Quantum Leap, la série télévisée de 1989

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Quantum Leap, la série télévisée de 1989

Messagepar Greenheart » Sam 23 Jan 2021 17:31

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Quantum Leap (1989)

Saison 1 diffusée aux USA à partir du 26 mars 1989.
Saison 2 diffusée aux USA à partir du 20 septembre 1989.
Saison 3 diffusée aux USA à partir du 28 septembre 1990.
Saison 4 diffusée aux USA à partir du 18 septembre 1991.
Saison 5 diffusée aux USA à partir du 22 septembre 1992.
Saison 6 diffusée aux USA à partir du 19 septembre 2022 sur NBC US.

De Donald P. Bellisario, avec Scott Bakula, Dean Stockwell.

Pour adultes et adolescents.

Dans un futur proche, le physicien Sam Beckett (a émis la théorie qu'il est possible de voyager dans le temps au cours de sa propre vie. Seulement quelques années plus tard, l'état menace de supprimer le budget du projet "Saut Quantique", faute de résultats. En parfait savant fou, Sam décide de tester sa technologie sur lui-même. Il est effectivement projeté dans le passé mais découvre qu'il apparaît à tous les autres comme la personne dans laquelle il a "sauté" tout en étant partiellement amnésique. L'amiral Al Calavicci, un de ses amis, se projette à son tour dans le passé sous la forme d'un hologramme, visible et audible uniquement pour Sam : il renseigne Sam sur ce qui a mal tourné pour la personne qu'il "possède" et que logiquement il devrait corriger pour retourner dans le présent, ce qui n'arrive évidemment jamais vu que la série doit continuer.

ImageImageImageImage

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Comparaison de la qualité d'image streaming, blu-ray, DVD : https://www.youtube.com/watch?v=c-3n3C0QF2s

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Re: Quantum Leap, la série télévisée de 1989

Messagepar Greenheart » Sam 23 Jan 2021 17:39

Une fausse série de Science-fiction : sous prétexte de voyage dans le temps, chaque épisode consiste à nous fourguer un soap ou un drama d'époque, très souvent pastichant lourdement un film plus ou moins récent à succès (Grease, Driving Miss Daisy etc.). Le prétexte science-fiction implose complètement avec la dernière saison
Spoiler : :
où Sam combat le Diable et se trouve en fait en mission divine
. Le capital énorme de sympathie de Scott Bakula s'effrite au fur et à mesure que les scénaristes rament et plagient - pardon "pastichent" à tour de bras.
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Re: Quantum Leap, la série télévisée de 1989

Messagepar Greenheart » Ven 9 Sep 2022 09:05

Sixième saison annoncée aux USA pour le 19 septembre 2022 sur NBC.

Trente ans après, le physicien Ben Seong (Raymond Lee) reprend les travaux du docteur Sam Beckett (Scott Bakula)

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La bande-annonce officielle HD : https://youtu.be/bkTEhZWknNM

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Re: Quantum Leap, la série télévisée de 1989

Messagepar Greenheart » Dim 11 Sep 2022 20:20



Nouvelle bande annonce HD officielle : https://youtu.be/G3I0SpwjVK8

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Re: Quantum Leap, la série télévisée de 1989

Messagepar Greenheart » Mer 21 Sep 2022 13:30

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Quantum Leap Revival (2022)

Sixième saison officielle diffusée à partir du 19 septembre 2022 sur NBC US.

De Steven Lilien et Bryan Wynbrandt, d'après la série télévisée Quantum Leap (Code Quantum, 1989) de Donald P. Bellisario, avec Raymond Lee, Ernie Hudson, Caitlin Bassett, Nanrisa Lee, Mason Alexander Park.

Pour adultes.

(woke, possiblement toxique) En 1995, théorisant que quelqu'un pouvait voyager dans le temps de sa propre vie, le docteur Sam Beckett entra dans un accélérateur de bond quantique et disparut. Après des années à tenter de le ramener chez lui, le projet fut abandonné, jusqu'à... maintenant.

Dans la pénombre (quelqu'un n'a pas réglé sa facture d'éclairage ?) d'une salle avec un mur d'ordinateur, un unique employé entre frénétiquement des commandes sur un pupitre d'ordinateur qui affiche une liste de lignes chiffrées cryptiques en caractère vert comme sur les premiers moniteurs IMB des années 1980, sauf que ces listes sont dans des fenêtres à la manière des systèmes d'exploitation moderne Windows et Mac. S'affiche un pop annonçant glorieusement toujours en vert (cela doit être meilleur pour les yeux) : "FENETRE DE CALCUL COMPLETE : élimination du code en double, 2,41 gigabytes, réduction d'inefficacité, 12,01%, augmentation de la performance de l'unité centrale, 26,76%." Un bip, et la femme au pupitre s'exclame : "cela ne peut pas être exact !" Elle cherche alors son smartphone à écran tactile enfoui sous des listings chiffonnés pour texter à un certain Ben Song.

Je ne savais pas que les bureaux de recherche ultrasensible communiquaient leur résultat par texto non cryptés que n'importe qui pourrait intercepter à n'importe quel point du réseau, même combat pour les conversations téléphoniques et toutes les images captées par les quatre caméras du smartphone en temps réel, les données affichées sur les moniteurs incluses et votre petite culotte quand vous êtes assise au toilette. Oh, Snowden, pardonne-leurs s'ils n'ont toujours rien compris, c'est que NBC et tous les autres média en rajoutent une nouvelle couche par écran et à chaque minute sur leurs cervelles qui s'atrophient forcément pour s'adapter aux épaisseurs empilées sous une boite crânienne qui ne risque pas de s'élargir.

La nuit, une grande ville côtière avec une grande roue au loin illuminée comme tout le reste : si nous sommes dans le futur proche, vous pouvez avoir confiance, les restrictions d'énergie n'ont toujours pas eu lieu aux USA et l'effort de guerre en Ukraine est exclusivement réservés aux populations européennes qui peuvent tous crever pendant que les riches ricains et autres élites continueront à faire la fête. Dans un vaste appartement en terrasse aux lumières tamisées, un couple de parvenus asiatiques salue un certain Ben, sans arrêter de se miurger, et vue leurs sourires, leurs regards et leurs postures, la petite sauterie a commencé depuis quelque temps déjà, ou alors ils ont pris quelque chose de fort mélangé à leur alcool. Beaucoup d'uniformes et de crânes chauves à la sauterie, et une blonde en petite robe noire tend sa main au passage à Ben pour lui demander s'il s'était caché quelque part et Ben répond oui, aux toilettes pour sniffer un rail de coke, c'est parce il avait peur de détonner sinon. Non, en fait il répond qu'il était seulement dans une section différente de l'appartement. La blonde, qui connait bien Ben me corrige en répondant qu'il prenait son rail de coke dans la salle de bain. Et je réponds que oui, mais aux USA le cabinet de toilette se trouve dans la salle de bain, et c'est le seul endroit où s'asseoir depuis qu'on a supprimé les bidets à la française, le nec le plus ultra de la mode française d'autrefois.

Puis la femme blonde accuse Ben, qui est apparemment son hôte, de s'être caché parce qu'il ne voulait pas de la petite fête dans son appartement, et je commence à me demander qui a pu lui imposer de faire une fête dont il ne voulait pas, et pourquoi, mais surtout je reconnais dans le "héros" Ben votre lavette woke mâle soumis habituel charger d'imprimer dans l'esprit des spectateurs que la meilleur attitude quand vous êtes un homme c'est de tout vous laisser faire et d'adorer être dominé par une garce insolente qui vous viole mentalement à chaque scène, tout en épandant les jeux de c.ns à chaque scène de l'épisode ou du film, histoire qu'absolument rien du récit ne puisse éveiller quelque intelligence ou amour propre que ce soit chez les spectateurs des deux (trois, quatre etc.) sexe.

Ben persiste toujours sur le ton du soumis qu'avoir tout le monde chez lui en train de tout leur tripoter (sic : I love parties, habing everyone in here, touching all our stuff), il l'aurait fait plus tôt s'il avait su un jour qu'il aurait à le faire avec sa blonde. Je suis confus, est-ce qu'il est en train de parler d'une réception privé ordinaire ou d'une partouze dans laquelle il jouerait le rôle de la petite robe noire, comme sa fausse blonde ? L'idée semble plaire à sa fausse blonde (dont nous ignorons toujours le nom pour l'instant). Ben précise que ceci dit, si elle veut attraper une bouteille à la forme suggestive et aller le rejoindre sous le ponton, il y a une autre première fois qu'il souhaiterait expérimenter, il n'objectera pas. La fausse blonde répond que c'est tentant, et elle embrasse Ben - sur la bouche, il est important à ce point de l'épisode de le préciser.

Le gentil couple est impoliment interrompu dans son baise-la-bouche par votre asiatique moche garce de service qui éructe d'un air supérieur qu'elle veut une augmentation s'ils veulent qu'elle soit aussi chef de la sécurité de cette fête. Justement, je me demandais où était le videur, car si j'étais Tom et que j'aimais vraiment baiser ma blonde, ce serait la garce que je ferais immédiatement jeter dehors, voire enfermer au commissariat du coin en l'accusant de palpations inappropriées sur mon gentil couple : ce n'est pas parce qu'on organise une partouze échangiste chez soi que l'on devrait accepter que n'importe qui vous touche et vous fasse des remarques sur la sécurité. Plus il s'agit très certainement d'une tentative d'extorsion à la Mathias Pogba et autres Karim Benzema.

Comme Tom s'étonne, toujours sur le mode lavette fadasse... Mon Dieu si c'est lui qui s'en va dans le Temps sauver des pauv' victimes, elles sont perdues d'avance... et la garce asiatique s'explique : elle veut expulser le D.J. parce qu'il ne veut pas jouer les Kinks (un groupe punk de la basse antiquité, cf. Les commentaires sur la Guerre des Gaules de Jules César). Et de pointer du doigt un faux blond maquillé comme une voiture volée et bagousé, vêtu d'une veste rose, parlant à un grand noir costaud qui le dépasse d'une tête et qui essaie de se concentrer sur son coûteux matériel : un ordinateur portable ultrafin éclairé par un spot rose spécialement placé pour aveugler celui qui essaierait de regarder l'écran. Ma curiosité est piquée : je veux voir ces deux-là tenter de sortir de force le grand noir costaud pour tenter de lui pirater son mathos. Et je parle bien de son ordi et sa sono et de pure baston.

Le canari s'appelle Ian (prononcez "é-on") et achève sa démonstration qu'il n'est qu'un mâle fadasse lavette et inutile de plus parmi les personnages de cette série. La fausse blonde le rappelle sèchement à l'ordre (c'est une wokette, c'est forcément une garce dépourvue de tact et de sens pratique) et lui parlant à dix mètres malgré l'ambiance bruyante et la musak qui joue, lui intime l'ordre d'écrire un algorithme pour faire jouer la playliste parfaite. Ian vient à elle et lui répond radieux, qui a du temps à perdre pour ça ? Apparemment le grand noir costaud avec le mathos qu'il était en train de harceler. Et peut-être la bagarre qui s'annonçait était purement sexuelle après tout, les Kinks n'étant qu'un prétexte pour se frotter à un grand noir musclé que ses patrons ont payé pour le supporter. Cette série est super-glauque en fait.

Puis Ian tente d'engager la conversation sur une simulation quantique qu'il a lancée la nuit dernière, mais la fausse blonde imité par Ben la seconde lavette de service, lui font fermer sa bouche là encore très impoliment, car personne ne veut parler boutique à cette fête si passionnante, si divertissante et si riche en conversations que les trois seuls sujets sont : a) qu'est-ce que tu faisais dans la salle de bain sans moi ? b) veux-tu jouer avec une bouteille la nuit sous un ponton avec le premier clochard venu qui peut se joindre à nous ? c) Ian essaie encore de tripoter le D.J. que tu as embauché demande à une femme de calmer cette lavette redontante avant que nous ayons à payer son changement de sexe dans la foulée de la chirurgie répatrice, parce que la sécurité sociale n'existe pas vraiment aux USA et qu'il y a toujours des séquelles graves.

Pitoyablement, Ian répond qu'il n'a pas consenti à ne pas parler boutique. Ce qui implique qu'il pourrait consentir à ce que d'autres s'autorisent à lui dicter ce qu'il peut dire ou ne pas dire dans la vie, en privé comme en public, quand il ne s'agit même pas de secret défense à notre conséquence. Maintenant la question se pose de pourquoi il regarde de cette manière Tom quand il répond : aurait-il consenti à autre chose concernant ses rapports avec Tom ?

Les scénaristes étant visiblement à court de dialogues de remplissage, voilà-t-y pas qu'un autre grossier personnage fait irruption dans le champ de la caméra, et interpelle Jenn (Jennifer ? s'agit-il de la fausse blonde ? mais le nouveau venu semble regarder Tom) et on dirait le début d'une blague salace : il vient juste de rencontrer un type nommé Chris dans le bar du coin... pardon au bar de l'appartement, parce que c'est un appartement avec bar. Et le dénommé Chris lui dit qu'il est son rendez-vous galant... à Jenn ? L'importun semble alors se retourner vivement vers... euh, Ian, qui en grimaçant ressemble désormais à un vieux travello fan de Marlène Dietrich, si Marlène Dietrich avait aimé le rose et les chemises, euh, à petite fleur, ce qui parait extrêmement douteux, en tout cas pas sur les tournages, dans les festivals ou sur les photos d'art et de presse.

Jenn est en fait la garce asiatique et en réalité le grossier personnage s'est retourné vers elle, qui était invisible dans le plan précédent, qui maintenant est placée serrée contre à la droite du nouveau venu, tandis que Ian et Tom sont serrés à gauche contre le nouveau venu, et la fausse blonde serait à droite de Jenn, le plus loin possible de Tom avec lequel est censée être en ménage et qu'elle embrassait sur la bouche en public il y a moins d'une minute. C'est un stagiaire je m'enfoutiste qui a monté cette épisode pendant que le reste de la production était en conflit ouvert, comme la presse la rapporté ?

Et le nouveau venu demande à Jenn pourquoi Chris, le rendez-vous galant de Jenn -- et apparemment c'est bien une lesbienne ce qui expliquerait l'air bouffi maquillage qui coule de Ian en apprenant qu'elle aurait un petit ami potentiel -- pourquoi Chris croirait que le nouveau venu est concepteur de jeux vidéos -- le nouveau venu ayant l'air de sous-entendre qu'aucun concepteur de jeu vidéo ne pourrait être noir de peau comme lui, l'idée est tout simplement grotesque... Jenn répond, se croyant visiblement maligne, par une question : aurait-il préféré qu'elle le présente comme le directeur d'un projet top-secret de voyage dans le temps.

Et tout le monde s'esclaffe : ils discutent du caractère top secret de leur boulot à haute voix, entourés d'une foultitude de gens d'on ne sait où probablement pique-assiettes qui passent à moins de deux mètres sans oublier le D.J. dont l'accréditation top-secret semble plus que douteuse, et qui forcément doit rester attentif à qui le paye, et qui l'a déjà fait chier une première fois et pourrait facilement revenir à la charge. Comme c'est drôle, comme c'est bien écrit ! mais quelqu'un a oublié de rajouter les rires enregistrés, et du coup, le gag tombe un peu à plat.

La fausse blonde lance alors un quatrième sujet de conversation passionnant : "que c'est drôle de se voir ensemble en dehors du boulot !". Jenn (la garce asiatique) a alors l'air d'être soudain sur le point de vomir. Et Tom plus fadasse et soumis que jamais depuis le début de l'épisode renchérit : et ce qu'il aime plus que les fêtes, c'est les conversations anodines et parler en public. Il me semble cependant que le script a déjà suffisamment établi son personnage, pourquoi se répéter à ce point si ce n'est pour jouer la montrer et ne pas donner au spectateur ce qu'on lui a promis, du voyage dans le temps façon Quantum Leap... quelqu'un n'a pas le budget et essaie quand même de vendre sa daube.

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Re: Quantum Leap, la série télévisée de 1989

Messagepar Greenheart » Mer 21 Sep 2022 14:38

si vous enchaînez un épisode précédent de Code Quantum, vous ne pouvez qu’être frappé par la baisse de qualité à tous les niveaux : l’écriture bien sûr, terrible ; les dialogues, du remplissage, de l’exposition et sinon de la pauvreté ; les effets spéciaux semblent dater des années 1990 (scènes où les personnages conduisent, l'explosion finale). Le premier saut étant dans les années 1980, la production semble avoir considéré que les costumes seraient les mêmes, et les technologies m’ont parue anachroniques.

Code Quantum était politiquement correcte à son époque, ce qui était déjà un genre de tare qui détruisait toute once de pertinence, lucidité et mordant social, la version 2022 est stérilement et improbablement woke, avec les habituels relents de racisme anti-blanc, de sexisme anti-mâle et son cortège d'acteurs faire-valoir jouant des lavettes inutiles pour faire "briller" des wokettes bonnes à tout faire, dont les circonstances de leur recrutement m'inquiète au haut point, vu qu'aucun acteur ou actrice ou ce que vous voulez de cette compagnie n'a pu être recruté sur la base de son talent ou d'une ressemblance physique avec un personnage historique ou des saisons précédentes.
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