De Drew Hancock (également scénariste) ; avec Sophie Thatcher, Jack Quaid, Lukas Gage, Megan Suri, Harvey Guillén, Rupert Friend.
Pour adultes ?
(Slasher, robot psychopathe, woke, violent, potentiellement propagandaire toxique, presse) La plupart du temps c’est comme… je ne sais pas, ce grand nuage noir épais qui recouvre tout : nous voyons le monde, mais nous ne le voyons pas vraiment, vous voyez ? Nous sommes juste tous à tituber autour, sans but, sans savoir, sans raison.
Une jeune femme brune en petite robe d’été bleu ciel avance entre deux gondoles de supérette chargées de produits alimentaires. Elle pousse devant elle en souriant un chariot métallique vide ; choisit un paquet de pâtes spaghetti et le dépose dans son chariot.
Je sais que ça sonne super-dépressive mais honnêtement je pense que c’est une bonne chose. Parce que cela nous oblige à apprécier les autres moments, brefs, transcendants, quand un rayon de lumière filtre, que les nuages noirs s’écartent, et que vous pouvez enfin voir le monde tel qu’il est vraiment.
Elle prend une pêche dans un étal, la porte à son nez pour en humer l’arôme, puis croise le regard d’un jeune homme bouclé qui la regardait et détourne précipitamment ses yeux pour rougir vivement. Elle repose la pêche, sourit et rougit à son tour.
Et soudain, le monde fait sens…
Le jeune homme lui sourit en retour, baisse les yeux de nouveau, soupire bruyamment.
Soudain vous avez une raison.
Le jeune homme contourne l’étal d’oranges pour aller vers elle en souriant, puis commence : « Alors… » Mais il heurte de la hanche le coin de l’étal, et les oranges dégringolent à ses pieds : « Oh, m.rde, m.rde, m.rde ! » tandis qu’il tente de retenir en vain les fruits qui roulent au sol.
Il relève la tête, tout rouge, et la jeune femme semble interdite. Puis elle éclate de rire et lui aussi.
Si vous avez de la chance, vous éprouverez cela une seule fois dans toute votre vie. C’est arrivé deux fois. La première fois, c’est quand j’ai rencontré Josh. Et la seconde fois, le jour où je l’ai tué.
La production a jusqu'ici menti sur le synopsis et le genre du film. Avec la bande-annonce, nouvelle version, c'est un slasher à l'air connu sur un mode woke :
Allez, faisons une hypothèse décalquée sur tout ce que Hollywood aka Black Rock sort en ce moment : le méchant mâle blanc toxique qui pirate la pauvre wokette androide ce qui justifiera qu'elle tue tous les mâles blancs ?
Si Jack Quaid n'avait pas déjà servi la propagande (politique) dans les promotions de The Boy, et dans Star Trek Lower Deck / (not) Strange (not) New (not) Worlds, je lui aurais facilement laissé le bénéfice du doute, mais pas question aujourd'hui.
Pour la promotion du film l'acteur prétend que le scénario est imprévisible, alors que pour l'instant, une fois la censure levée, il semble recombiner (probablement via Chat GPT) les récents Subservience 2024, M3gan 2022 et le moins récent Ex-Machina 2014 de Alex Slasher Gardland où un inventeur prétend prouver l'intelligence artificielle par son propre assassinat après l'avoir torturée et séquestrée à l'infini, ce qui, au cas où vous seriez complètement lavé du cerveau par la propagande actuelle, ne prouve pas l'intelligence artificielle mais la psychopathie profonde.
Le film s'inscrit à ce jour et en l'état des informations dont je dispose, dans ce cycle de récits animés très fauchés qui pullule sur nos écrans peu importe le format film ou série : des récits qui avec peu d'acteurs et une production minimale sachant esbrouffer, qui cherche à gagner vos sous et surtout vous faire perdre votre temps en ayant déjà été payé par vos pires ennemis pour enfoncer de la propagande de votre tête et celle de vos proches au point de vous faire déprimer à mort pour mieux vous livrer à la barbarie.
Si tel n'est pas le cas, nous le saurons bien assez tôt, aussi ne vous pressez pas et ouvrez plutôt de bons bouquins d'avant 2016
Fidèle à sa mission de propagande, Unificationfrance célèbre le meurtre par un robot d'un être humain, du moment que c'est un mâle blanc.
...ça commence fort en première page avec le sommaire du jour. ... on ne peut pas copier coller le texte alors v'là la capture.
la transcription du texte de la capture, parce qu'on ne sait jamais :
10/01/2025 à 13H00 Par Olivier T. Companion : la bande annonce du sexbot vengeur. une histoire d'amour d'un tout nouveau genre, avec une dose de science-fiction et d'horreur alors qu'un sex-box se venge.
* Ce n'est pas une histoire d'amour : pour s'aimer il faut être vivant et vouloir rester le plus longtemps possible auprès de qui on aime. Les crimes dits passionnels ne sont pas de l'amour mais de la haine, le sentiment opposé, la jalousie n'est pas de l'amour mais de la possessivité psychopathe dès que l'objet est un être vivant, idem pour qui croit que la personne qui vous aime ou celle que vous aimez vous appartient comme une chose ou que vous avez le moindre droit sur lui ou elle, y compris un droit au respect ou je ne sais quel mot creux ou frauduleux quand on ne tient pas compte du contexte réel de l'affaire, en particulier lorsqu'on tripatouille la ponctuation, c'est-à-dire qui a fait ou dit quoi dans quel ordre, ou que le récit (le narratif) est paradoxal, c'est-à-dire incohérent, donc faux et manipulateur.
* Par définition, une machine n'est pas vivante : la conscience a pour première condition d'existence que l'être en question soit vivant. La définition du vivant est la capacité à se reproduire sexuellement, mais ce n'est pas une condition suffisante pour produire une conscience à échelle humaine ; par définition avoir une conscience c'est respecter la vie en générale et ne pas chercher à manipuler le reste du monde de manière répétée, aka ne pas être une fraude et une menace pour l'Humanité à quelque échelle que ce soit.
* Le meurtre ou tout dommage à un être vivant ne se justifie que par la légitime défense, entendue largement, c'est-à-dire la nécessité absolue pour un individu ou une communauté ou l'Humanité toute entière de stopper les corps des individus qui menacent sciemment et pour en profiter sa survie ou sa prospérité de manière immédiate ou à n'importe quel terme. Contrairement à ce que nos médias et l'école essaie de nous faire croire, la Déclaration des Droits Humains ôte tout droit humain à quiconque prétend se servir de ses droits humains, par exemple celui de continuer à vivre, pour supprimer les droits des autres êtres humains, (leur droit de continuer à vivre dignement, posséder leurs biens, vivre sur une planète saine et durable etc.). Une machine n'a pas de légitime défense et certainement pas vis à vis d'un autre être vivant, en particulier humain. La légitime défense découle en effet des droits humains, pas des droits des machines ou des ultra-riches qui les font fabriquer pour exploiter les autres êtres vivants ou les tuer.
* se réjouir de la mort d'un être vivant est basiquement psychopathe. Si cet être vivant est un trafiquant de drogue même s'étant déguisé en femme pour échapper à sa peine et à ses rivaux, si c'est un empoisonneur de masse, un profiteur de guerre, un criminel de guerre, un violeur etc. on ne se réjouit pas de sa mort mais d'avoir la certitude que, considérant le seul corps du meurtrier / mutilateur / empoisonneur / Violeur, ce corps cessera de nuire au reste du monde par mort cellulaire, et s'il n'a eu aucun moyen de reproduire sa stratégie de conquête du pouvoir à travers ses enfants ou n'importe quel autre individu qu'il aura manipulé par son influence et ses complices.
Spoiler : :
...et oui, les femmes commettent tous ces crimes autant que les hommes, et peuvent par leur biologique en commettre davantage et de bien pires : après tous, tous les tueurs en série, massacreurs et batteurs d'épouse sont bien sorti du ventre de leur mère et ont forcément été élevé par des femmes, en tout cas en Occident et à travers l'Histoire entière de l'Humanité). Notre justice et nos médias et nos puissants n'ont jamais cessé de cacher la réalité de la reproduction des crimes et des violences, et de la misère, et des guerres, parce qu'ils en profitent et que ce n'est pas dans leur intérêt de laisser la population réaliser à quel point cette clique est compromise et complice, cf. encore l'affaire récente des viols de masse des mafias Pakistanaises, qui ne touchent pas que les petites filles blanches et asiatiques, mais également tous jeunes garçons que leurs brouteurs atteignent par internet.
* Il ne s'agit pas d'une histoire d'amour d'un nouveau genre : les robots psychopathes sont une scie des récits de la Science-fiction depuis les précurseurs, en fait dès Frankenstein de Mary Shelley qui raconte la vengeance d'un golem de chair aka un être vivant, pas un robot, même pas un zombie envers son maître, essentiellement motivée par l'indigestion de son autrice après un pari entre écrivains sur qui écrirait une histoire horrifique la plus convaincante, un tel cahier de charge tendant à limiter la pertinence philosophique et l'humanité du récit d'exploitation qui en résultera forcément.
Dieu ayant bon dos, Mary Shelley justifiera les crimes en séries voyeuristes de la Créature par le fait qu'elle ne soit pas née conformément à la volonté de "Dieu", ce qui dans un récit de pure fantasy peut tenir, mais pas dans la réalité, car encore faudrait-il pouvoir faire venir témoigner physiquement Dieu à la barre pour expliciter sa propre volonté, et le faire justifier qu'il interdise à un savant de créer un golem, alors qu'il aura autorisé le Rabbin Loess à faire de même à Prague, de la seule volonté du Rabbin en question, par légitime défense et avec très vite la présence d'esprit du rabbin de cesser l'expérience compte tenu de la certitude que le golem bête comme ses pieds et obéissant à la première ploucque venue finirait par tuer quelqu'un ou pire, au lieu de seulement repousser les psychopathes qui attaquaient les innocents de sa communauté.
Pour se venger, il faut avoir subi un tort et vouloir le faire payer au responsable : si la sex-bot suppose qu'être reprogrammée lui cause un tort, d'abord ce n'est pas elle qui se venge ou qui est la cause de la violence, c'est l'auteur du programme initial qui a inclus des consignes entraînant une sanction du tort en question, et oui, c'est typique des actuelles prétendues Intelligence Artificielles, dont les hallucinations et les discours voire les actes psychopathes sont directement causés par les prompts des sociétés propriétaires du modèle large langagier.
Ensuite, se venger suppose avoir subi un tort, mais si j'en crois le service de presse et la bande-annonce, le sexbot a été crée pour servir de jouet sexuel et il remplit strictement sa fonction, sachant que les scénarios sexuels depuis la nuit des temps ont toujours inclus nombre de pratiques qui n'ont rien à voir avec l'amour ou la reproduction ou même le désir, il s'agit seulement de mettre le ou les partenaires sexuels en position de force et contrôle, sans quoi les orgasmes ne peuvent survenir, sachant que la position de contrôle peut très bien être celle de la victime apparente qui telle une publicité pour une pâtisserie instantanée peut orgasmer à l'idée de "C'est moi qui l'ai fait", aka il n'y a que le maso pour faire orgasmer un sado.
Spoiler : :
Maintenant je suppose qu'un prochain film ou un prochain article sera consacré au #Meetoo d'une poupée gonflable avec la condamnation de son utilisateur pour ne pas avoir obtenu de consentement signé et attesté devant un juge (contre argent évidemment, il n'y a pas de petit profit). J'ai lu que les rabbins et les maris israeliens s'amusaient comme ça à piquer le fric de l'épouse qui voulait divorcer, et dans l'affaire, manque de chance, le rabbin et le mari avaient été enregistrés au fil de leurs "chantages". Oui, je sais, il n'y a pas de petit profit, et les indulgences rapportent à toutes les religions, indulgences étant synonyme de pot-de-vin, et se rapportant au chapitre plus général de la corruption.
Que les juges et les médias continuent comme ça le plus loin possible, parce qu'il arrivera ce qui est toujours arrivé au cours de toute l'histoire de l'Humanité : un retour de bâton d'autant plus sanglant et ravageur que les abuseurs auront abusés, et si je ne m'en réjouirais pas, je n'irais ni pleurer, ni m'interposer vu que cela ferait forcément de moi le complice des abuseurs initiaux.
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L'article lié à ce chapeau reformule le dossier de presse (ou si vous préférez la page Wikipedia ou la fiche IMDB) du film Companion, et répète le chapeau au milieu.
Companion est un film des créateurs de Barbare, avec, au casting, Sophie Thatcher (Yellowjackets), Jack Quaid (The Boys), Lukas Gage (Smile 2), Harvey Guillén (Loups-Garous), Rupert Friend (Hitman : Agent 47), Marc Menchaca (Ozark), Megan Suri (Mes premières fois) et Woody Fu (The Other Two).
Il est écrit et réalisé par Drew Hancock (My Dead Ex, Suburgatory) et propose de découvrir une histoire d’amour d’un tout nouveau genre, avec une dose de science-fiction et d’horreur alors qu’un "sexbot" se lance dans une tuerie après avoir atteint la fin de sa relation avec son propriétaire violent.
Companion sortira au cinéma, en France, le 29 janvier.
Notez également le "avec une dose de science-fiction", parce qu'un androïde tueur qui est au centre du film, n'est qu'une "dose" de science-fiction. Quant à l'horreur, difficile aussi de parler d'une "dose" quand on vous promet un massacre.
Incidemment, le chapeau comme l'article pourraient avoir été écrit par GPT en promptant de la manière suivante : copié collé de la wikipédia ou commande direct d'aller riper les infos en ligne sur le film, puis prompter de rédiger l'article dans le style d'un article du même genre déjà publié sur le site unification : aucune nouvelle information d'une autre source que la wikipédia, aucune mise en contexte par rapport aux films précédents du même genre robot qui tue sonpropriétaire, aucune mise en contexte par rapport à ce type de film avec ce type de budget pour quel intérêt pour quel genre de public du genre "le sexe avec une machine vous branche ? les sn.ff p.rnos vous excitent, Companion est visiblement fait pour vous surtout si vous êtes déjà fan de The Boys et de ses scènes de nudité gore."
A cette heure, Companion, est un film apparemment au service la propagande du moment pro-intelligence artificielle "la voix de ses maîtres" et mort à tous les humains et animaux qui feraient mieux de crever leur mort et opter pour leur fin de vie afin de laisser la place aux seuls drones tueurs des ultra-riches, et aux ultra-riches génocidaires tueurs de planète eux-mêmes.
Mais encore faudrait-il voir le film en question jusqu'au bout pour s'en assurer : si Jack Quaid prétend que les rebondissements sont "imprévisibles", alors le message du film devrait aussi l'être. Mais ce n'est qu'un acteur, de ceux qui racontent tout ce que qui peut payer veut, par exemple c'était lui qui lors de la promotion de The Boys, glorifiait la destruction du patrimoine historique américain et européen par les black lives matters...
Spoiler : :
Black Live Matters, le mouvement qui attaquait et pillait les petits commerces afro-américains et qui détournaient tous les dons pour acheter de l'immobilier au nom de ses meneurs, tout en tuant ou en essayant de tuer les patrons ou fils de ces petits commerces qui entendaient protéger leurs biens, leur moyen de survivances et leur vie, tandis que la police et les juges avaient consignes du président Biden lui-même officiellement à la télévision de laisser crever les gens attaqués ou de les condamner s'ils osaient se défendre, en particulier contre des p.dophiles multi-récidivisites que les acteurs Disney Pedro Pascal et Mark Ruffalo ont appelés à venger sur leurs comptes sociaux.
Détruire la statue d'un dictateur ou d'un esclavagiste n'empêchera jamais les dictatures et l'esclavage de persister, au contraire : c'est en cachant et détruisant les visages des monstres de l'histoire, et en effaçant les noms de leurs familles qu'on permet à leurs familles et leurs remplaçants de recommencer et/ou persister, sans rien changer de la recette pour s'enrichir de leurs crimes et corrompre tout ce qui bouge.
Comme je m'en doutais, c'est une s.l.perie toxique qui essaie de faire croire qu'une machine - un sex-toy à large modèle langagier aurait plus de droits et de clairvoyances qu'un être vivant au nom d'un prétendu parcours de "vie" vers l'illumination.
Bien sûr, chat gpt (probablement également auteur de vie) singe les pensées et l'expérience de la réalité de vrais êtres humains (comme des animaux incidemment) en matière de coup de foudre et de romance, tout en entourant la poupée génocidaire de woket et wokette spécialement écrit pour être méprisables et c.nnards finis, afin de déshumaniser le plus possible les victimes du robot psychopathe, et à travers elles, les spectateurs eux-mêmes, en tout cas ceux qui ne sont pas déjà des bots lâchés sur internet pour faire croire à un succès populaire et critique du film, propagande payée par le studio, USAID et autres membres du forum économique mondial qui pousse actuellement cette propagande partout sur vos écrans.
Le problème n'est pas qu'on puisse nous raconter les aventures sex-toy génocidaire, c'est un genre de récit comme un autre en Science-fiction, quoi que forcément très proche sinon confondu avec l'exploitation, le slash et autres récits snuff p.rnographiques ou que des assassins de masse vendeurs d'armes orchestrant la guerre et la misère partout dans le monde payent pour épander ces m.rdes psychopathes sur le public.
Non, le problème est que quelqu'un, n'importe qui, d'êtres humains ne réalise pas à l'instant qu'on lui demande de payer de son temps voire de son argent : car ce film et tous les autres du même genre fait l'apologie de votre propre meurtre, votre propre mutilation, votre propre exploitation, la spoliation de tous vos biens et le massacre de tous vos proches et toute personne capable de vous secourir que ce studio est en train de vous vendre.
Plus prosaïquement, qui, parmi les utilisateurs de sex-toys, laisserait traîner son jouet sexuel à disposition du premier venu lacerait "sa vie" au-dessus de sa "vertu". Imaginez seulement la responsabilité pénale du fabriquant s'il fournissait des sex-toys capables de tuer le premier venu qui oserait le prendre entre ses mains, ce qui serait de toute manière prodigieusement stupide quand on sait comment fonctionne les maladies sexuellement transmissibles et le gain de fonction tellement à la mode en ce moment pour maximiser les profits du big pharma.
Le reste du film n'est que clichés et jeux de c.ns ineptes et bien sûr flash back car l'intrigue est trop mince pour pouvoir la raconter chronologiquement, et cela sans même prendre en compte à quel point la production est pro-mort, la vôtre.
Spoiler : :
Et inhumaine, mais vu que c'est écrit par chat gpt et un gros tas d'ordures qui vendraient pères et mères tout en fréquentant un max de p.dophiles et en votant pour eux, rien d'étonnant.
Et incidemment, la production essaie de faire croire que toutes les femmes ne sont que des robots qui se laisseraient contrôler par le premier venu et que c'est en se conduisant comme un robot psychopathe qu'on reprend le moindre contrôle sur sa vie, ce qui au second degré est très drôle parce que la production manipule son public (féminin et masculin) exactement comme le méchant est supposé le faire dans le film.
Même conclusion et même message qu'Ex Machina : c'est okay de lâcher un drone tueur sur le monde qui se prétendrait plus humains et plus "éveillé" (en anglais Woke) que ses victimes en masse. Et la métaphore du nuage noir représente bien sûr le wokisme car le monde est plus "clair" quand on génocide et assassine les gens en masse, cf. ces trans qui descendent les petites filles et autres présidents non woke aux USA.