncé en blu-ray +4K allemand LIONSGATE DE le 9 août 2024.
Annoncé en blu-ray + 4K français LIONSGATE FR le 23 août 2024.

De Alex Garland (également scénariste), avec Kirsten Dunst, Cailee Spaeny, Wagner Moura, Stephen McKinley Henderson, Nick Offerman.

Pour adultes.

(prospective, propagande démocrate toxique woke)

Un homme ressemblant vaguement à Donald Trup avec des cheveux blancs se râcle la gorge. Il est en costume cravate, semble sur le point de prendre la parole dans une conférence de presse mais la caméra a du mal à faire sa mise au point.

Dehors, un rang de policiers et militaires casqués, avec visière et boucliers, le visage masqué, semblent bloquer l’accès du capitole illuminée de nuit, à une foule tenant un drapeau américain étoilée au bord brûlé.

Le faux Donald Trup répète : « Nous sommes à présent plus proche que jamais de la victoire. Certains la qualifie déjà de la plus grande… victoire dans l’histoire de l’Humanité. » La production semble vraiment vouloir nous convaincre que le faux Trump a dû mal à croire à ce qu’il raconte : l’acteur répète plusieurs fois en hésitant et bavassant les deux mêmes phrases.

Pourtant, il aurait suffi de simplement bafouiller de manière complètement incohérente comme tant de fois le président Biden l’a fait à la télévision pour indiquer qu’il avait un problème mental grave, mais peut-être alors que les spectateurs auraient immédiatement reconnu le chef des Démocrates américain à la clarté de son énonciation et à la limpidité de son propos.

La production croyant fermement au conditionnement subliminal, le film n’a même pas commencé depuis deux minutes que le montage superpose une flaque de sang avec le sourire du faux Trump, qui cependant sous cet angle ressemble comme deux gouttes d’eau à Biden. Est-ce qu’on y vient ? Le réalisateur tenterait de donner le change pour ne pas finir pendu à la prochaine véritable révolution américaine ? Peine perdu : personne n’épargnerait un traître collabo se défendant avec du « et en même temps… »

« Aujourd’hui, je peux annoncer que les autoproclamées Forces de l’Ouest du Texas et de la Californie, ont souffert de grandes pertes, une grande défaites, des mains des hommes combattants et des femmes combattantes de l’Armée des Etats-Unis. »

Le discours présidentiel (selon la bande bleue sous l’image de l’écran plat) est retransmis dans une petite chambre à un étage assez élevé d’un hôtel dans une ville américaine non identifiée ; chambre occupée par une blonde (Lee).

« Le peuple du Texas et de la Californie doivent savoir qu’ils seront les bienvenus une fois de retour parmi ces Etats-Unis, aussitôt que leur gouvernement illégal sécessionniste sera déposé. Je peux aussi conformer que l’Allience de Floride a échoué dans sa tentative de forcer le peuple brave des Carolines à les rejoindre dans l’insurrection… »

La blonde s’est assise sur le lit tenant ce qui ressemble à un téléobjectif massif, à côté d’un appareil photo, d’un casque d’allure militaire, d’un sac à dos en treillis, tandis qu’elle-même semble avoir adopté un look qui la confond complètement avec un mercenaire quelconque : il ne lui manque que les insignes nazes et autres tatouages de l’armée Ukrainienne et hop, prête à aller tuer des russes, et n’importe quel autre population, de préférence civile et innocente, parce que c’est tellement plus facile et ça rapporte autant, sinon davantage.

De fait le téléobjectif massif que tient la blonde est effectivement vissé sur un second appareil photo dont la blonde se sert pour photographier son écran plat affichant le président des Etats désunis achevant son discours doublement propagandaire — dans le film et dans un film de propagande dans la présente réalité du spectateur.

« Citoyens de l’Amérique (NDT du Nord), nous sommes à présent plus proche que jamais de la victoire. Comme nous éliminons les poches finales de résistance, que Dieu vous bénisse tous (NDT sauf les rebelles) et que Dieu bénisse l’Amérique (NDT du Nord). »
Et à ces mots, les flammes d’une explosion apparaissent au loin dans le paysage nocturne de gratte-ciels illuminés sur lequel donne la fenêtre de la chambre d’hôtel de la blonde. Au son assourdi de la détonation — les doubles vitrages n’étant plus ce qu’ils étaient — la blonde détourne les yeux vers les lueurs de l’incendie, qui détone à nouveau. L’image de l’écran plat qui se reflète alors dans la vitre de la fenêtre tressaute.

Apparemment, la journaliste de guerre ne semble pas inquiète pour si peu, ni pressée d’enquêter que ce qui arrive pourtant tout près de son hôtel. Peut-être qu’il aurait fallu faire sauter l’hôtel comme les américains l’ont fait pour éliminer les journalistes d’investigation présent en Lybie, dont Tim Hetherington le 20 avril 2011, coréalisateur de Restrepo en 2010.

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La bande-annonce officielle HD : https://youtu.be/aDyQxtg0V2w

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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Dim 31 Mar 2024 21:06

Tous les feux étaient déjà à l'orange avant la bande-annonce en ce qui me concerne : une production A24 spécialiste de la propagande woke, les acteurs incarnant les héros spécialement recrutés pour représenter la diversité woke, l'actrice principale rompue aux daubes, le thème collant aux calomnies du parti de Biden tout en laissant planer le doute sur le fait que le film représentera l'actuel chaos qui règnent dans les grandes villes américaines à cause du parti de Biden ou accusera l'état profond (les services secrets, les ultra-riches) de faire aux USA et à sa population ce qu'ils font à la presque totalité du reste de la planète, en particulier les invasions illégales récentes des pays de l'OPEP et les pluies sans fin de drone sur des populations civiles ou le financement / orchestration de génocide.

Spoiler : :
Le réalisateur-scénariste insiste sur le fait que son film est "apolitique" alors qu'il véhicule strictement la propagande du parti Démocrate américain de Joe "nous avons un système imparable pour truquer les élections présidentielles" Biden, l'ami des cartels qui depuis des années fait circuler les documents tops secrets depuis son garage et sa voiture via son fils drogué protégé par des agences chapeauté par l'avocat le mieux payés des USA... par le parti communiste chinois, le président du parti qui invité (devant les caméras en direct alors sur toutes les chaînes, puis sur toutes les vidéos de surveillance longtemps gardées secrètes par le pouvoir) les manifestants quadrillés et poussés par les services secrets dans le Capitole et les a massacrés après, pour après prétendre qu'ils étaient des assassins et pousser de hauts cris de victimes, censurant à tout va et faisant virer les journalistes qui contestaient leur version.

Sûr que le film n'insistera pas sur le nouveau système imparable pour truquer les prochaines élections américaines en important des migrants par millions qui auront le droit de vote avec autant de cartes de crédits offertes pour tirer de l'argent public payés par les impôts tandis qu'on continuera à voter sans adresse, sans prouver son identité, et autant de fois qu'on voudra tant que Biden n'aura pas remporté les élections, comme à l'élection présidentielle précédente...

Pas plus que le film insistera sur le fait que l'administration Biden a déjà détourné via l'Ukraine plus d'argent dépensé pour toutes les guerres américaines d'après la seconde guerre mondiale, plus que dans toutes les guerres les plus récentes ciblant les pays de l'OPEP et les populations civiles pour leur piquer le pétrole et ressources minières, --- et que les juges dont les élections ont été payés par Soros veulent empêcher les citoyens américains d'être armés tout en autorisant les migrants illégaux à acheter armes et munition légalement aux USA, les mêmes juges refusant d'arrêter les bandes de pillards des grandes villes tout en condamnant Trump à des montants impossibles à payer quand il médit d'une prostituée ou quand un juge prétend évaluer seul la valeur d'un bien immobilier, évaluation personnelle qui est sa seule base d'incrimination, tandis qu'il se vante de revendre sous peu le même bien immobilier saisi à ses très riches amis.

Ne parlons même pas des vaccines qui ne vaccinent pas et de la vague d'incendies et d' "accidents industriels" qui ruinent l'économie et confortent le pouvoir des ultra-riches type Bill Gates et autres métastases. Ou sur le fait que les armes et munitions soit-disant envoyées à l'Ukraine se retrouvent entre les mains des cartels sud-américains de la drogue ou de la mouvance terroriste prétendue musulmane - ainsi qu'en France dans les fameuses zones de non-droits - et vous les voyez réellement en cours d'utilisation aux journaux télévisés français semaine après semaine.


Il y en aurait de quoi faire des films passionnants et édifiants, mais ceux-là, vous ne les verrez pas de si tôt.

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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Lun 1 Avr 2024 06:09

Le réalisateur annonce qu'il ne réalisera plus de films après celui-là et se consacrera à l'écriture de scénario, ce qui parait curieux quand on connait le respect des productions hollywoodiennes comme françaises vis à vis des scénarios. D'un autre côté, il n'a pas dit qu'il ne continuerait pas à être producteur, ce qui est le poste le plus astreignant et barbant pour un créatif, mais le seul qui permet d'avoir le pouvoir réel sur le résultat final d'un tournage.

Mais peut-être a-t-il un problème de santé qui lui aura fait perdre l'énergie nécessaire pour mener une équipe de tournage / production ? Il ne le mentionne pas en tout cas et personne n'enquête ou ne pose la question.
Spoiler : :
Avoir eu le covid par contagion naturelle ou par "vaccination" provoque habituellement ce genre de perte d'énergie, ou pire.


* Il pourrait bien sûr s'agir d'un coup publicitaire, il faudra voir s'il se tient à sa décision de ne plus réaliser quoi que ce soit tout le reste de sa vie durant (Alex Garland a 53 ans, Francis Ford Coppola a 84 ans et il vient d'achever Mégalopolis, une production indépendante à gros budget financée sur ses fonds personnels avec foultitude de stars.)

* il anticipe probablement un échec financier, Civil War est le plus gros budget du studio A24, une société qui doit son succès et ne jurait encore il y a peu que par des tous petits budget. Voir à propos de Beau Is Afraid la réponse à la question qui finance A24 et comment une telle société peut avoir les moyens de produire des films d'horreurs woke haineux racistes, et dans quel but politique, au service de qui exactement et d'où ils sortent leurs réalisateurs scénaristes d'ordinaire.

* il est très mauvais scénariste, son niveau d'écriture a toujours chuté et de beaucoup depuis son premier succès, 28 jours plus tard au scénario, et c'était une réalisation d'un autre dans une sorte de production où le récit pouvait être changé à n'importe quel point, par exemple au moins deux fins incompatibles ont été tournés de crainte que l'original ? soit haïe des spectateurs.

* son virage woke récent est aussi parlant que ses recours à l'ultraviolence quand il n'a pas fait ses devoirs et que ses scénarios ne tiennent pas la route.

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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Sam 13 Avr 2024 09:36

Civil War est seulement un véhicule propagandaire spécifiquement tourné pour l'année des élections présidentielles américaines, répétant et illustrant les "éléments de langage" du parti démocrate.

Les élections présidentielles américaines de 2024 seront grossièrement truquées comme les précédentes, donc le but n'est pas de convaincre le public que s'ils changent leurs dirigeants ce sera un "bain de sang" aux USA.

Le film vise seulement avec d'autres manipulations à rendre plausible une victoire de Biden, afin de pouvoir prétendre avoir convaincu les votants qu'un autre président n'apporterait que la guerre civile.

La réalité des élections présidentielles en cours est que n'importe qui peut voter autant de fois qu'il le veut, sans preuve de son identité, sans la nationalité du pays, avec un casier judiciaire de terroriste, tandis que s'ajouteront pour faire bonne mesure les mêmes tripatouillages informatiques des machines à voter qui votent toutes seules (à la précédente élection, connectée avec les trolls pirates ukrainiens employés par les démocrates) et les sacs de bulletins de vote par correspondance qui seront amenés et dépouillés en l'absence de tout contrôle.

Peut-être que cette fois les fraudeurs penseront à débrancher les caméras de surveillances et éviteront de laisser dans les machines les preuves des trucages.

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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Sam 13 Avr 2024 13:53

à nouveau, vidéo magistrale de Disparu analysant les critiques ultra-positives et incohérentes de Civil War par les "journalistes" des médias contrôlés par Black Rock et assimilés. Disparu remarque notamment qu'une majorité de critique s'étonne que le film n'attaque pas davantage les américains que les critiques en question n'aiment pas.

Il rappelle que les critiques américains sont en général obsédés par l'idée de dire au spectateur comment il doit penser, ce qu'il doit ressentir en voyant le film, au lieu de le laisser se faire une opinion, qu'il y a obligation de choisir un camp. Et si les critiques pensent cela, les studios d'Hollywood en sont encore davantage persuadés.

Il cite un article qui prétend que la réplique la plus intelligente du film serait que les USA ne sont qu'une question de races, ce à quoi Disparu répond immédiatement que si les USA n'étaient qu'une question de race, il suffirait de regarder quelqu'un pour être fixé sur quoi penser de lui, et suppose que si c'est bien la réplique la plus intelligente du film, le film lui-même doit être abominable.



Civil War Critics Reviews INSANE Rants Hate Not Being Pandered Too : https://youtu.be/IPA0gg2i-j4

Traduction du titre de la vidéo : dénonciations insensées des critiques donnant leur avis sur le film Civil War et haïssant ne pas être assez racolés.
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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Dim 26 Mai 2024 17:23

Pour avoir eu la chance de parler avec un vrai journaliste d'investigation et d'avoir visionner des films de vrais journalistes d'investigation ainsi que leurs interviews, sans oublier des reportages de guerre et guerre civile depuis plus de trente années d'existence attentive à l'actualité et la communication (pathologique ou saine) des médias, politiques et fonctionnaires, je peux garantir que :

* Les personnages mis en scène ne se comportent pas comme des vrais journalistes d'investigation ; ce sont des clichés au service de la propagande véhiculée par le film, son studio, les financiers de ce studio. L'héroïne déclare à un point : "nous sommes journalistes, nous photographions et c'est tout." Un bien curieux point de vue qui là encore s'explique seulement pour ne pas avoir à montrer la réalité, qui irait à rebours de la propagnde.

* La production ignore la réalité de la physique, de la biologie et de la perception des évènements décrit : la seconde scène montre l'héroïne à proximité immédiate d'un attentat, ses oreilles ne sifflent pas, le souffle fait bouger ni sa coiffure, ni ses vêtements, la surpression ne lui occasionne aucun dommage mineur des zones pourtant très sensibles à ce genre d'évènement, en particulier quand on n'a pas la bouche ouverte au moment de l'explosion. Absolument personne ne semble avoir d'authentique symptôme de stress post-traumatique ou immédiats-traumatiques, et je ne parle pas de vaguement trembler en tardant à se relever.

* La "journaliste" ne vérifie rien, n'enquête pas, elle va du point A au point B prévu dans le scénario, itou pour ses collègues. Leur idée de décrocher l'interview du président est simplement inepte, tout comme leur comportement : par exemple ils s'arrêtent dans une station service sur le qui-vive, la cadette déjà embarqué juste comme ça, veut aller voir quelque chose, et elle y va, comme ça. Il s'agit clairement d'un prétexte pour enquiller des scènes de violences supposées dans un décor reconnaissable américain, accusant les propres citoyens américains de se montrer violent pour se défendre eux-mêmes en cas de guerre, et faire davantage passer les citoyens américains en général pour des fachos timbrés : je mets au défie qui conque de ne pas régler leur compte à qui les pille ou les menace supposément. Et tout ce qui choque la fille c'est qu'elle n'a pas pris de photo.

* Le scénario ne donne aucune explication alors que nous suivons des journalistes censés avoir un point de vue et une expérience des questions qu'ils traitent, et être particulièrement bavard. Il n'existe pas de journalistes neutres quand il s'agit de leur expression à eux, car nous ne parlons pas de journalistes qui veulent donner la parole à des témoins dans leur film : la parole est monopolisée par la propagande et surtout les scénaristes ont peur de "se couper"

* Le film mélange des photos ou des vidéos inspirées d'exaction qui n'ont rien à voir avec une guerre civile future aux USA, peu importe contre Trump ou un autre : par exemple il montre une reconstitution de lynchage avec un noir prisonnier d'un pneu incendié : ces images existent dans la réalité, ces lynchages étant toujours causés par des criminels qui accusent leur victime de crimes alors qu'en général ce sont les auteurs du lynchage qui ont d'abord commis un délit ou un crime. Par exemple : une bande dans un pays africain avait

* dialogues ineptes, probablement pour jouer la montre, faire semblant que les personnages sont autres choses que des marionnettes mais c'est raté : "Vous êtes en colère contre moi, dit la jeunette colle au cul de la blondasse (Lee) . Juste après " (à Lee) tu crois que tu es dure avec elle alors que tu es dure avoir toi-même".

La réponse honnête à la première question aurait été "oui, je suis en colère parce que tu nous mets en danger, maintenant dégage parce que j'ai réellement envie de survivre jusqu'à l'interview du président." Mais Lee n'étant qu'une marionnette de propagande, elle n'a pas réellement envie de quoi que ce soit, et elle n'a aucun des réflexes, aucune lucidité propres aux véritables journalistes d'investigation ou aux "documentalistes" tels Snowden et Assange, etc.

La réponse honnête à la seconde insinuation, qui relève d'un jeu de manipulation "je sais mieux que toi ce que tu penses / tu ressens / ce qui est bon pour toi etc." aurait été : "C'est ça que tu appelles être dur avec quelqu'un ?"

Plus tard une vague tentative de gagner des points DEI en esquissant une romance entre la jeunette embarquée seulement pour cette raison au début du film et Lee.

Et le prétexte : "si on ne va pas jusqu'au bout (de ce que le scénario a prévu) machin sera mort pour rien." Dans la réalité, un bon journaliste c'est comme un bon secouriste: c'est quelqu'un qui reste en vie et qui évite de passer ses nerfs sur les autres, et qui tient ses nerfs quand il rencontre des inconnus nerveux.

* Les scènes d'action : les journalistes ont l'air d'amateurs jouant dans un grandeur nature urbain. Un personnage est blessé par balle, balle qui ne traverse pas alors que forcément elle aurait traversé. Le premier soin consiste à placer un bandage après avoir montré à la caméra que la blessure giclait fortement, donc hémorragie artérielle qui étonnamment se fait par l'extérieur au lieu de vider le sang à l'intérieur. Si l'hémorragie est externe, c'est plutôt une chance, encore faudrait-il plaquer immédiatement le bon équipement de secouriste et bander autour du ventre pour maintenir en place le bloc pressurisant l'artère endommagé. Sauf que je ne vois pas contre quoi l'artère pourrait bien être pressée vu la position de la blessure et la simple compresse posée. Et clairement vu combien de temps le soignant a laissé gicler, il y aurait dû avoir une mare de sang autour du blessé avant la fin du plan.

Autrement dit, la production ne sait rien de la réalité d'une guerre ou d'un accident, et comme n'importe quel tournage est censé avoir une équipe de secourisme, surtout quand on manipule de prétendues armes de combat et que les gens se jettent à terre, personne ne s'est donné la peine de demander son avis aux secouristes présents sur le tournage.

Ou alors la production prend les spectateurs pour des c.ns et fait mumuse pour échapper à une interdiction qui limiterait le nombre d'entrées. Tout en se prétendant raconter sérieusement et d'autorité une guerre civile aux USA ou ailleurs.

* il y a quelque chose de fondamentalement dérangeant de vidéo-cliper des exécutions avec du rap caractérisant clairement une communauté afro-américaine, tout comme il était déjà dérangeant de mêler des vidéos singeant des lynchages criminels dans des pays africains en prétendant qu'il s'agit d'une guerre civile américaine contre Trump, ou des images d'émeutes très semblables aux exactions en France contre les manifestations légitimes pacifiques sous Sarkozy, Hollande et Macron, en partie celles des gilets jaunes. Dans le moins pire des cas, c'est du voyeurisme et de la manipulation grossière destinée à bloquer le cerveau du spectateur à coup d'ultra-violence.

L'explication est toute simple : quand il arrive à court d'idées, Alex Garland recourt à l'ultraviolence, peu importe le genre du film : il mettrait du slasher horrifique au coup de mou du genou des deux-tiers d'une romance à l'eau de rose ou d'un dessin animé pour tout petit, le sujet ou la réalité des situations qu'il prétend raconter ne compte pas.

* Ils sont arrêtés par un cadavre frais ensanglanté au milieu de la route : "Tu vois quelque chose ? Je ne vois rien alors je vais avancer." (sic).

* à un point du film ils sont rejoint par un autre journaliste qui ne sert qu'à se faire descendre à la scène suivante. Là encore le comportement des héros et du "journaliste" (de Hong Kong) n'est ni professionnel, ni expérimenté : comment auraient-ils survécus jusque là s'ils sont censés être journaliste de guerre ?

Et la scène (dans la bande-annonce) est exactement ce qu'elle paraissait être : raciste anti-blanc blond, comme si tous les jours il n'y avait pas des exécutions sommaires d'étrangers ou de n'importe qui par toutes les couleurs de cheveux, de peau et toutes nationalités et dans tous les milieux criminels, surtout que le même réalisateur a inclus des échantillons des cas d'ultra-violence les plus fréquents, et ils ne sont pas occidentaux, enfin pas encore, parce que c'est vers quoi ce film et nos élites poussent à fond, à fond en maximisant la misère, l'inflation, l'immigration combinés à l'injustice et la destruction de l'instruction, de la sécurité sociale, etc.

* Alex Garland se prend à certain moment pour Coppola, si Coppola avait remplacé la Chevauchée des Walkyrie par une balade country sirupeuse. Bien pratique en tout cas pour ne plus avoir à écrire de dialogue en se contentant de juxtaposer histoire de faire diversion et endormir le spectateur. Et cette fine équipe qui a été mitraillée n'a pas songé à vérifier que les passagers du véhicules n'avaient pas été blessés lors de la mitraille ? Professionnel du reportage de guerre qu'ils disaient.

* Nous voyons tous les jours des images de drones qui repèrent et éliminent des cibles, militaires comme civiles, et à aucun moment les héros ne sont repérés ou ciblés par drones, pas plus que d'autres protagonistes au point où j'en suis. Il y a pourtant des scènes du film à l'évidence filmée par des drones, mais ils ne font pas partie de l'histoire, ils sont seulement là pour faire joli et présenter un point de vue de caméra impossible dans le récit car aucun journaliste ne flotte à cette hauteur pour rendre compte de ce qui se passe.

La scène de guerre urbaine à ce point (1h25 ?) pose d'ailleurs d'autres questions, à nouveau de réalisme et d'expérience, sachant que nous avons tous accès à des reportages voire les vidéos de formation en ligne, et jusqu'à un certain point à des images d'actualité pas encore générés par Intelligence Artificielle ou jeu vidéo, même si souvent leurs commentaires sont faux et visent à détourner l'attention du spectateur de la réalité de ce qu'il voix.

* Le final est un concours d'amateurisme : pourquoi les forces de l'Ouest se contenteraient de mitrailler / bloquer les véhicules blindés qui sortent sans investir immédiatement la maison blanche ? Pourquoi laisser des journalistes y aller avant eux ? Depuis quand une carte de presse officielle émise par le gouvernement des Etats-Unis qu'ils combattent vaudrait carte blanche pour aller où ils veulent alors qu'ils n'ont même pas été fouillés : ils pourraient être armés et tirer dans le dos des soldats de l'Ouest. Au minimum, les journalistes auraient dû être "mis en sécurité" aka emprisonnés quelque part, loin de la maison blanche et du feu. Des gens qui abattent tous les autres civils sans sommation n'ont aucune raison de ne pas faire de même avec les héros, quand bien même ceux-ci feraient un concours de pose woke.

* Pourquoi s'embêter à tourner tout ça: la production aurait tout aussi bien pu filmer les pillages actuels à New-York, les magasins mis à sacs, n'importe quelle attaque au couteau en France comme aux USA, les règlements de compte des zones de non-droit et les convoyeurs de prisonniers abattus avec la complicité de l'administration car il était impossible sinon d'attendre le convoi au bon endroit etc.

Spoiler : :
* à la fin, l'héroïne Lee se fait descendre, et on s'en fiche autant que pour les deux journalistes précédents, ou s'ils tuaient tous les autres (encore possible) : pourquoi Lee, censée avoir de l'expérience, reste planté debout parfaitement exposée immobile alors que ça tiraille depuis le début.

Et bien sûr le faux Trump est tué à la fin sommairement sur une joyeuse musiquette à boite à rythme et suive des images de soldats souriant posant avec le cadavre, à la manière israëlienne et ukrainienne vue et revue sur les réseaux sociaux à longueur de l'année 2023 et 2024. Curieusement, le faux Trump a beau avoir été plusieurs fois percé de balle au milieu du torse sa chemise est restée blanche, et il ne s'est pas fait dessus dans le quart d'heure.

Rappelons enfin que dans les guerres civiles ou invasions très nombreuses orchestrées par les USA, l'Angleterre, la France et leurs marionnettistes, les dirigeants des pays "civilement en guerre" (ou "incivilement" finissent en général exécutés sommairement (Chili, Irak, Libye). La production semble approuvée, mais c'est encore une fois un crime de guerre, une violation du droit international et des droits humains, et ça n'arrange que les marionnettistes : avec le type abattu disparaît aussi un témoin gênant, et presque toujours on s'aperçoit que le vainqueur et le pire des dictateurs ou le seul authentique démocrate et protecteur des droits de ses citoyens était sponsorisé par strictement les mêmes ultra-riches trafiquants d'armes et raffolant de jeunettes / jeunets mineures.


*

En conclusion, comme je le craignais, Civil War est un film de propagande démocrate torché par Garland qui n'a jamais écrit aussi mal, mais dont le niveau d'écriture aura baissé en continu depuis ses débuts -- cela tombe bien, il compte se consacrer à l'écriture, sans doute en collant son nom sur du plagiat automatisé façon Chat GPT ?

Comme je suis apparemment resté très naïf, le film est pire que ce que j'avais d'abord supposé en analysant la bande-annonce et les retours. Il est surtout mauvais si l'on se contente du point de vue cinéma, intellectuellement corrompu si on a gardé contact avec la réalité de notre époque, et complètement inepte du point de vue de ses personnages et des évènements décrits, ou des évènements réels dont il est censé s'inspirer et dont il détourne à l'occasion des images.

N'oublions pas le studio A23 dont la ligne éditoriale apparaît on ne peut plus clairement : ce sont les vecteurs des propagandes les plus abjectes du moment, non seulement toxiques mais entièrement dédiée à nuire à leur spectateur à court, moyen et long terme, si tant est que les USA comme l'Europe aient encore un long terme au point où ils en sont de leur noyautage par des agents de leur destruction qui ne se cachent même pas dans leurs propos et quant à qui ils rendent des comptes.

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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Mar 28 Mai 2024 04:41

Dans la nuit suivante, j'ai réalisé que Civil War suit la même progression des images violentes qu'une vidéo d'exécution de l'Etat Ilamique qui à l'époque montait des images de films d'action américain pour enchaîner des exécutions réelles de civils qui n'avaient été possible que parce que la France et les USA avaient obtenus le droit d'exfiltrer les terroristes de la ville à l'époque assiégée par les forces syriennes et russe.

En effet, après la présentation et repos du cerveau, il ne vous restera que la succession des exécutions se terminant par l'exécution du sosie de Trump, présentée comme légitime, tandis qu'en parallèle, le scénario et les dialogues sont vides de toute explication, de tout argument, de tout point de vue légal ou de toute référence historique factuelle réelle et vérifiable par le spectateur. Le film est donc seulement un instrument de conditionnement, et non de réflexion, débat ou d'anticipation alors que c'est ce que ce film prétend être, c'est ainsi qu'il est présenté par sa production et les critiques très serviles de ces dernières années.

Cela me paraît que Civil War, loin d'être le film "neutre" vanté par son réalisateur / scénariste est d'abord une incitation plus ou moins subliminale à assassiner Trump ou n'importe quel opposant à l'ordre planétaire acté par Biden (Trudeau / Macron et toutes les autres marionnettes du Forum Economique Mondiale aka Israël et la Chine) dès lors qu'il serait légitimement élu (ce qui est apparemment le cas dans Civil War).

*

Spoiler : :
En ce qui me concerne, c'est un début de preuve que Civil War est un travail de commande, voire une fabrication à fin de manipulation du public occidental, par les mêmes agences qui ont fabriqués les vidéos de propagande de l'époque de l'attaque de la Syrie par les USA et l'Europe à travers l'état ilamique, et du pillage simultané de ses champs pétroliers par les USA comme dans toutes les guerres illégales menées depuis l'invasion de l'Irak contre les pays de l'OPEP dans la région. Alex Garland n'est probablement un exécutant, et pour le scénario et le montage possiblement un prête-nom, effectuant un travail de commande pour le compte des mêmes qui orchestrent tant de guerres civils, coups d'état et invasions à travers le monde pour piller et accroître une misère facilitant la mise en place d'une dictature planétaire à la chinoise.

...à l'époque le journaliste qui avait décrit le montage de la vidéo de propagande ilamiste à laquelle je fais référence --- s'était étonné que le monteur ilamiste connaisse aussi bien le cinéma récent américain pour retrouver les séquences en question et les monter de manière à ce que l'on puisse croire qu'il s'agissait d'images réelles s'enchaînant à l'exécution, et du professionnalisme hollywoodien de la colorimétrie et du montage. Cette vidéo n'avait pu être diffusée que parce que les français fournissaient l'internet à l'état ilamiste, et que le gouvernement français laissait financer via Lafarge l'état ilamiste, dont la France fournissait également l'essentiel des armes et des combattants sous Hollande. Il était également officiel qu'Hillary Clinton siégeait au conseil d'administration de Lafarge avec deux saoudiens et c'est également Lafarge qui s'est avérée financer par la suite la Fondation Clinton.

Hillary Clinton fut ensuite mise en cause pour avoir violé le droit américain en refusant de remettre ses SMS au parlement américain comme sa fonction l'exigeait. Elle est réputé avoir détruit elle-même ses téléphones portables à coups de marteau. Puis, après de nouveau wikileaks, son stagiaire américain a été abattu selon un mode opératoire commun à beaucoup de lanceurs d'alerte américain, où la victime est censée avoir été abattue par un voleur, qui aura à chaque fois oublié de voler sa victime. Ce genre d'affaire a conduit des internautes à tenir une longue liste des collaborateurs et proches des Clinton morts dans des circonstances suspectes, qui continue de s'allonger régulièrement.

Plus tard, l'armée américaine avait dû reconnaître que les vidéos d'Al kada trouvée les années précédentes étaient en réalité produite par une agence de communication anglaise et déposée par l'armée américaine elle-même pour faire croire qu'il s'agissait de documents produits par les terroristes eux-mêmes. Le fait était suspecté depuis des années , il a été transposé comme intrigue principale du film Marvel Iron Man III.
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Re: Civil War, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Jeu 30 Mai 2024 07:05

Eh bien il n'aura pas fallu longtemps pour que le storytelling (la narration d'avance manipulative) fasse le service après-vente du film Civil War --- très probablement des trolls utilisant des intelligences artificielles pour générer des discussions qui prêtent réalité à des discussions et des opinions qui ne sont pas celles de citoyens ordinaires.

Un second début de preuve que Civil War n'est pas un vrai film mais un élément d'une opération de manipulation psychologique visant à prétendre qu'une guerre civile provoquée par les Démocrates,
Spoiler : :
pantins de Black Rock / Israël / la Chine est vraisemblable aux USA...

...tandis qu'il est prouvé devant commission que les Démocrates font massivement entrer des migrants illégaux tandis qu'Obama lui-même déclare qu'ils auront droit de vote, ces migrants étant en partie des criminels se ventant de pouvoir chasser les américains de leurs maisons et les attaquant à leur arrivée aux USA devant caméras, pillant New-York devant caméras, des militaires chinois suivant un parcours différents des USA et plus sûr d'entrée aux USA sachant d'avance où ils logeront, et des terroristes déjà condamnés ainsi que des membres de Cartel sud-américain entrant avec l'arme au poing - filmés et référencés.


Cette technique de manipulation de l'actualité est constamment répétée, avec la particularité ces derniers temps d'être couplée à un film anticipant un attentat, une catastrophe ou une guerre, en particulier sur Netflix deux fois de suite récemment. En revanche, les films illustrant les propos et les actes de Bill Gates, Black Rock, le Forum Economique Mondial, la Chine, l'OMS sont eux invisibles -- jamais financés, jamais ou quasiment pas diffusés alors qu'ils feraient tous d'excellent thrillers / cyberpunk /dystopie prospective.

Et les nouvelles ou romans à succès qui avaient anticipés ou qui ont inspiré ces stratagèmes en vue d'une dictature planétaire ne sont toujours pas adaptées (fidèlement).

Leftists Threaten CIVIL WAR, If Trump Is Elected, Vow To HUNT MAGA Down, UNHINGED Posts On Reddit : https://youtu.be/IE2gHiUTIq0
Les gauchos menacent (les électeurs) de guerre civile si Trum est élu (légitimement), jurent de pourchasser et abattre ceux qui pensent qu'il faut rendre leur gloire aux USA, des messages sans retenu sur Reddit.

Reddit est un réseau social contrôlé par Condé Nast (Black Rock) et servant à dresser des Intelligences Artificielles à manipuler les citoyens ; les intelligences artificielles délirent d'ailleurs de plus en plus parce qu'elles sont nourri avec les délires manipulateurs d'autres intelligences artificielles.
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