par Greenheart » Dim 25 Fév 2024 11:41
Woke inepte : l'héroïne ne dit pratiquement rien, ne sait rien, elle attend surtout que ça se passe et prend son temps pour apprendre, prend seulement des mauvaises décisions mais elle s'en sort toujours, et ce sont les mâles qui craquent, se suicident, ne font rien, pleurent etc.
Et elle n'a apparemment, aucune difficulté à trouver des cigarettes ou des avocats hors-saison, peu importe qu'elle ne sorte jamais faire les courses. Je suppose qu'il y a des hommes (invisibles) pour ça.
La situation racontée dans le film n'est pas nouvelle, elle existe dans la réalité actuellement dans plusieurs parties du monde, notamment à Gaza, et les gens se bougent pour survivre, évacuer, tandis que d'autres les aident.
Si ce film est à propos de survivre à un effondrement ou à une catastrophe, les personnages qui survivent devraient nous enseigner à la fois comment survivre dans la réalité - par exemple en plantant des choux et en élevant des porcs par exemple - ou comment empêcher que ce genre de situation (une famine) survienne dans la réalité. Mais dans ce film, les personnages se contentent de prendre des pauses et d'enchaîner les platitudes, en restant le plus vague possible : "Nous devons faire ce qui est bien (dans cette situation)" Quelle situation ? définissez "bien" en contexte".
La production n'a apparemment jamais lu de Science-fiction, ils n'ont jamais vu un film ou lu un livre, ils n'ont jamais vu Netflix ou YouTube, et dans le monde des personnages, ça n'existe pas. Ces personnages n'ont fait aucune étude, n'ont aucune formation, même pas le secourisme du travail. Ils n'ont aucun bon sens, aucune notion de communication saine, ils savent se plaindre, faire semblant d'écouter, mais pas écouter réellement. Ce sont des c.ns, et le film n'est qu'une suite de jeux de c.ns avec un scénario qui triche constamment pour faire sauter l'histoire de vignette en vignette en fonction du budget réduit.
En quoi l'héroïne serait plus en sécurité dans un "abri" (hébergement d'urgence) en cas d'effondrement et d'inondation de la ville ? Dans la réalité, les sans-abris ne sont pas à l'abri dans un abri d'une ville moderne en temps de paix et sans effondrement sinon très limité et seulement causé par l'ultra-avidité des ultra-riches et leurs complices monopolisant les postes de décision : si les sans abris refusent d'aller là-bas, c'est parce qu'il n'y a aucune sécurité - ils se font violer, voler, tabasser et attrapent des parasites et autres maladies. Il faut être c.n.e pour l'ignorer.
Elle aurait dû fuir des mois auparavant vers une communauté agricole en montagne avec milice et possibilité de bloquer les accès en cas d'invasion de zombies ou de pillards. Et curieusement dans ce refuge, les bonnes femmes ont le temps de papoter, elles ne font même pas la lessive des couches ou les cours de comment survivre avec bébé en cas d'effondrement. Et qui fait le boulot, les petits elfes ? Qui et comment fait la bouffe ? C'est un refuge pour femme enceinte et deux hommes se battent dedans (comme si les femmes ne se battaient jamais entre elles, sachant que certaines sont allées dans la réalité jusqu'à arracher un bébé qu'elle convoitait des entrailles de la mère et d'autres les étouffent en se couchant dessus...)
Les routes sont remarquablement désertes quand ça arrange les scénaristes et surtout le budget.
Ne perdez pas votre temps. Voyez plutôt si ce n'est pas déjà fait :
* le film Déluge 1933, le modèle de film apocalyptique et post-apocalyptique toujours imité depuis, certainement pas égalé ici.
* le film Blindness 2008, un autre de genre d'apocalypse, également mené par une héroïne, mais qui au moins a du sens pratique et voit (!) loin.
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...d'un G qui veut dire Greenheart !
