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Mortal Kombat, le film de 2021

MessagePosté: Mar 27 Avr 2021 16:11
par Greenheart
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Mortal Kombat (2021)
Traduction du titre : combat mortel.

Sorti le 8 avril 2021 à l'international (mais pas en France car les cinémas sont toujours fermés), le 23 avril aux USA et sur HBO MAX INT.

De Simon McQuoid, sur un "scénario" de Greg Russo, Oren Uziel et Dave Callaham, d'après le jeu vidéo de Ed Boon et John Tobias, avec Lewis Tan, Jessica McNamee, Josh Lawson, Tadanobu, Asano, Mehcad Brooks, Ludi Lin, Chin Han, Joe Taslim, Hiroyuki Sanada.

Pour adultes et adolescents.

(presse) Dans le Japon du XVIIe siècle, des assassins Lin Kuei dirigés par Bi-Han attaquent et tuent des membres du clan ninja rival Shirai Ryu ainsi que la femme et le fils de Hanzo Hasashi. Hanzo tue les assaillants avant de tomber aux mains de Bi-Han et d'être emmené dans le Nétremonde. Raiden, dieu du tonnerre, arrive et met en sécurité la petite fille de Hanzo qui a survécu. Dans le présent, le royaume d'Outworld a battu Earthrealm dans neuf des dix tournois de deathmatch appelés "Mortal Kombat", avec l'intention de la conquérir. Cependant, une ancienne prophétie est découverte, déclarant que le "sang de Hanzo Hasashi" unira une nouvelle génération de champions d'Earthrealm pour empêcher la victoire d'Outworld.

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La bande annonce officielle HD : https://www.youtube.com/watch?v=IgnRcXB1RrU

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Re: Mortal Kombat, le film de 2021

MessagePosté: Mar 27 Avr 2021 16:23
par Greenheart
Une production profilée sur le modèle des blocks busters chinois récentes : c'est glacial (sans jeu de mots), sans aucune âme, copié-collé de partout, tellement cliché que votre cervelle elle-même en reste pixellisée, les combats s'enchaînent sans qu'on puisse tenir à aucun personnages ni haïr aucun méchant. Et l'on cherche vainement où la manette de jeu a bien pu s'échapper comme cela arrive bien trop souvent avec les adaptations de jeux vidéos déjà pénibles à l'origine, et conçus de toute manière pour laver le cerveau et programmer le joueur pour le priver de tout contrôle sur sa vie.

Si on oublie que c'est l'adaptation d'un jeu vidéo, comparer à tant de réelle réussites de la fantasy asiatiques, et constatez impossible de s'identifier au moindre personnage, il n'y a strictement aucune loi cohérente surnaturelle, seulement les scénaristes qui nous traînent du début à la fin par les globes oculaires, tandis que le département des effets spéciaux vissent ses boulons en attendant d'être remplacé par des intelligences artificielles qui feront le même boulot pour rien.