Département S S01E06 : Six jours (1969)

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Département S S01E06 : Six jours (1969)

Messagepar Greenheart » Jeu 28 Jan 2021 18:05

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Departement S S01E06: Six Days (1969)

Diffusé en Angleterre le 9 mars 1969 sur ITV UK (premier épisode diffusé).

De Dennis Spooner et Monty Berman ; avec Joel Fabiani, Rosemary Nicols et Peter Wyngarde.

Pour adultes et adolescents.

Le vol Astrair Golf-Alpha-Zulu-Echo-Bravo (GAZEB) en partance de Karachi à destination de Londres, 17 juillet. Dans la cabine de pilotage, le pilote ôte son casque et se lève, quitte la cabine et tire le rideau derrière lui, salut les passagers. Certains dînent, d’autres semblent dormir, d’autres lisent, tels Sir Curtis, qui se trouve être le superviseur de la section S. Le capitaine continue d’avancer pour arriver au bout. Il demande alors à l’hôtesse un café noir et fort. Retournant à l’avant, il apprend du radio qu’ils seront en avance de trente minutes pour leur arrivée à Londres. Il fait nuit. Dans la tour de contrôle, le chef écoute le message qui annonce que le vol est en approche, et semble outré. Il rejoint l’officier au radar qui guide le pilote vers la piste, et annonce que le vol sera prioritaire. Le chef de la tour de contrôle semble considérer qu’il est impossible que ce vol arrive à présent.

Et pourtant l’avion atterrit, et tandis que l’équipage de l’avion sort, il se retrouve avec un comité d’accueil inhabituel mené par le chef de la tour de contrôle, qui demande au capitaine de l’avion ce qui s’est passé. Ce dernier répond qu’ils ont été poussés par des vents d’altitude, et demande en retour pourquoi un tel empressement : ils n’ont que trente minutes d’avance. Le chef de la tour de contrôle demande alors quelle est la date de ce jour et le capitaine regarde son équipage et répond : le 11 juillet, bien sûr. Alors le chef corrige : ils n’ont pas trente minutes d’avance, ils ont six jours de retard.

Le Terminal 2 de l’aéroport. L’équipage de l’avion se présente au bureau de J. D. A. Peck, le directeur de Astra Airlines. On leur demande pourquoi ils n’ont pas essayé de contacter leurs supérieurs et où ils ont atterri. Le capitaine proteste : ils n’ont pas atterri. Leurs supérieurs en doute ouvertement : six jours sans refaire le plein ? Le capitaine lui répond qu’ils sont fous. On lui tend la première page du Daily Mail du 11 juillet : ils sont portés disparus, on craint soixante-quinze victimes. Et aujourd’hui ils sont le 17 juillet. Incrédule, le capitaine répond que bien sûr ils se sont mis en orbite de la planète Terre. Mais ce n’est pas une plaisanterie, on lui répond. Le capitaine proteste : ce n’est pas une plaisanterie, c’était un vol parfaitement ordinaire.

Du côté des passagers, Sullivan se précipite à l’arrivée de Sir Curtis, qui lui demande si sa voiture est prête. Sullivan s’indigne : sa voiture ? Tout le monde pensait que Sir Curtis était mort ! Sir Curtis ne comprend pas : est-ce que Sullivan est à l’aéroport parce qu’on lui a dit qu’il était mort ? Sullivan explique que le Département S a été appelé à la minute où l’avion de Sir Curtis a repris contact radio avec l’aéroport : l’affaire est devenu leur première priorité. Sir Curtis ne comprend toujours pas, pourquoi appeler le Département S à son sujet. Sullivan explique : Sir Curtis a six jours de retard. L’intéressé proteste : qu’est-ce que lui raconte Sullivan ? Ils ont une demi heure d’avance sur leur heure d’arrivée.

Sir Curtis est interrompu par l’hôtesse de l’air qui demande à Sir Curtis de le suivre. Sullivan leur emboite le pas jusqu’à un salon pour VIP (Very Important Persons = invités de marques). Pendant ce temps un des membres de l’équipage de l’avion retourne à la cabine. Mais il est suivi par un homme. Le pilote prend une boite à outil, ouvre une petite trappe et récupère une boite noire. L’homme qui le suivait surgit et assomme le membre d’équipage, et repart avec la boite noire.

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