The Last Sentinel, le film de 2023

Infos et retours sur les films sortis ou à venir au cinéma.

Comment avez-vous trouvé ce film ?

Pas vu.
0
Aucun vote
Nul !
0
Aucun vote
Bof...
1
100%
Correct.
0
Aucun vote
Bon.
0
Aucun vote
Excellent.
0
Aucun vote
Génial !
0
Aucun vote
 
Nombre total de votes : 1

The Last Sentinel, le film de 2023

Messagepar Greenheart » Sam 4 Mar 2023 21:54

Image

The Last Sentinel (2023)

Annoncé au Angleterre le 24 mars 2023 (sortie cinéma limitée).

De Tanel Toom, sur un scénario de Malachi Smyth ; avec Kate Bosworth, Lucien Laviscount, Thomas Kretschmann, Martin McCann.

Pour adultes ?

(presse, prospective militariste) 2063. L’activité humaine a causé une hausse massive du niveau de la mer. La plus grande part de la planète est inondée. La survie réclame une lutte constante pour la terre et les ressources. Ne restent que deux continents. En guerre.

« Les Ténèbres et la Lumière… Le Mal et le Bien… La Guerre et la Paix… Eux et Nous… Tout le monde sait que l’un ne pourrait exister sans l’autre. Et entre les deux, il y a un équilibre. Certains disent qu’avant que les terres ne disparaissent, les oiseaux étaient capable de migrer entre les continents. Ils utilisaient un vent appelé ascendant : vous n’avez pas besoin de battre des ailes pour rester en l’air, et vous ne tombez pas non plus… Vous restez au milieu, à reposer sans effort en l’air… Mais il n’y a plus de vents ascendants aujourd’hui. Parce que nous avons détruit l’équilibre. »

Le brouillard, percé par une lueur indéfinie. Peut-être le soleil ? Seulement le faisceau du projecteur à l’avant d’une petite frégate avançant sur une mer d’huile.

Désormais, il pleut à verse. Un équipage charge des sacs sur une nacelle qui, treuillée, emporte sa charge plus haut en se balançant dans la nuit éclairée par les lanternes fixées aux dessus des portes qui s’ouvrent sur la galerie qui tangue. Un des marins s’exclame « regardez-les ! » et éclate de rire : l’un des sacs s’est ouvert et contient un cadavre percé de ce qui ressemble à une flèche.

Sur la passerelle, attenante à la salle des cartes, un homme barbu chauve (l’ingénieur) s’inquiète à la vue d’un séïsmographe traçant ce qui ressemble à une secousse de forte ampleur. Dehors dans la nuit, l’océan n’est plus que vagues furieuses. A la radio de bord, l’ingénieur demande le statut d’un certain Baines, qui signale sa position à bord du navire. Le barbu lui répond qu’il s’agit d’un 9 et qu’il reste 20 minutes avant l’impact. Sur le pont, l’intéressé se précipite vers un autre point du pont. Une femme en cirée encapuchonnée répond à son tour qu’ils sont en train de finir sur la plate-forme. Son coéquipier, Sully, s’inquiète : est-ce que leur capitaine a bien parlé d’un 9. Et comme la femme ordonne à Sully d’accrocher quelque chose, une vague balaye la plate-forme et Sully chute. Mais Sully au sol dit qu’il tient le cordage en question.

Dans la salle à manger et la cuisine attenante à bord, tout tremble, tandis que la structure entière grince sinistrement. Les néons clignotent. Dehors, l’océan monte vers le ciel, apparemment sans limite. Dans un local qui semble contenir le groupe électrogène, l’ingénieur barbu chauve est occupé à verrouiller des volets quand la tuyauterie qui occupe l’une des cloisons se met à cliqueter de plus en plus fort. Puis les joints d’un tuyau saute et le barbu soupire en levant les yeux au plafond.

La blonde sur la plate –forme ordonne à Sully d’abandonner leur pèche ; Le capitaine tente en vain d’arrêter la fuite, peut-être en resserrant les joints. Sullivan remonte alors une échelle le long des pilotis, tandis que l’eau monte dans le local où se troube le barbu. La vague arrive en torrent d’écumes, tout ce qui peut bouger se met à avancer. L’équipage ne se trouve pas à bord de la frégate aperçue plus tôt mais à bord d’une station perchée sur trois pilotis, que la vague énorme va pour heurter de plein fouet.

Sullivan rejoint la blonde sur la plate-forme. Un geyser d’eau de mer jaillit par où il est monté. Les deux, trempés, attendent alors tandis que les grincements, les cliquetis se poursuivent. La blonde finit par lâcher : « on est foutus… » Et les lumières s’éteignent.

Le jour est revenu et l’océan est à nouveau étal. La station consiste en quatre étages rouillés perchés sur trois pilotis surmontés d’une station radar. Le barbu cauve qui a retrouvé son bonner a dû mal à faire redémarrer le groupe électrogène, tandis qu’un autre membre d’équipage, probablement la blonde ; en combinaison anti-radiation teste le niveau de son compteur Geiger pointé sur une sphère apparemment immobilisée dans une de leur cale. Au repas suivant, le moral a clairement du plomb dans l’aile et la station prend désormais du gîte, alors qu’ils ont perdu leur pêche, une passerelle et leur désanilisateur. Plus ils auraient dû être relevés il y a plus de trois mois.

ImageImageImageImageImageImage

***



La bande annonce officlelle HD : https://youtu.be/JoA1oPzEC0U

***
...d'un G qui veut dire Greenheart !
Greenheart
Administrateur du site
 
Messages: 10957
Inscription: Sam 15 Nov 2014 19:56

Retourner vers Cinema

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 36 invités