J'ai à peine fait attention. Le seul avantage de l'épisode est qu'il n'y a pas d'épisode de la Lune machin chose pour remplir de vide supplémentaire le vide de l'épisode.
Mais ils vont sûrement en remettre une couche à tous points de vue pour l'épisode final.
La wokitude bat toujours son plein : la production croit que le spectateur imitera le murderbot et tombera plus ou moins amoureux de la diversitude, aka adoptera le wokisme, et se les fera couper, comme le murderbot lui-même un blond blanc châtré. Et c'est pratiquement la même chanson que dans Halo S2, idem dans le Nouveau Nouveau Docteur Who etc. etc. les clichés manipulateurs wokes sont strictement copiés collés par une production docile,
Et comme ces vendus savent que le public a peu de chance de les suivre, ils utilisent la technique du disque rayé : répéter et répéter encore le message woke, peu importe que ça vienne des méchants, des gentils, d'un cyborg ou d'une créature tentaculaire cannibale) -- comme pour la publicité ou la rotation radio lourde du tube qu'on veut vous enfoncer dans le crâne, le conditionnement woke s'imprimera de force dans les neurones du spectateur qu'il le veuille ou non. Voilà pourquoi tout ces films du parti communiste chinois et de black rock sont archi-toxiques, dès l'exposition de l'oeil et des oreilles du spectateur à l'écran contaminé.
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Pourquoi les mercenaires bien entraînés restent-ils bien groupés en toute circonstance ? Pour être éliminer d'une seule grenade ?
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Pourquoi dans cet univers la chaleur d'une explosion à base de carburant pour fusée n'irradie pas, ne brûle pas les poumons, n'asphyxie personne etc. : le Murderbot et Mensa se prennent de plein fouet le choc physique, donc le choc thermique qui le précède, et le nuage incendiaire dévale bien la pente où ils se trouvent : il ne servirait à rien d'être couché alors, ils prendraient feu et leurs poumons avec.
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Aucun rebondissement (l'oiseau qui abat le drone, etc.) n'est préparé par une scène précédente : la production improvise et ajoute les rebondissements comme ça l'arrange : il n'y a aucune vérisimilitude et pour la même raison, il est impossible de jouer avec les attentes du spectateur ou pour le spectateur il est impossible d'imaginer une suite ou des suites différentes : tout le récit consiste pour le spectateur à attendre que le dandinement des scénaristes et de la production se passe tandis qu'elle s'envoie elle-même des fleurs.
etc. etc.
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