Sunrise, le film de 2024

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Sunrise, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Dim 7 Jan 2024 20:18

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Sunrise (2024)

Traduction du titre : lever de soleil.

Annoncé aux USA le 19 janvier 2024.

De Andrew Baird, sur un scénario de Ronan Blaney; avec Guy Pearce, Alex Pettyfer (également producteur), Olwen Fouéré, Crystal Yu, William Gao, Richard Pettyfer, Kurt Yaeger.

Pour adultes ?

(vampire, horreur, presse, wokissime raciste) La plus vaste des cinq forêts inter-connectées du Nord-Ouest Pacifique est la résidence d’un démon de forêt sacrée. La pratique de sacrifier des animaux vifs au démon fut faite pendant des centaines d’années par les Premières Nation. Ce démon était connu pour être capable de donner la vie éternelle quand il le choisissait. Le sang de ses victimes nourrissait son pouvoir.

Notez que c’est une traduction au plus proche du texte à l’écran, vraiment très mal écrit. Ce qui aurait été plus clair et moins lourd aurait été « un démon habite l’une des cinq forêt sacrées du Nord-Ouest Pacifique de l’Amérique du Nord. Les amérindiens lui sacrifièrent des animaux vivants pendant des centaines d’années… etc. »

Bref. Avec le temps, de plus gros sacrifices furent faits. Comme ce mythe entourant le démon grandissait de générations en générations, les colons commencèrent à s’y référer comme « Le manteau rouge ». Notez que les "manteaux rouges" désignent historiquement les soldats anglais durant le soulèvement des compagnies d'Amérique contre la royauté anglaise, et non des vampires nés d'un démon vénéré par ces sauvages sanguinaires d'amérindiens qui avaient le toupet de refuser leurs terres, leurs squaws et leurs jeunes enfants aux appétits des envahisseurs de quelque continent qu'ils viennent.

Une femme (noire) en robe plus ou moins blanche à fleurs attachée à un arbre. Une vallée forestière embrumée. Dans la forêt, une silhouette encapuchonnée semble dévorer une biche à terre partiellement écorchée.

Dans un couloir plongé dans la pénombre, un barbu grisonnant (blanc) déclare à quelqu’un qu’il ne parle pas du sang physique mais de la lignée, votre famille, votre clan, les vôtres, qui vous êtes, ce que vous êtes. Il poursuit : « Je pense que c’est important : regardez-donc le monde d’aujourd’hui — pointez du doigt n’importe quel endroit à problème sur la carte et vous verrez que les problèmes sont causés par des gens qui ne devraient pas y être, et c’est comme ça depuis que Moïse a posé les pieds sur la terre et que les garçons juifs se sont jetés à la gorge des garçons arabes et réciproquement, et ils le font encore : c’est la même histoire qui se répète : les gens ne se mélangent pas. »

Il tient une mécanique à la main qu’il va mettre sous le robinet d’un évier dont il actionne la pédale : « Les races, les croyances, les couleurs, peu importe. Le prétendu melting pot (NDT : le creuset d’amalgame) – moi je l’appelle le pot à m.rde. C’est comme l’eau et l’huile, et si les gens ne le réalisent pas rapidement, l’Humanité deviendra une race de Mongolie… »

Notez que ce monologue raciste par un scénariste raciste mis dans la bouche d’un blanc contient des erreurs grossières par rapport aux discours racistes authentiques contre la mixité des éthnies humaines, c’est « une race de bâtards », en VO A Breed of Mongrels, et au lieu de A Breed of Mongols. Par ailleurs, la tirade est tellement confuse qu’elle revient à dénoncer la colonisation de la Palestine par Israël, ou la colonisation des Amériques par les indiens d’Amériques (qui viennent d’Asie et d’Océanie).

Lorsqu’on prétend défendre la supériorité d’une « race, croyance ou couleur de peau », on s’efforce de faire la preuve d’un minimum de cohérence, par exemple en prétendant faire partie de la race élue comme l’Allemagne Nazie des années 1930-1940 et les royaumes Israël d’hier et d’aujourd’hui, et plus généralement les ultra-riches qui répètent à qui veut l’entendre que la misère, les guerres et les dépopulations qu’ils fabriquent sont génétiques et méritées, pour échapper à toute responsabilité tout en profitant au maximum de leurs malfaisances.

Enfin, ce type de discours – le racisme, la xénophobie etc. — n’est pas l’apanage d’une couleur de peau, d’un sexe, d’une religion ou d’une communauté. C’est un jeu de pouvoir qu’on pourrait réduire à l’expression : « quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage » en particulier si son chien possède des terres, des ressources, que vous souhaitez voler, une famille que vous souhaitez vendre en esclavage plus ou moins déguisé, une autre caractéristique des communautés et dictatures à travers l’Histoire de l’Humanité, peu importe le lieu pointé, peu importe la civilisation qui les abrite, peu importe les couleurs de peau.

Et oui, les envahisseurs, les pilleurs, les criminels en tout genre ça a toujours existé, et ils viennent en général d’un endroit ou d’une communauté qui aura favorisé leur impunité tant qu’ils s’en prennent aux enfants des autres, aux plus faibles, aussi loin que possible des yeux des populations d’origine qui pourraient vite réaliser que les génocides et les guerres retournent toujours à l’envoyeur.

Le barbu s’assied à un bureau devant lequel est assis un asiatique pas fier, et se met en plus à fumer, comme s’il vous aurait manqué un indice qu’il est le grand méchant, et peu importe si ce film semble bien parti pour faire passer des démons assoiffés de sang et des vampires suceurs de ce que vous voulez groomeurs d’adolescents et vecteurs de pestes comme des héros sauveurs de l’Humanité.

Le barbu félicite l’asiatique pour sa petite entreprise de bosseurs et se répète alors mot pour mot, c’est le sang qui compte. Le vieux barbu veut faire signer de force un contrat de cession de ses terres. L’asiatique estime que l’heure est trop tardive, se lève et le vieux barbu lui lance une bouteille à la tête. L’asiatique respire encore annonce l’un des gros bras. Le barbu empoigne un couteau et poignarde sa victime et clame que non.

Le film aurait été beaucoup plus réaliste si le méchant et sa clique avait été interprêté par les membres d’un cartel sud-américain qui sont ceux qui d’aujourd’hui massacre les classes laborieuses chinoises dans les fermes à cannabis légalisées par la gauche américaine, qui dans le même temps refuse les forces et les moyens légaux d’arrêter les cartels sur le propre territoire états-uniens.

Même s’il est tout aussi vrai que les ultrariches américains tels Rockfeller ont assassinés leurs concurrents pour arriver à constituer leurs monopoles de fait, et qu’ils n’étaient pas chinois et certainement pas nouveaux venus sur le territoire américain. Allez plutôt vous renseignez sur qui était réellement les ultra-riches à cette époque, et qui ils sont encore avant de pleurer sur des personnages de fiction et suivre le doigt du Forum Economique Mondial sur qui mériterait d’être massacré cette fois encore, en attendant votre tour.

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La bande-annonce officielle HD LIONSGATE : https://youtu.be/GWZbj5k0acQ

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Re: Sunrise, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Mer 6 Mar 2024 12:02

Et c'est une grosse m.rde woke.

23 minutes de film tout comme à 1h21 de la projection (dix minutes avant la fin), l'intrigue n'a toujours pas avancé, le grand méchant est encore en train de se répéter ("vous n'êtes pas les bienvenus ici") tandis que la veuve du type qu'il vient d'assassiner peut l'insulter sans qu'il réagisse, alors qu'il n'a qu'à la zigouiller dès la première scène voire juste après l'assassinat du mari, elle, ses enfants, et les témoins, comme il l'a déjà fait plus tôt dans le film, sans apparemment sans aucun problème.

C'est très mal écrit (Chat GPT ?), ça joue la montre, ça joue constamment aux c.ns, musique informe réduite à des effets sonores, colorimétrie forcée de chiotte pour faire genre je tourne un film d'horreur, montage illisible, joué comme ça peut, pas de décors digne de ce nom, très peu de lieux de tournage, pratiquement aucun figurant, récit péniblement forcé pour aboutir à des scènes sans intérêt, zéro émerveillement, zéro épouvante, zéro monde ou loi surnaturel si l'on excepte un texte d'exposition grotesque et vague, sans référence aux mythes et légendes ou même à la culture littéraire ou cinématographique.

En clair, du point de vue Science-fiction / Fantastique / Fantasy / Aventure / Mystère, c'est une boucherie, et c'est bien la seule efficace du film tout entier sous quelque rapport que ce soit.

Des wokettes et des wokeux, tu en veux en voilà alors que nous si nous l'ignorions encore, tout le monde nous rappelle que ces actrices wokettes comme ces acteurs wokeux couchent avec des vieux pervers comme des vieilles perverses pour tourner dans ce genre de film, et vendraient pères et mères et petits enfants et surtout leurs télespectateurs pour continuer à faire du fric et la ramener à la demande des pires criminels planétaires contre l'Humanité.

A fuir.
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