The Green Hornett S01E08 : Dead or Alive (1940)

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The Green Hornett S01E08 : Dead or Alive (1940)

Messagepar Greenheart » Mer 8 Mai 2024 10:16

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The Green Hornet S01E08: Dead Or Aliver (1940)
Traduction du titre : le frelon vert, mort ou vif.

Sorti au cinéma aux USA à partir du 27 février 1940.

De Ford Beebe et Ray Taylor sur un scénario de Fran Striker, George H. Plympton, Basil Dickey, Morrison Wood, Lyonel Margolies, d’après le feuilleton radiophonique de 1936 de Fran Striker et George W. Trendle ; avec Gordon Jones, Wade Boteler, Keye Luke, Anne Nagel.

Pour adultes et adolescents

(mystère, justicier, super-héros, techno-thriller) Chapitre huit : Britt Reid, déguisé en tant que le Frelon Vert, capture Sligby, le meurtrier de Charles Rpberts, pûis remonte la piste du gang des transporteurs, et surprend deux d’entre eux sur le point de détruire une cargaison périssable.

Le gang tente de s’échapper dans un camion, mais le Frelon saute dans le camion et se bat avec l’un des deux hommes tandis que l’autre au volant fonce en direction d’un pont pour se faire aider de deux complices postés au pont. Seulement les complices, pour empêcher un camion rival de traverser le pont et faire sa livraison, ont fragilisé le pont, et, à toute vitesse, le camion du gang…
Luttant à l’arrière du camion, le Frelon tente de raisonner son adversaire : « Houston, tu n’as aucune chance… »

Pendant ce temps, les deux complices dont l’un est occupé à scier le câble de suspension, aperçoivent leur camion arrivé, et le plus mince prend une lanternet pour la faire se balancer et signaler le danger au chauffeur. En vain. Alors les deux complices, ramassent précipitamment leurs affaires et décampent.

Le chauffeur du camion ouvre sa portière et saute, Reid et son adversaire glissent de l’arrière du camion, et le pont s’effondre sous le camion arrivé à mi-chemin du passage au-dessus du précipice.
Kato, qui suivait au volant de la Beauté Noire, pile comme à son habitude, pour descendre et rejoindre les deux corps qui ont roulé dans le bas-côté de la route, et comme à son habitude, le Frelon Vert a utilisé son adversaire pour amortir sa chute.

Kato arrive et demande au Frelon s’il est blessé gravement, et celui-ci répond que non, mais qu’il pense que l’homme avec lequel il se battait l’est. Kato lui répond qu’il a vu des hommes de l’autre côté, qui faisait signe d’arrêter le camion avant qu’il ne franchisse le pont. Le Frelon réalise : « C’étaient les hommes que Sligby avait envoyé saboter le pont ! » et de demander : « Où est la voiture ? — Par ici. »

Les deux hommes se relèvent, et le Frelon enjambe sans s’en soucier davantage le corps du gangster étendu de tout son long sur son chemin.

Au siège du journal La Sentinelle, une nouvelle édition spéciale sort des presses rotatives avec à la Une « Le Frelon Vert a encore frappé ! » sous-titré : « le mystérieux bandit masqué remet un gangster à la police. », en chapeau : « D. H. Sligby, propriétaire d’une importante société de transport a été retrouvé dans son bureau à une heure tardive de la nuit dernière, avec des preuves incriminantes. »

Assise à son bureau, Leonore Case lit à Jasper Jenks la suite de l’article : « … trouvé pieds et poings liés avec le sceau du Frelon Vert dans sa main ; les documents trouvés dans la poche de Sligby sont considérés comme des preuves suffisantes pour le condamner pour le meurtre. »

Jenks répond avec un petit air supérieur : « Tu n’as pas besoin de me le lire, Casey : je l’ai écrit, et whaouh, quel scoop ça a été ! »

Alors Leonore accuse : « Si tu l’as écrit, alors pourquoi tu insistes pour qualifier le Frelon de truand ? Pourquoi n’essaies-tu pas de savoir quel est son but, au lieu de le classer d’office dans la catégorie des gangsters et autres bandits masqués ? »

Et à ces mots, Britt Reid est discrètement sorti de son propre bureau pour entrer dans la pièce : il claque dans ses doigts, faisant se retourner Jasper Jenks et Leonore Case, pour demander « C’est de la balle, Mademoiselle Case : Que suggérez-vous que nous fassions ? »

Case répond sans hésiter : « Trouvons qui est le Frelon Vert. » Et ce sont les mots mêmes répétés par le numéro 2 du syndicat du crime dans son bureau de l’immeuble Bradley.

Peu après, Axford amène à Britt Reid ce qu’il tient pour une nouvelle piste : les prix des teinturiers montent en flèche, et il a trouvé une note à l’en-tête du pressing J. Lavonson dans la poche du costume qu’il avait donné à nettoyer : « Je vous ai entendu vous plaindre des prix du nettoyage de votre costume : n’en blâmez pas le patron, il doit payer pour la « protection » comme tous les autres teinturiers. » et c’est signé « un employé ».

Pour Reid, ils ne peuvent rien publier à ce sujet car la note est anonyme, mais Axford se propose d’aller interroger Lavonson. Ce à quoi Reid répond que Lavonson ne parlera jamais. Cependant il va archiver la note dans le cas où ils découvriraient autre chose.

Et sitôt Axford sorti du bureau de Reid, celui-ci relit la note et hausse un sourcil — et la nuit tombée, Kano aide le Frelon Vert à se préparer pour sa prochaine expédition : « Peut-être que le Frelon Vert pourra lui persuader Monsieur Lavenson à lui dire ce qu’il n’oserait jamais dire à la Police. »

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Greenheart
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