The Flash, le film de 2023

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The Flash, le film de 2023

Messagepar Greenheart » Mer 26 Avr 2023 08:36

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The Flash (2023)

Noter que ce récit a déjà été adapté notamment en dessin animé DC Justice League: The Flashpoint Paradox 2013, et à plusieurs reprises dans la série télévisée The Flash 2014.

Annoncé en France pour le 14 juin 2023.
Annoncé aux USA et en Angleterre pour le 16 juin 2023 (repoussé depuis le 4 novembre 2022).

De Andy Muschietti, sur un scénario de Christina Hodson d'après la bande-dessinée Flashpoint 2011 écrit par Geoff Johns et dessiné par Andy Kubert, DC Showcase #4: The Flash octobre 1956 écrit par Robert Kanigher et dessiné par Carmine Infantino, Detective Comics #27: Batman 30 mars 1939 écrit par Bob Kane et dessiné par Bill Finger, Superman #123 Supergirl / Super-girl août 1956 écrit par Otto Binder et dessiné par Al Plastino ; avec Ezra Miller, Sasha Calle, Michael Shannon, Ron Livingston, Maribel Verdú, Kiersey Clemons, Antje Traue, Michael Keaton.

(fantasy, superhéros, toxic woke) Midi et deux minutes à l’horloge et une longue file d’attente devant le comptoir, et Barry Allen qui s’impatiente, au lieu d’utiliser sa super-vitesse pour se faire son sandwich lui-même, si c’était tellement urgent.

Le serveur blasé au comptoir souhaite une bonne matinée au jeune homme pâle et grimaçant et lui demande ce qu’il peut lui procurer. Barry répond par une autre question : où est la fille aux cheveux frisés ? Le serveur répond qu’elle s’appelle Sara et qu’elle est en arrêt-maladie, en tout cas c’est ce qu’elle raconte. Puis le serveur de souffler : elle s’est trouvé un petit ami. Et de répéter sa question.

Barry, qui ne devait pas être si pressé, répond que qu’il veut comme d’habitude et qu’il est pressé comme d’habitude. Le serveur lui répond que dans ce cas, il ne faut pas le laisser dans l’expectative. En tremblant, Barry répond qu’il veut un sandwich BDC et BRMF. Le serveur, prenant un calepin et un stylo commence à noter, demandant des précisions : BDC, pour beurre de cacahouète ? Barry confirme et ajoute que BRMF signifie Bananes, Raisins sec, Miel et Fromage.

Le serveur remarque qu’il envie le métabolisme rapide de son client. Puis il demande si Barry court un marathon ou quelque chose du genre. Parce que sa sœur a fait un marathon, que Dieu prenne soin de son âme. Le serveur précise aussitôt que sa sœur n’est pas morte, juste épuisée. Et de rejouer la scène : « on a compris, Sharon, t’as couru — mais les autres doivent se lever pour travailler le lendemain matin. »

Barry répond en grimaçant plus que jamais et en ponctuant chacun de ses mots par un geste affecté : « moi je devrais déjà être au boulot depuis trois minutes, donc pour le sandwich, faut se presser. » Le serveur répond comme si c’était une évidence : « un bon sandwich ne se presse pas. »

C’est alors que le téléphone portable de Barry se met à sonner affichant un portrait dans le style année 1960 d’un majordome distingué avec des lunettes et un nœud papillon, surmonté du prénom Alfred. Barry appuie sur le feu vert pour décrocher et souffle qu’il ne peut pas parler.

Dans les cuisines ou le bar cossu de la résidence Wayne, son majordome Alfred se fait un café expresso et rétorque, l’air dégagé : « Bonjour, Monsieur Allen. » Car lui non plus n’est pas si pressé. Dans le service de restauration rapide, Barry s’éloigne du comptoir pour balbutier : « non, mauvais jour : je suis pressé, affamé et Sara la frisée a un petit ami ! »

Alfred, qui est en fait dans la Batcave, répond sans l’écouter qu’ils ont un braquage à l’hôpital de Gotham (car il n’y en a qu’un) qui s’est mal passé. Barry, toujours aussi peu pressé, trouve encore le temps de protester : « on est seulement à midi, est-ce que Batman est-il au moins réveillé ? Appelez Superman ! »

Alfred commence par boire une gorgée de son café et répond ensuite que c’est la première chose à laquelle il a pensé. Et sur l’écran plat du fast-food que nous découvrons pour la première fois depuis le début de la scène, l’information en continue annonce en dernière minute qu’un volcan est entré en éruption au Guatémala et une cape rouge battant sur une silhouette bleue semble utiliser sa vision laser pour arrêter une coulée de lave en faisant fondre le terrain devant. Ce qui paraît parfaitement inutile au premier abord, à part si Superman veut accélérer la progression de la lave incandescente en direction de la ville. Barry répond que Alfred n’a qu’à appeler Diane (NDT WonderWoman et non Tell ou Keaton).

Alfred répond en repliant le journal qu’il était en train de lire — tout le monde prend vraiment le temps de faire ce qui lui plait quand ça lui plait, c’est sans doute un gag sauf que c’est impossible : pas de journal dans le plan précédent et il avait déjà la main prise avec la tasse de café. Bref, Alfred répond qu’appeler Diane était son autre première idée — ce qui par définition est impossible : une première idée ne peut être la seconde. Sans doute un gag, comme tout le reste. Du point de vue strictement interne à la situation, cela paraît débile et peu professionnel du point de vue de quelqu’un chargé de veiller sur les habitants de Gotham City.

« Fâcheusement, elle ne répond pas. » Rappelez-moi pourquoi Barry répond alors ? Alfred aurait simplement téléphoné au suivant sur la liste, et compte tenu des carences cognitives de ce Barry Allen, cela paraissait évident.

Barry — toujours pas pressé du tout — pose la question de combien de première pensée Alfred a eu ce matin. Ah, il est impossible que la totalité des clients et l’ensemble du personnel n’ait pas entendu la totalité de conversation aussi clairement que le spectateur et Alfred.

Et après avoir posé sa question, Barry range son téléphone sans écouter ce que Alfred pourrait bien avoir à lui dire d’autre, pour s’enquérir de si son sandwich avance. Le serveur lève simplement une main pour indiquer que cela n’est pas le cas : lui au moins semble être concentré sur sa mission et ce sera bien le seul du film – tout en continuant de faire la conversation. Fort impoliment et sans payer, Barry sort du restaurant…

Pour prendre la pause en plein milieu de la rue et de la circulation comme s’il était le seul au monde à utiliser une avenue à midi en plein centre-ville. Petit détail : il est sorti assez violemment en faisant péter des éclairs orangés impressionnants, mais pas un souffle d’air et personne ne l’a remarqué à l’intérieur du restaurant.
Et maintenant qu’il est planté en costume rouge déchargeant des éclairs en plein milieu de l’avenue, il prend une minute pour prendre la pause classique d’un genre d’Hermès en équilibre sur un seul pied — une bonne minute, parce que là encore, ce n’est pas comme si il était pressé ou s’il avait eu besoin de se faire d’urgence son sandwich lui-même.

Barry a ensuite l’air de se concentrer, le regard braqué sur le lointain, toujours en équilibre sur un pied. Mais à la première pouf qui l’interpelle depuis le trottoir passant devant le Café Filby, il tourne la tête. Parce que là encore, ce n’est pas comme s’il avait une mission vitale à remplir. Par ailleurs, quelle mission déjà au juste ? Alfred a seulement dit qu’un braquage s’était mal passé, ça veut dire qu’il doit faire quoi : braquer correctement l’hôpital de Gotham ? nettoyer les cadavres du personnel pour ne pas faire honte à Monsieur le Maire concernant sa dernière suppression de toute subvention à la police ?

La pouffe crie à Barry qu’elle l’aime. Et comme Barry a le temps pour une conversation avec une fan et sans doute une séance de dédicaces, Barry la remercie et répond — alors qu’elle est à l’évidence mineure — qu’elle a l’air très gentille elle aussi. Les trois filles et le garçon se mettent à hurler leur enthousiasme et plus ou moins se faire pipi dessus. Mais pourquoi seraient-ils enthousiastes au juste ? Est-ce que Barry ou le Flash est une célébrité et pourquoi ? Personne n’a encore vu le premier épisode de The Boys ? Les réseaux sociaux et les trolls n’existent pas ? Plus la scène résonne vraiment très mal avec la réalité puisque l’acteur est notamment accusé de détournement de mineur.

Puis, depuis la Batcave, Alfred annonce à Barry qu’il lui passe Monsieur Wayne. Et là j’en suis à me demander où exactement Barry a rangé son téléphone portable allumé pour pouvoir continuer la conversation alors qu’à l’évidence il n’a rien dans les mains et que sa combinaison est des plus collantes. Dans sa capuche ? Dans une cavité naturelle de son corps ? Est-ce qu’il utilisait un faux téléphone portable dans le restaurant pour donner le change alors que la puce d’Elon Musk sous son crâne lui permettait d’être appelé par le premier plouc venu sur une ligne non sécurisée avec un système d’exploitation et téléphone notoirement connu pour être piratable par n’importe qui à tout moment, retransmettre tout ce que les micros captent même quand il est éteint, et de la même manière toutes les images que ses quatre caméras peuvent filmer ?

Barry bredouille alors à très haute voix devant son public de fan qu’il ne veut pas qu’Alfred lui passe Wayne. Et au lieu d’écouter ce que Wayne aurait à lui dire, il préfère demander à une copine de la pouffe si elle mange activement sa barre chocolatée ? Sinon, qu’elle lui lance sa barre au nom de la Justice, parce qu’il aime sentir le goût de sa salive sur la nourriture qu’elle mâche.

Pendant ce temps, Wayne dit apparemment dans les oreillettes de Barry quelque chose de très important et que jamais Barry n’aurait pu deviner : Wayne a besoin de Barry maintenant. Alors Barry se détourne pour regarder devant lui — mais surtout pas à droite, à gauche ou d’où pourraient facilement venir un très grand nombre de voitures voire de camions sur l’avenue — dont la circulation semble en pause depuis le début de la scène – depuis midi et deux minutes et toutes ces conversations.

Et Barry répond qu’il arrive tandis que la fille lui lance la barre chocolatée à la tête, qui rebondit. Pas de super-réflexes, et un champ de perception extrêmement limité, pas plus de 15 degrés ? Mais comment Barry saurait-il que Batman se trouve ou pas à l’hôpital, si c’est bien à l’hôpital qu’il doit se rendre. Car si l’hôpital a été attaqué, les voleurs à mains armées ont peut-être pris la fuite et parcouru une déjà fort longue distance à bord de leur véhicule dans une direction pour l’instant parfaitement inconnue de Barry. Donc Barry dit qu’il arrive, mais il compte arriver où ?

Et Barry reprend encore une minute pour prendre sa pause d’Hermès toujours au beau milieu de la rue, et toujours observé bouche bée par ses fans.

Et alors là, Barry démarre enfin : l’univers s’étire à l’infini et il court en faisant des éclairs. Mais aucun souffle d’air. Et il court où ? Il quitte la ville parce qu’en fait nous ne sommes pas à Gotham City : il fait de la voie rapide, de la campagne, traverse une autre ville, passe un tunnel… Et par on ne sait quel miracle, les routes sont toujours désertes devant lui et supporte parfaitement le passage d’un bolide hypersonique qui à chaque pas est censé incendier toute matière avec laquelle il entre en contact, si j’ai bien compris les scènes suivantes du film.

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La bande-annonce "extended" 4K : https://youtu.be/xztMz0MPJdA

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La "nouvelle" bande-annonce : https://youtu.be/vzLtpOdgVyA

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La nouvelle bande-annonce en français: https://youtu.be/rCFRY9-Kpw4

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Re: The Flash, le film de 2023

Messagepar Greenheart » Mer 26 Avr 2023 09:35

Pas vraiment un film The Flash, mais un film Flash et Batman et Supergirl.

A la vision de la seconde bande-annonce, la vraie raison de l'annulation du film Batgirl (latina edition) apparaît : la production du Batgirl avait tout simplement pillé donc gâché par avance le film The Flash 2023 (déjà pratiquement achevé en 2022) et sa sortie aurait gâché considérablement The Flash le film déjà en grand péril.

Le film (plus ou moins achevé) vient d'être projeté à des critiques, et ceux-là comme à leur habitude ne tarissent pas d'éloges : on ne mord pas la main qui vous nourrit, sauf quand vous êtes un chat (ou un lion etc.).

Pas encore eut le temps de visionner tranquillement les bandes-annonces et analyser ce que je sais, mais il y a déjà quelques problèmes flagrants que les fameux critiques n'ont évidemment pas relevés. En particulier le fait que le film tire sur un très grand nombre de ficelles déjà (très) récemment tiré, alors que le public semble se lasser des scénarios copiés-collés aussi bien servis par Marvel Disney que par DC Warner.

Spoiler : :
...et cela n'a rien à voir avec les frasques de l'acteur principal, qui comme beaucoup doit son capital empathique à des fragilités probablement causées par son entourage passé, et la manière dont ce genre de personnalité tente de reprendre le contrôle sur sa vie... en s'auto-punissant, ce à quoi une partie de son entourage présent, "victimes" incluses, étaient visiblement toujours prêts à l'encourager. Hollywood étant factuellement un repaire de pervers avides et jaloux, donc je lui souhaite de réaliser en quoi consistent les jeux socio-psychologiques, d'opter pour ne pas les pratiquer dans la réalité, et d'être extrêmement strict quant à la santé mentale de qui il doit fréquenter ou de qui peut l'approcher. Plus il faudra choisir des rôles de vainqueurs tout à fait réalistes afin que le comportement du personnage fictionnel déteigne sur le vrai lui, et non seulement sur son image, sachant que toutes les personnalités sont bonnes à apprendre: les problèmes commencent quand les personnalités que l'on a à sa disposition sont trop limités ou inadaptées aux situations bien réelles. Aka, go woke, go broke (Que je traduirais librement par "si tu fais le singe, tu finiras dans un laboratoire de Fauci").


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Re: The Flash, le film de 2023

Messagepar Greenheart » Jeu 8 Juin 2023 14:46

Campagne de harcèlement en cours sur Twitter s'attaquant à toute personne qui critiquerait le film The Flash 2023.
Les comptes et les messages relèvent du mode opératoire habituel des attaques de trolls déjà commanditées récemment par les studios et autres forces financières téléguidant la propagande woke.
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Re: The Flash, le film de 2023

Messagepar Greenheart » Sam 17 Juin 2023 15:12

Le film est en train de se vautrer tant à l'international qu'aux USA, et comme tout ce qui arrive depuis quelques années, c'est navrant mais mérité.

C'était très prévisible même sans prendre en compte d'autres problèmes, seulement à partir du sujet du film qui était de refaire l'histoire déjà adapté récemment au moins deux fois dont à la télévision, aggravé par le fait de refaire le coup du multivers après tous les films de super-héros qui tentent de courir après le Spider-Man Nowhere Home et ses stars invités des Noëls passés.

Par ailleurs, le Flash n'a pas été écrit ou réécrit par James Gunn ni réalisé par lui, et achevé par une équipe apparemment incapables de réaliser que le film doit offrir la meilleure expérience visuelle quelle que soit le scénario et l'univers - Spider Man Beyond The Multivers l'a compris, c'est tout le reste qui lui échappe cependant. Le point commun des deux films étant que personne n'a encore réalisé dans ces studios qu'un multivers ne fait pas un bon scénario, c'est même un handicap lourd.

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Re: The Flash, le film de 2023

Messagepar Greenheart » Dim 23 Juil 2023 17:00

C'est la pire "adaptation" du Paradoxe Flash-Point que j'ai jamais vue.

Ce n'est pas une vraie histoire : c'est du pur remplissage, artificiel, sans âme, coupé-collé, du gloubi glouba.
Les gags ne sont pas drôle et ils sont enfilés comme des perles d'un bout à l'autre du film sans souci de cohérence, et ce jusqu'au gag final
Spoiler : :
(ne laissez jamais quelqu'un le nez dans l'eau, et quand bien même il respirait sous l'eau, une flaque ne contient pas assez d'oxygène pour alimenter son cerveau de toute manière).


Physique de jeu vidéo, dès la première scène : la super-vitesse du flash ne produit aucun déplacement d'air, tout en étant censé embraser des vêtements ordinaires par frottement de l'air. La scène de "l'averse de bébés" contient un nombre d'erreurs physiques incalculable : tous les objets ne tombent pas à la même vitesse, cela semble dépendre de leur masse et non de la résistance de l'air. Et à nouveau, une ignorance totale de la force de l'inertie.

Tous les flashs sont détestables: Dumb & Dumber ? Quoi qu'il arrive et peu importe leur super-vitesse, ils se plantent et attendent à chaque scène - que la tuile suivante tombe.
J'ai connu Ezra Miller bien meilleur acteur. Depuis le début du film jusqu'à la rencontre avec "Batman", une perte de temps : le film aurait pu, aurait dû commencer à l'arrivée du premier flash dans le monde du second flash. Aucune raison pour que le premier flash soit privé de pouvoir, aucune raison pour que la dent cassé ne repousse pas immédiatement etc.

Superman est remplacé par une femme (supergirl dans la version je casse tout ce que je touche mais je suis la meilleure).
Vers la fin, il y a sempiternel moment où tous les mondes parallèles sont censés se crasher les uns dans les autres: et tous les superhéros de ces mondes attendent que les choses se passent.
Le fait que les deux flashs, Batman et Supergirl n'arrivent pas à vaincre immédiatement Zod relève seulement de l'arbitraire des scénaristes.
La raisonnement final est complètement à l'envers.

Rappelez-moi pourquoi Zod pourrait continuer à détruire n'importe quel monde alors qu'à chaque voyage dans le temps, Flash altère la ligne temporelle en cours à la fois passée et future ? Zod pas plus qu'un autre ne pourrait avoir aucune prise sur ces réalités. Pourquoi créer une infinité de mondes parallèles différents par définition, tous identiques auxquels les héros ne pourront jamais rien changer seulement parce que les scénaristes l'ont décidé ainsi, en complète contradiction avec les propres lois qu'ils prétendent suivre ?

Le message du film est la résignation ("tu ne peux rien changer au monde, tous les problèmes n'ont pas de solution") et
Spoiler : :
de tuer sa mère: exactement le message que caricaturait la chanson "Welcome to The Internet" extrait du spectacle Inside de Bo Durham,
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