Département S S01E01 : L'envers du décor (1969)

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Département S S01E01 : L'envers du décor (1969)

Messagepar Greenheart » Dim 24 Jan 2021 13:40

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Departement S S01E01: The Man In The Elegant Room (1969)
Traduction du titre original : L'homme dans la salle élégante.

Diffusé en Angleterre le 9 mars 1969 sur ITV UK.
Diffusé au Canada (Québec) le 8 septembre 1970 sur RADIO TELEVISION CANADA CA.
Diffusé en France le 2 janvier 1971 sur ORTF 2 FR.

De Dennis Spooner et Monty Berman ; avec Joel Fabiani, Rosemary Nicols et Peter Wyngarde.

Pour adultes et adolescents.

Islington, Londres, Angleterre, le 12 mai. Deux hommes d’âge mûr à bord d’une voiture roulent en direction d’un entrepôt. L’homme au volant s’extasie sur l’entrepôt qui, compte tenu du prix de vente, serait une occasion merveilleuse. Son passager doute : selon la description que le conducteur lui a donné, l’entrepôt pouvait être réparé. Le conducteur confirme : structurellement, la bâtisse est tout à fait sûre.
La voiture arrive dans un quartier aux petites maisons, et prend une rue à une voie pour s’arrêter devant le double portail. Au-dessus de la clôture grillagée, le panneau indique qu’il s’agit des dépendances de valeur d’une usine, à vendre 54.000 pieds carrés de surface de sol, s’adresser pour toutes questions à messieurs Radlett, Parsons & Collins, téléphone 01-965-0721.

Le conducteur descend, ouvre les deux battants du portail en bois, remonte et roule pendant une minute jusqu’à l’entrée de l’entrepôt : un peu de peinture, continue-t-il, de rangement et son client pourrait presque s’installer de suite. Le conducteur se gare, les deux hommes descendent et entrent. Passé l’antichambre, le vendeur perd son sourire : dans la pénombre se dresse au beau milieu de l’espace de grands panneaux étayés formant un bloc octogonal avec plafond d’allure neuve. Tout autour, le sol est jonché de quelques détritus.

Le vendeur va pour faire le tour de la structure, tandis que son client le suit et lui demande ce que c’est. Le vendeur n’en sait rien : cela n’était pas là lors de sa dernière visite, il ne comprend pas du tout. L’acheteur répond qu’il peut lui dire au moins une chose : cela n’est pas arrivé là tout seul. Et de demander à quoi ça sert, et le vendeur de répondre qu’il n’en a aucune idée. Il est venu en novembre et l’entrepôt était vide, complètement vite.
Comme ils arrivent à l’autre bout de la construction, ils découvrent une pote d’entrée à panneaux de bois vernis. Comme le vendeur hésite, l’acheteur le presse d’ouvrir. Le vendeur prend une courte inspiration et essaie la poignée dorée : la porte s’ouvre... sur un large couloir tout éclairé entièrement décoré et meublé de quatre chaises et deux petites tables de style, lustre de cristal, horloge, miroir, portraits aux murs... Le couloir donnant sur une double porte également à panneaux de bois vernis avec un chapiteau.

Alors qu’ils avancent de quelques pas, ils entendent une espèce de gémissement et s’arrêtent net. Le gémissement se répète et provient de derrière la grande porte. Arrivés à la porte, le gémissement s’élève à nouveau et le vendeur ouvre les deux vantaux : ils se retrouvent devant des barreaux qui défendent l’entrée d’un grand salon du même style que le couloir. Un jeune homme est agenouillé à deux pas de la grille, chemise ouverte, pâle, mal rasé, cheveux hirsutes noirs. Le jeune homme se relève et s’approche de la grille sans un mot. Puis il s’accroche aux barreau et crie des propos apparemment incohérents en grimaçant : il ne veut pas rester silencieux, et il ne comprend pas ? Puis il supplie : s’il vous plait... L’acheteur agrippe alors l’épaule du vendeur : à côté de la chaise ! la chaise ! Car en effet, une femme blonde en robe blanche gît baignant dans son sang, un couteau planté dans la poitrine, le visage largement tuméfié... Comme les deux hommes reculent, le jeune homme derrière les barreaux suit leur regard, puis s’écrie, grimaçant, l’articulation déformée « Aidez-moi ! ». Puis il se laisse tomber à genoux, toujours accroché aux barreaux.

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