Les mystères de l'Ouest S01E04: ...de la mort subite (1965)

Les séries commencées entre 1961 et 1970.

Comment avez-vous trouvé cet épisode ?

Pas vu.
0
Aucun vote
Nul !
0
Aucun vote
Bof...
0
Aucun vote
Correct.
0
Aucun vote
Bon.
0
Aucun vote
Excellent.
1
100%
Génial !
0
Aucun vote
 
Nombre total de votes : 1

Les mystères de l'Ouest S01E04: ...de la mort subite (1965)

Messagepar Greenheart » Sam 17 Sep 2016 19:21

ImageImageImage

The Wild Wild West S01E04: The Night of Sudden Death
Traduction du titre original : L'Ouest très sauvage / L'Agent West, le déchaîné, la nuit de la mort soudaine.

Diffusé aux USA le 8 octobre 1965 sur CBS US.
Diffusé en France le 23 avril 1967 sur ORTF 2 FR.
Sorti en France en coffret DVD français (anglais sous-titré français, l'épisode est censuré par l'ORTF parce que le méchant est français...).

De Michael Garrison, avec Robert Conrad, Ross Martin, Barbara Luna, J.D. Cannon, Danica d'Hondt, Anna Shin.

Pour adultes et adolescents.

La nuit à Carson City, dans la rue d’une imprimerie fédérale américaine. Un groupe de criminels acrobates masqués escaladent un réverbère à gaz, éteignent la flamme, branchent un tuyau sur l’arrivée de gaz. Puis ils escaladent en formant une échelle humaine le côté de l’imprimerie.

À l’intérieur de l’imprimerie, un garde fait remarquer aux deux ouvriers qu’ils travaillent tard… à faire de l’argent, faire de l’argent, répète le garde, qui à l’aide d’une perche ouvre l’une des fenêtres tout en haut de la salle. Puis le garde range la perche et sort de la salle. La fenêtre ouverte, un des criminels qui guettait fait signe à son comparse en hauteur sur la corniche qui mène à la fenêtre. Celui-ci introduit le tuyau tiré depuis le réverbère et utilise un dispositif pour l’envoyer plus vite dans l’atelier. Les ouvriers qui imprimaient les billets de banque s’écroulent.

Le criminel à la fenêtre descend dans l’atelier et va ouvrir à ses comparses, leurs bouches et leur nez couverts par un petit filtre. Le premier entré se rue sur les piles de billets et veut s’emparer d’une liasse, mais il est bousculé par le criminel descendu à la fenêtre, qui la lui fait jeter. Ils ouvrent la porte le garde qui leur dit de se dépêcher : ils n’ont que trois minutes avant l’arrivée de la relève. Le garde est alors assommé. Le criminel descendu par la fenêtre enlève son filtre, renifle, puis pose une bombe contre le tuyau du gaz d’éclairage de l’atelier. Il allume la mèche de la bombe et fait sortir son équipe puis remonte le long du mur jusqu’à la fenêtre ouverte et sort. La bombe explose.

Le lendemain, un comptable recompte les liasses de billets roussis, tandis qu’un expert examine le point de l’explosion. Il répond à l’agent James West qu’il ne peut s’agir d’une surpression du gaz d’éclairage. West demande alors ce qu’il a pu arriver selon l’expert et celui-ci déclare que quelqu’un a provoqué la rupture du tuyau et l’explosion. L’expert demande alors au comptable s’il manque de l’argent – et aucun des six millions de billets neufs ne manque. Entre Artemus Gordon, qui annonce que le troisième ouvrier est mort ce matin-là des suites de ses brûlures et du choc de l’explosion. West demande alors des nouvelles du garde, Foxx – il est toujours dans un état critique, et les médecins n’ont aucune idée de s’il s’en sortira.

West est alors appelé par Faul, un autre expert, qui n’a plus aucun doute sur ce qui est arrivé cette nuit-là : les plaques qui servent à imprimer les billets ne sont pas du bon alliage – le métal est rugueux alors que les plaques du gouvernement sont polies et lisses ; les plaques de l’atelier sont donc fausses. Examinant la plaque que lui tend Faul, Gordon déclare que le plan des criminels était vraiment malin : remplacer les vraies plaques par de fausses et tout faire sauter pour faire croire à un accident – et ils vont pouvoir imprimer des millions – des centaines de millions de dollars avec les vraies plaques – et cela ne sera même pas de la fausse monnaie, impossible à détecter. Cela pour détruire complètement l’économie américaine.

Plus tard en ville, une grande parade défile devant la foule. De son côté, West, une grosse valise à la main, se présente à la réception d’un hôtel et signe le registre. Le réceptionniste a alors une drôle d’expression, puis il annonce à West qu’il a la chambre numéro un, juste en haut des marches. Il s’excuse de ne pouvoir lui envoyer aucun groom pour monter ses bagages, car ils sont tous dehors à regarder la parade. West assure qu’il se débrouillera, et le réceptionniste le regarde gravir les marches, franchement inquiet.

West entre dans la chambre, dont la fenêtre donne directement sur la parade. Il dépose sa valise sur le lit, sans remarquer un individu cagoulé en équilibre au plafond dans le coin opposé à la porte, au-dessus d’un placard, vêtu du même costume noir que les criminels acrobates qui ont attaqué l’imprimerie. West se fige, puis va ranger comme si de rien n’était des chemises dans le premier tiroir d’une commode. Mais quand il va pour ouvrir le placard, le criminel lui tombe dessus et tente de l’étouffer en écrasant son torse entre ses cuisses. West est bien près d’étouffer quand il parvient à faire sortir le petit révolver dissimulé dans sa manche. Alors l’acrobate prend la fuite.

S’efforçant de récupérer, West entend alors quelqu’un monter quatre à quatre l’escalier – et c’est une femme brune qui ouvre précipitamment la porte. West la jette sur le lit : il l’interroge immédiatement sur l’identité de l’intrus, étant donné qu’elle est la seconde personne à lui tomber brutalement dessus. La femme répond qu’il n’y a pas de temps à perdre : West doit aller à l’hôpital pour parler au garde, parce qu’il a quelque chose à lui dire. West s’étonne : comment sait-elle à propos du garde, et qu’a-t-il à lui dire ?

La femme prétend alors que le garde est son père, insistant pour que West parte sur le champ pour l’hôpital. Puis elle affirme qu’elle doit rentrer chez elle avant qu’ « ils » ne remarquent son absence. Elle refuse de dire qui « ils » sont ; West demande alors qu’elle vienne avec lui à l’hôpital, mais elle répond que ce serait mettre sa vie en danger. West demande le nom de la jolie brune, qui prétend s’appeler Corinne. West jette alors un coup d’œil par la fenêtre – mais quand il se retourne, Corinne n’est déjà plus là.

Quand il arrive à l’hôpital, West trouve la porte bloquée, ce qui étonne le médecin : la porte n’a pas de serrure. West enfonce la porte d’un coup de pied – une chaise avait été placée contre la poignée de la porte pour bloquer son ouverture. Quelqu’un s’est enfuit par la fenêtre ouverte, et le médecin dégage Foxx, le garde de l’imprimerie, qui avait la tête emmailloté par un drap. Le médecin affirme que Foxx a eu le torse écrasé et agonise. West demande alors que le médecin avertisse la fille de Foxx, mais le médecin répond que Foxx n’a jamais mentionné avoir une fille, et aucune jeune femme n’est venue lui rendre visite… Et comme Foxx essaie de parler, West l’interroge : qui est Corinne ? Foxx répond que si West trouve Corinne, il trouvera la mort.

ImageImageImageImage

***
...d'un G qui veut dire Greenheart !
Greenheart
Administrateur du site
 
Messages: 10824
Inscription: Sam 15 Nov 2014 19:56

Retourner vers Les séries des années 1960

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 2 invités

cron