Code 8 part II, le film de 2024

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Code 8 part II, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Mer 24 Jan 2024 07:51

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Code 8 part II (2024)

Annoncé le 28 février 2024 sur NETFLIX INT/FR.

De Jeff Chan (également scénariste et producteur) sur un scénario de Chris Paré, Sherren Lee et Jesse LaVercombe; avec Robbie Amell (également producteur), Stephen Amell (également producteur), Sirena Gulamgaus, Altair Vincent, Alex Mallari Jr., Moe Jeudy-Lamour, Aaron Abrams, Jean Yoon.

Pour adultes et adolescents ?

(cyberpunk, mutant, presse) Un portail électrique buzze, puis s‘ouvre devant un homme aux cheveux bruns courts et à la capuche vert sombre. Soit il sort de prison, soit il vient de terminer sa journée ou sa nuit dans un entrepôt d’Amazon qui dans le futur emploierait encore des êtres humains, et vu la légèreté de sa démarche, il sort de sa fouille rectale.

Dans un haut-parleur lointain d’une radio un garde commente que G3 est en attente à la porte 2, et que le détenu 641 est en approche. Comme l’homme lève les yeux, nous suivons son regard pour découvrir des gardes robots armés postés sur un chemin de ronde barbelin autour de la cour intérieure dans laquelle il vient d’entrée. Le doute n’est cependant toujours pas levé sur la nature exacte de la facilité où nous nous trouvons : dans les années 1900 à 2000, quelqu’un nous aurait au moins brièvement montré la plaque à l’entrée de l’établissement, ou la devise en fer forgé au-dessus du portail.

A la radio donc, un garde demande l’approbation pour ouvrir la porte 2 et un autre lui répond que se demande pour ouvrir la porte 2 à 641 est approuvée. Le premier garde répond : « Compris, j’ouvre la porte 2. » Et nous découvrons le visage de 641 – mais pas forcément puisqu’ils ne lui ont pas gravé son numéro sur le front ou noté sur ses vêtements ni tatoué sur son poignet – et effectivement il doit sortir du proctologue.

Le volet roulant d’alu défendant la porte d’entrée de la prison se soulève lentement. 641 marche désormais lentement le long de la route quand un homme qui lui ressemble vaguement (son frère à l’écran comme à la ville) ralentit sa voiture et baisse sa vitre pour lui faire remarquer que la route est longue jusqu’à la ville. Mais pas autant que cette introduction.
Le conducteur déclare qu’il est endetté vis-à-vis de 641, alors s’il a besoin de quoi que ce soit de lui, il est là. 641 regarde enfin le chauffeur et déclare, toujours aussi constipé : « tu sais ce qui aiderait ? » (une longue pause) « Que je ne revoie jamais ta foutue face. »

Le chauffeur lui présente alors son profile et démarre en trombe pour le laisser là. 641 soupire. Ecran noir et intertitres d’exposition : 4% de la population posède des capacités anormales. La plus part vit sous la limite de pauvreté. Ils sont lourdement surveillés par la police.

Images d’archives granuleuses parce que la restauration et la mise à échelle sont pour les chiens, surtout le débruitage dynamique (DNR) qui n’a jamais fait reculer personne dans la réalité, et voix off convaincue : « personne ne savait pourquoi quelques personnes avaient des pouvoirs, mais du moment où ils faisaient des ouvriers efficaces, cela n’avait pas d’importance. » (une autre voix) « C’était une époque où l’utilité de ces gens dépassait en poids le danger potentiel. » (une autre voix) « Avec le temps, la demande pour ces gens a baissé : les machines pouvaient faire ce qu’ils faisaient. »

Cependant, il aurait fallu payer les machines et l’énergie pour les faire fonctionner, sans compter les pièces de rechange, le piratage, les coupures d’électricité, les ricains qui font sauter les conduites de gaz etc. Pas sûr du tout que le raisonnement économique soit si vraisemblable : Superman livrerait les pizzas toujours plus vite qu’un robot uber et en plus il pourrait les réchauffer à l’arriver et dégager les membres du cartel qui entre-temps vous auraient pris en otage.

Bref, on fabrique une nouvelle drogue à partir des gens qui ont des pouvoirs, les policiers se font tellement descendre qu’il est devenu rentable de les remplacer par des robots prétendus indestructibles.

Six mois plus tard, de nuit, un drone survole les quartiers sensible à la recherche d’un véhicule de marque Sedan de couleur noir, comme quoi, personne n’est encore capable de changer la couleur de sa carosserie à volonté comme certaines le faisaient déjà pour leurs ongles manucurés dans Total Recall l’original.

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La bande-annonce officielle Netflix : https://youtu.be/0C69pTYYTM0

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Re: Code 8 part II, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Sam 3 Fév 2024 04:50



Bande annonce complète HD officiel NETFLIX : https://youtu.be/omBi2KxEcRk

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Nouveau synopsis, plus détaillé sous la bande-annonce complète sur YouTube :

Connor est sorti de prison et travaille comme concierge dans un centre communautaire, après avoir coupé les ponts avec son ancien associé criminel Garrett. Les efforts de Connor pour éviter les ennuis sont réduits à néant lorsqu'il est contraint d'aider Pav, 14 ans, à échapper à une bande de policiers corrompus dirigés par le sergent King. King utilise les nouveaux robots K9 pour retrouver Pav, tandis que Connor se retrouve une fois de plus à demander de l'aide à Garrett et à son équipe, mais peut-il faire confiance à l'homme qui l'a envoyé en prison en premier lieu ?

Réponse évidente : non.
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Re: Code 8 part II, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Sam 2 Mar 2024 14:23

C'est plus laborieux que le premier film Code 8, qui avait le bénéfice cumulé du doute et de la nouveauté.
Cette seconde partie a par ailleurs de nombreux trains de retard par rapport à l'épisode du chien robot dans Black Mirror.

Impossible en ce qui me concerne de prendre le parti d'un trafiquant de drogue ou de m'émouvoir quand un flic à la télécommande lui règle son compte alors que le juge l'a automatiquement acquitté. Je ne comprends pas pourquoi la gamine n'a pas été éliminée dans la foulée par le même chien : par définition elle est au moins aussi dangereuse que lui.

Et du coup, l'objectif de la mission des "gentils" (un trafiquant de drogue et son frère incarcéré à sa place) serait alors d'arrêter les méchants flics qui ne laissent pas les trafiquants de drogues empoisonner le reste du monde et régler leurs comptes tranquillement entre eux en abattant femmes, enfants et télespectateurs qui se trouveraient dans le coin au même moment, quand bien même les murs de leurs appartements leur feraient croire qu'ils sont en sécurité ?

Cela m'a fait penser aux récentes contorsions de logique spécieuse de l'intelligence artificielle de Google pour promouvoir et légaliser la p.dophilie. Je me doute bien que la production a dû se baisser pour obtenir l'argent de Black Rock et de Netflix et produire cette suite, mais il y a des limites à tout.

Fuyez.

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