Afterburn, le film de 2025

[Greenheart]

Afterburn (2025)
Traduction : Brûlure résiduelle.

Ne pas confondre avec le film de 1992 du même titre.

De J. J. Perry, sur un scénario de Matt Johnson et Nimród Antal, d'après la bande-dessinée électronique de janvier 2008 de Scott Chitwood et Paul Ens, dessinée par Wayne Nichols ; avec Dave Bautista, Olga Kurylenko, Kristofer Hivju, Samuel L. Jackson.

Pour adultes.

(post-apocalyptique woke raciste toxique artificiel) Avant la fin du monde, je (Jack Milller) pouvais retrouver n’importe quoi, n’importe qui, n’importe où... Sans vouloir me vanter, certains m’appelaient le plus grand chasseur de trésor du monde : il n’y avait rien que je ne pusse trouver.

Je passais presque tout mon temps sous l’eau, retrouvant des choses perdues depuis des siècles. Mon travail était solitaire : les recherches, puis planifier ma mission. Mais j’aimais ça : j’étais en contrôle de mon destin, sans avoir à rendre des comptes à quelqu’un.

Mais tout a changé quand l’éruption solaire a frappé : le monde bascula dans les ténèbres et le chaos. Toute l’électronique moderne fut grillée ; la plupart des choses ne fonctionnaient plus.
Les gens pensèrent que le gouvernement prendrait ses responsabilités et réparerait tout... un doux délire. Les mafias prirent le pouvoir et s’arrogèrent de larges portions de l’Europe.

Six ans plus tard.

Ils pensaient que tout irait bien, mais je n’étais pas dupe, bien sûr : les cités affamées se transformèrent en cimetierres. L’argent ne servait à rien, les médicaments et les carburants étaient introuvables. Et les épidémies s’étendaient.
Je suppose que j’étais mieux préparé à tout ça : moi j’étais un survivant, et je me remis à faire ce que j’avais toujours fait : trouver des trucs. Mais désormais, le monde était devenu un endroit beaucoup plus dangereux.



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La bande-annonce officielle 4K KINOCHECK : https://youtu.be/bvPC8JnPY_U

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[Greenheart]

La bande-dessinée adaptée date d'avant les intelligences artificielles, mais...

... L'adaptation en film ne correspond pas aux pages mises en ligne en guise d'échantillon.

Je constate que, comme d'autres films plus ou moins générés par LLM, l'introduction est toujours un texte d'exposition censé présenter le monde mais le fait à coup de clichés et d'approximation, plus dans ce cas, des erreurs massives de qui ne sait absolument pas de quoi il parle : par exemple, le héros prétend travailler toujours seul, et vous le voyez plonger sous l'eau.

La première règle en plongée sous-marine, c'est jamais seul. Et c'est vrai pour toute activité un peu compliquée ou risquée ou en des lieux périlleux, mais particulièrement dans tous les cas de figure évoqués à l'écran. Le problème n'est pas d'être "maître de son destin", entendez ne pas avoir de maître, ne pas supporter qu'on supervise ou décide des risques à courir à votre place, ce qui peut se comprendre -- mais de ne pas avoir d'assistance, de renfort, de binôme ou de sherpas ou de quelqu'un pour s'assurer qu'en cas de coup dur vous ne tombiez pas littéralement à pic ou vous ne mourriez pas comme un chien.

Bien sûr, les traîtres, les saboteurs, les tireurs de marron du feu et autres compromis peuvent se glisser dans votre petit personnel, mais cela fait parti de ce genre d'aventure, sachant que la règle d'or demeurant en n'importe quelle circonstance d'avoir toujours un plan B, puis C, puis etc.

Chaque scène s'oublie dans la minute où vous avez fini de la voir, voire avant.

Ceci expliquant en partie cela : Aucun personnage n'est caractérisé par aucun de ses traits sinon sa race (couleur de peau), son sexe apparent. Et si le personnage joué par Olga K. s'était mise à pisser debout ou à poutrer Jackou le trop-cuit parce qu'elle en aurait une plus grosse, cela aurait au moins alimenté les conversations à la machine à café.

Du coup j'ai bien retenu le seul message répété encore et encore : tous les blancs si possible rouquins ou blonds sont à tuer quand on travaille pour un boss noir habillé en mac.

... curieux je croyais que tous les rouquins avaient vocation à devenir des africains plus ou moins noirs dans les productions woke... ah non, pas quand il s'agit de provoquer à la haine des blancs et particulièrement des roux ou des blonds, parce que la provocation à la haine raciale ne fonctionnerait plus, bien entendu.

Là encore, si Samuel L. Jackson avait fait un numéro de Drag Queen, ou si un sosie de Zélinski ou de Bibi l'avait remplacé, le film aurait valu au moins une cacaouète.

Mais cela n'est pas le genre de chose qui risque d'arriver dans le Monde d'après, ni dans le monde d'avant, les chèques de tout Hollywood et d'ailleurs étant presque toujours signés par les mêmes macs.

Ne perdez donc pas votre temps : c'est du remplissage (woke raciste anti-blanc) d'écran vide avec strictement zéro valeur ajoutée à votre survie en cas d'effondrement du continent européen ou d'un autre.

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