Les dix premières minutes
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Oui, cela se voit que les acteurs jouent devant le Volume dans toutes les scènes à effets spéciaux : quelqu'un détourne le budget effets spéciaux ou le dilapide par incompétence égomaniaque (Alonzo).
Le "héros" passent son temps à se faire en permanence humilier par tous les personnages féminins: wokissime et vain. Cela s'appelle du harcèlement (Dépréciation). Tous ces films woke utilisant à l'écran ces procédés toxiques de manière répétés l'enseignent au spectateur, et le spectateur sera parfaitement à même de réemployer ce qu'il a appris pour pousser à la violence, dépression, suicide n'importe qui en changeant simplement de cible : par exemple le harcèlement racisme ou sexisme fonctionne exactement de la même manière, vous reprenez les mêmes arguments des femmes contre le "héros" lavasse dans le film et publiquement, visez une femme ou quelqu'un dont la couleur de peau ou de cheveux ou l'âge ou la sexualité ou la nationalité etc. ne vous convient pas. Incidemment, être exposé à Dépréciation, comme aux autres manipulations (jeux psycho-sociologiques) de ce degré de dangerosité détruit le cerveau et la santé du harceleur, comme de la victime et comme du spectateur = public ou parti soutenant le harceleur qui, faute d'être averti ou de pouvoir intervenir dans la scène pour bloquer la manipulation, est automatiquement frappé au niveau neuro-chimiques: trop de films de ce genre et trop de scènes réelles, et les dommages aux cerveaux se verront au scanner.
Le "héros" (wokeu lavasse) passe ses journées à glander. Il n'utilise pas sa célébrité pour faire le bien ou quoi que ce soit d'autre, il n'existe pas dans la société ou professionnellement ou culturellement, à la manière d'un figurant ou d'un rôle accessoire dans son propre film. Il a les moyens d'intervenir pour empêcher discrètement crimes et catastrophes qui pleuvent quotidiennement sur le monde entier et ne fait rien, non pas parce qu'il ne le peut pas, mais parce que la production en a décidé ainsi pour ne pas payer les coûts d'une scène d'action, à supposer que quelqu'un sache écrire une bonne scène d'action chez Marvel qui ne soit pas du copié collé inepte.
Les wokettes prétendues brillantes ont construits à la maison de quoi anéantir l'Humanité immédiatement (la ferme à foumis plus intelligentes qu'eux qui construisent leurs propres technologies futuristes, mettent au point leurs propres nouveaux virus à gain de fonction pour éliminer l'Humanité etc.), sans aucune précaution particulière ni envisager une seconde les conséquences, et les mâles lavasses woket se contentent de complimenter la fille garce wokette.
Bien sûr toute cette technologie est magique et ce qui inquiète seulement un personnage, c'est le moyen de se téléporter magiquement dans le "Royaume quantique", prétexte à enchaîner sur la suite du scénario. Que quelqu'un essaie de m'expliquer (c'est impossible) comment un être humain respire dans le royaume quantique ou comment il se fait que les changements de pression sont mortels dans la réalité (les gaz dans le sang font exploser les vaisseaux du plongeur en profondeur ou de n'importe qui exposé à une décompression ou au vide. Qu'en est-il de l'effet tunnel ? qu'en est-il des radiations car seul le héros porte une combinaison, à supposer qu'elle protège de quoi que ce soit. Bien sûr, en fantastique ou fantasy, il suffirait de réaffirmer telle ou telle règle fantastique du fonctionnement de cet univers, ce qui n'est jamais fait avant que les questions ne se posent; et comment vont-ils au toilette ou sous la douche s'ils sont deux à porter en permanence leurs combinaisons?
Une fois à échelle, les humains sont exposés en permanence à des espèces de grains de pollen flottant dans l'air, à la Stranger Things. Dans Stranger Things, les êtres humains en meurent à petit feu, mais dans Quantumania, c'est juste pour faire joli.
Les effets sonores comme deux bottes qui sautent sur une pierre sont soniquement exagérés. Si c'est une caractéristique du royaume quantique, pourquoi les voix des acteurs sonnent strictement identiques dans le monde ordinaire et dans le royaume quantique. Comment les yeux humains, qui reconstruisent la réalité en renversant par habitude l'image projetée sur le fond de leurs yeux, peuvent reconstruire quoi que ce soit de la réalité du monde quantique. à la 24ème minute, copié-collé de Jim Carter (le film et le roman) avec le liquide bizarre qui permet de comprendre sans avoir appris la langue locale.
De fait, Quantumania ressemble à un remake Marvel de Chéri j'ai rétrécis les gosses, mais en tout à fait débile et toxiquement woke.
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